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22 octobre 2017 7 22 /10 /octobre /2017 16:10

Il fut abandon de mon aimée

Ce ne fut  une bravoure innée

Car la chanson je la connaissais

La délicatesse on ne doit l’oubliée

 

Elle avait l’élégance sertie

Pour elle une formule servie

Grandiose dans sa robe rubis

Toujours en harmonie  pardi

 

Ivresse  des beaux instants

Attitude joviale devant l’ornement

Seul mon kit de louzeur par  trop dément

Vu au  lointain fut son insensé relent

 

Malgré cela ensemble  nous  rêvions

De ces  jours nouveaux  des douces actions

Quand les nauséeuses effluves   de troublions

Auront été perdues  au loin, que  voilà solution

 

Notre complice horloge à quartz sonna

Nous prîmes un soupçon de réel  embarras

Dans son élégante  robe de satin, son sourcil fronça

Ô quel malheur de ma main,  un tison  trop chaud la troua

 

Notre comparse union en reçu vilain  coup

Elle fit virevolter sans accommodement, loup fou loup

Ma cravate   posée de coté à l’endroit de mon cou

J’écarquillais les yeux  devant son tour d’écrou

 

J’eus  alors forcené un regain  de dégoût  pour elle

Sûr, fini, nous n’aurions  plus de xérès pour gaver  l’éternel

ƒC

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9 octobre 2017 1 09 /10 /octobre /2017 13:56
Ô sagesse

 

Souhait avoué d’être un sage de sagesse

Mais quelle est t’elle ?  Comment la vivre ?

Les chemins sont trop tortueux  de faiblesses

Pour  vous laisser  croire la posséder ivre

 

Bonté tu me laisses à donner mon bien

Il est trop fragile pour offrir des bonheurs

La côte est trop ardue dois-je errant,  être chien

Hanté par l’humain qui fuit  toutes les  peurs

¤

Vertu tu t’abandonnes  à la pudeur de mon esprit

Tu donnes raison à toutes les déraisons viles

Devant toi coures les violences, elles ne sont ton souci

Suis-je sage, ou ignorant d’être un simple servile

 

Oh sagesse dis moi, où est le vrai chemin

Dois-je abandonner ma vision de ton exploit

Je saurai t’entendre si tu me guides de ta main

Sans voracité j’enjamberai ton pont de  bon droit

¤

De toi je ne parlerai que du ton de la docilité

Sans obliger j’administrerai tes bonnes valeurs

Ces mots de ton langage que je  traduirai vérité

Sans ébrécher  la volonté de ses esprits solliciteurs

¤

Pourquoi ce noir, je suis resté là, bien encadré

Me tendrais -u un  piège  pour mieux me toiser

Tu ne veux pas de faille dans  mon humilité

Seul compte pour toi ma certitude de la  sauver

¤

Sagesse me voilà rassuré je resterai  toujours caché

Au creux de ta vérité où on ne te décèle jamais

La culture salutaire de ta fleur des éternels  mets

On s’en nourrit pour te conserver, empirique vitalité

ƒC

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8 octobre 2017 7 08 /10 /octobre /2017 19:06
Hanaé douce inspiration

¤

Les semailles de ma pensée sont prises en tenaille

Au grand fait de ne pas savoir dire un merci

Pourtant elle ne s’estime pas, être une canaille

Elle veut dans Sa conscience relever ce défi

 

Il y a celle qui altruiste  dépose chaque jour

Des coups de cœur  dont je suis l’écho

Mais l’impuissance de mes mots trop lourds

Ne sait lui édifier  cadeau de plus sage dévot

 

Hanaé naquit,  mon esprit me la dit: Romantique

Sa goulue de vers aux douces rimes exotiques

Lui offre la traîne majestueuse du fantastique

Qui la conduit dans son monde du bleu mirifique

 

Plus que beau, son simple voyage dans l’arc en ciel

Elle ne cherche dans cet univers que le  poème

Pour se baigner l’esprit nu dans la mer éternelle

De ma pensée  couchée en  un   monde de bohème

 

