J’ai découvert inquisiteur ton image
Dans l’instant d’un rêve très sage
Je voulais être la main de ce mage
Qui tend l’amour roi au jeune page
Yeux d’azur lumineux, belle allure
Mes iris gentillets scrutent ton bleu
Puis je! Sans délation m’y fondre un peu
Pour te défaire attentionné de ton armure
Doigts de fée, intrigué je m’en repais
Mon toucher jugule ma saine pensée
Qui t’ouvre pure le faste de ma félicité
De t’endiguer de mes caresses rêvées
Au cœur passion de tes mirifiques entrains
Pulsions vastes de mon impatiente faim
De t’aimer à jamais en réitérés refrains
Je te dépose mon cœur, ce digne surfin
Il est le temps où mon corps te donne
Ces baisers dont on ne compte la somme
Ils seront bonheurs croqueurs de pommes
Asséchant ces faims de l’amour des arômes
Ton pas saccadé a troublé délicieux mon esprit
Où se mire ton déhanché envoûtant mes soucis
Comment aimer une merveille qui vous fuit
Ce n’est pas un délit de vous aimer d’envie
Voilà ma dot ce ne peut être que mon cœur
Il bat au rythme de vos bons désirs sans peur
Demain se lèvera le jour de votre ardeur
Confiner à mon envers comme l’extrême meilleur
ƒC