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26 novembre 2014 3 26 /11 /novembre /2014 17:21
Le sacrifice d'un Père

Ô douleur, il se fut jour de malheur

Quand un monstre se fit trop monstre

Quand il viola l’intime d’une sage vie

Pour enlaidir sa chair qui se gronde

Dans son silence,  couché dans sa peur

 

Qu’aurait-elle fait que fut atteinte  déloyale

Aux bonnes mœurs face à l’individu familier

Quel comportement encourageant eut-elle à faire

Je ne pense, je ne crois,  seuls des mots d’amitiés

Alors pourquoi, alors comment cet acte illégal

 

Elle  n’a pu garder ce malsain en son sein

Elle était spoliée, usée par  cette image de révolte

La justice est un bon tremplin pour s’acquitter

De cette violence restée en son corps sans solde

Aussi a t’elle attendu le bras justicier pour son destin

 

Ô futile justice, elle se terre dans le non lieu

Dans le sans suite, des preuves, preuves vous dit-elle

Soyez déchiquetées,  mortes pour qu’elle tente de répondre

Aux crimes incestueux qui n’ont  rien de naturel

Alors il se fait qu’elle  allume la mèche d’exécutoires fâcheux

 

Se prolifère alors mille menaces, en tout endroits

Elle ne sut alors où se cacher pour oublier ce maudit viol

Mais aussi la vengeance fourbie par l’inquiétante  plainte

Et le monstre effrayant,  nargue une famille en sa geôle

Comment sortir de cette prison, des traumatismes sans droit

 

Ô Père la vengeance n‘est de ton droit, mais je te comprends

Le sang de ton sang ne peut  être souillé sans justice

Et Je sais, que narguer et encor te narguer soulève ton courroux

Comment se faire,  si justice n’est là  pour signer  armistice

Et extraire de ton esprit le mal qui te terrasse  et te pourfends

 

La justice a commis l’irréparable: Te laisser en solitude

Pour abréger ta souffrance de l’ogre persifleur et  persécuteur

Ta douleur, ton épreuve fut plus astreignante  que ta sagesse

Et ton instinct protecteur,   au  jour triste t’a alors  commandéer:

Il te faut mettre fin à la vie,  d’un monstre qui n’a sollicitude

 

Et la justice inopérante, impunissable  t’a offert le fusil

O Père je me sens criminelle, mais je te comprends

Tu n’avais pas d’autre possible,  pour calmer le fauve

Te griffer, me griffer encor et encor devenait  dément

Alors et alors,  il n’a pas échappé à la sentence de son délit

 

Et la justice se trompant de fauve,  t’a mis en cage

A voulu te dompter et pourtant moi,  ta fille  leur a dit

Tout le mépris que le monstre avait eu envers moi

Envers vous, mais rien n’y a fait, suite de leurs erreurs

Ils n’ont rien à reconnaître,  eux sont toujours des sages

 

Ô  Père ils vont te garder longtemps là bas, trop faux

En de nombreuses années pour que tu paies leur injustice

Est-il vrai que tu ne devais,  mais ont-ils fait leur travail

Pour que ton geste pour moi ne soit que: Ô beau ton sacrifice

Pour ta fille qui t’aime et rêve de te retrouver au plus tôt

☼ƑƇ

 

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  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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