Opiniâtre elle se glisse serpent  adulateur publiant   venin

Ce fiel qui entache ardeur et  brisent  félon,  l’émotion

De sa gentillesse elle vous reprend aimable la main

Pour vous persuader  de continuer à  sa satisfaction

 

Hanaé je ne la connais, je ne la connaîtrais jamais

Seul mon esprit sait lui parler au fond d’un cœur

Qui se raconte ses bonheurs, ses peines, pas assez

Car elle voudrait  consoler nos sentiments  de frayeurs

 

Je longerai toujours pertinent sa vie  à sa demande

Dans sa discrétion je partagerai ses humeurs sages

Nous nous séparerons aux  incompréhensions des chamades

Quand nos sentiments peineront à se croiser dans la page.

ƒC

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7 octobre 2017 6 07 /10 /octobre /2017 18:23
Le soir me confia

 

En cette Journée terne, le soir me confia

N’aguiche pasimprudent  la pleine lune

Viens prés de moi aux sillons de  ma dune

Où se cachent les secrets du faste des férias

 

Sombre dans mes bras n’hésite pas, là couches toi

Dans les révélations salutaires  de ma belle nuit

Les étoiles étincelantes sont dans mon ciel éblouis

Elles éclaireront ton conscient  au format de ma  loi

 

Quand tes yeux  piégés s’abriteront de mon sable

Tu  me chemineras dans la vallée des mirifiques rêves

Pour côtoyer serein  des paysages radieux   sans trêve

Dans l’extravagance de la mouvance utile de mes fables

 

Je te laisserai le loisir utopique d’aimer sans vergogne

Ceux que le réel ne veut jamais fallacieux  te confier

Dans la tendresse de mon espace pour pouvoir être mystifié

Afin que tu veuilles toujours me serrer détaché de ta grogne

 

Dans ma vallée nocturne nous irons dans les  vastes paradis

Où chaque pas  illumine la vie de fantastiques  moments

Revêtue des linges  soyeux  de la pureté  des innocents

Tu fouleras  émoustillé ces mondes imaginaires de l’envie

 

Tu marcheras  enchanté   prés de tes aïeux au loin perdus

Ils te fourniront preste leurs espérances du temps passé

Héritage  inné  des amours survécus  aux demains dépassés

Que tu partageras à ta dulcinée surgie de sentiments tenus

 

Merci mon soir de ne me faire connaître le somptueux bonheur

On est si bien  dans ton univers au centre de  mille richesses

Où les faims n’ont plus de faims et chassent toutes  les tristesses

Pour laisser place  à ces plaisirs conquis à l’instant de la  fureur

 

Je te laisse profiter au mieux  de toutes mes beautés instantanées

Sache qu’à l’heure où mon voisin le jour viendra me saluer

Je te quitterai sans préavis sur ton grand chemin de la réalité

Puisses-tu enfin  imaginer  tous ces beaux  mondes émancipés.

ƒC

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6 octobre 2017 5 06 /10 /octobre /2017 23:18
L'horizon d'un destin

En poste  sur le bord  de ma vie

Saigne  le doute de mon destin

Des  blessures de son passé

Un flot de folles douleurs

Tente de se soigner  d’espérance

 

IL  regarde  au là bas  cet horizon

Celui de ces demain inconnus

Il  persévère  intrigué à les traquer

Pour  dissiper toutes les brumes

Qui entourent son obscur  mystère

 

Les derniers rayons du soleil rouge

Ronge  la faune, la flore  qui souffre

Se déforme, se plie, s’asphyxie,  se meurtrit

L’eau est venue sans peine   à leurs manquer

La nature  laisse seule,  prospérer  la ronce

 

Une pluie de cendre

Recouvre cette terre

Des derniers brulots

De cette atomique guerre

Engendrée par la main pressant

Le satané bouton de la mort

Main de ces pervers humains  du pouvoir

Dont l’orgueil despote à pris

En otage la volonté des innocents

 

Le monde urbain est silencieux

De partout dans ce désert plus de mots

Plus de vie, inutiles ces immeubles

Qui pleurent de leurs ruines  de désolation

Ils laissent tomber leurs larges épaules

Sur le sol qui se lézarde, quelle démence !  

 

Mais où donc est passé l’humanité

Elle a disparue, laissant là,  seules

Leurs faméliques armées de robots  pétrifiés

Pour l’éternité,  les voilà figés, sans mémoire

Pour survivre sereins à l’esclavagisme  humain

 

Les mers, les océans expirent  avec peine

Leur dernière transpiration fétide

Le dernier poisson agonise, tente de marcher

Sur cette terre qu’il na jamais franchit

Ses ouïs grandes ouvertes

  Il tente de  s’octroyer  un air déshérité

 

Là bas plus personne pour nous  parler

De mos aïeux, de  nos  vieux amis

Les souvenirs sont  lettres mortes indéchiffrables

Que voilà un monde sans vie que l’humanité

Avant-hier a laissé s’effondrer par égoïsme

A trop vouloir

Les lendemains  vous délaissent du   tout

 

Sur le bord de cet horizon

 Il entrevoit un parchemin

Serait-ce ce testament d’héritage, il s’étiole

Mais à quoi servirait-il à cette humanité disparue

Les humains savaient-ils

Qu’un testament n’est dévolu

Qu’à la condition d’avoir descendance

 

Humain n’as-tu pas failli

A la morale naturelle

Il te faut préserver ton univers

Pour laisser survivre ton demain

Mais ne l’as-tu pas oublié

En privilégiant l’or, la science

Au détriment  du respect de la nature

Que tu as polluée, souillée, infectée

 

Nous reste-t’il un espoir

Que notre descendance soit  là au demain

Pour que vive au toujours  notre destin

Nous vous en prions

Offrez-nous cet espoir

ƒC

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5 octobre 2017 4 05 /10 /octobre /2017 14:02
Ton image

 

 

J’ai découvert inquisiteur ton image

Dans l’instant d’un rêve  très sage

Je voulais être la main de ce  mage

Qui  tend  l’amour roi  au jeune  page

 

Yeux d’azur lumineux, belle allure

Mes iris gentillets scrutent ton bleu

Puis je! Sans délation m’y fondre un peu

Pour te défaire attentionné de ton armure

 

Doigts de fée, intrigué  je m’en repais

Mon toucher jugule ma saine  pensée

Qui t’ouvre pure le faste  de ma félicité

De t’endiguer de mes caresses rêvées

 

Au cœur passion de tes mirifiques entrains

Pulsions vastes  de mon impatiente  faim

De t’aimer à jamais en réitérés  refrains

Je te dépose mon cœur, ce digne  surfin

 

Il est le temps où mon corps te donne

Ces baisers dont on ne compte la somme

Ils seront  bonheurs croqueurs de pommes

Asséchant ces faims de l’amour des arômes

 

Ton pas saccadé a troublé délicieux mon esprit

Où se mire ton déhanché  envoûtant mes soucis

Comment aimer  une merveille qui vous fuit

Ce n’est pas un délit de  vous aimer d’envie

 

Voilà ma dot ce ne peut être que mon cœur

Il bat au rythme de vos bons désirs sans peur

Demain se lèvera le jour de votre ardeur

Confiner à mon envers comme l’extrême meilleur

ƒC

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4 octobre 2017 3 04 /10 /octobre /2017 17:57
Nuage de vie

Nuage de vie, éphémère de l’éternité

Traverse les cieux et notre bonne terre

Encanaille-les pour que ne soit amère

Ce voyage au monde du berceau  lumineux

 

Sur le chemin des douleurs garde ta parure

Ton soleil  te ravivera  de sa faste énergie

En cahotant tu trouveras ton impétueuse égérie

Embrasse sa vertu de ta blancheur si  pure

 

Ne fait d’ombre à ta terre d’adoption

Ne tente pas de pleurer  sur ses plaies

Donne lui à  vivre le profit de ton  effet

Cet amour  que tu lui portes d’admiration

 

Promènes- toi sur les airs  nuancés

Tolère  tes  espaces  de différences

Pour gagner à te rassembler indulgent

Au grand nombre des nuages  des amitiés

 

Nuage ne faiblit pas,  poursuit ta route

Ne t’occupe pas de ces vils, ignore les

Ne tremble pas, ta volonté sertie et révélée

Adoucira les enfers  de piètres déroutes.

ƒC

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3 octobre 2017 2 03 /10 /octobre /2017 22:36
Le rapide

 

Le rapide train chatoyant  me trimballe

Dans les  soubresauts de ce faste  dédale

Les doux   paysages me mitraillent en rafale

Et mes yeux s’écarquillent à ce  beau festival

 

Chaque village se dévoile théâtre  royal

Au détour escarpé d’un coteau vallonné

Qu’aborde l’orée d’un riche bois  sculpté

On a peine à croire que l’on ne fera escale

 

Le soleil dans les ombres joue à cache-cache

Il me fait un clin d’oeil embrasant la nature

Je badine avec lui  et de sa raie trop pure

Il me rattrape et me  tutoie de sa sombre  tache

 

Le paysage coure et me laisse  bien seul

Dans ma rêverie de ces gens, tant d’amis

Ils pourraient l’être si mon train  sans préavis

Pouvait s’arrêter prés de ces champs d’éteule

 

La mélopée  de ses roues d’acier me berce

Et ma pensée conduit l’orchestre  silencieux

Des images de mon passé  le plus précieux

Endormi je me dévoile un avenir que je perce

 

Quand je m’éveille, les yeux fixés à l’horizon

J’aperçois au très loin cette silhouette trapue

Elle dessine la grande courbe   toute émue

De traîner  ce monde des voyages  trop longs

 

La nuit a effacé le jour, s’entrechoque  les essieux

Le ralentissement  interprète  le prochain  repos

De la BB sur les quais de la gare où les badauds

Sourires aux lèvres attendent  pressés leurs aïeux

ƒC

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2 octobre 2017 1 02 /10 /octobre /2017 16:01
Elle là, lui ici

Elle, là

Lui, ici

Il en fût ainsi

Au soir d’un bel été

 

Coup de foudre

Ils s’aimèrent

Adossés à la mer

Surfant sur  les vagues

Dans  l’instant ils divaguent

Les yeux dans les yeux

Tournés vers les cieux

De leur  proche amour

Celui de tous ces jours

 

Ceux qui Burinent vos baisers

Dans ces bonheurs aisés

Pourlèchent les secrets

De ces âmes rassurées

Au rythme du bel avenir

Où se glissent les devenirs

Quand les sourires  savoureux

Vous bâtissent  des corps radieux

Dans ce monde du grand  éternel

Jouant en pléiades la belle ritournelle

 

Chante, chante

Amour, amour, sempiternel séjour

On s’aimera toujours du plus bel amour.

Je t’aime

Je t’aime

ƒC

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1 octobre 2017 7 01 /10 /octobre /2017 15:56
Ne cherchez pas le bonheyr

 

Vous cherchez le bonheur

Ne le cherchez surtout pas

Il n’est pas à trouver

, il en est ainsi ici bas

Réfléchissez, regardez

 En votre partout sans heurt

 

Prenez-le!  II est prés de vous

Il est  en vous si vous le voulez

Il vous sera garanti

En votre  pleine volonté

Présent  chaque jour, vite anticipez !

D’un sourire qui n’engage que vous

 

C’est la prime action  habilitant

Le bonheur dans votre cœur

Qui ne demande qu’à s’y accoquiner

Prés à s’échanger  par ailleurs

Avec celui, ceux qui l’accueilleront  apaisant

 

Vous serez ainsi comblé d’aise

Plus de souffrance de   la solitude

Qui ne daigne pas le prendre dans ses bras

Commencera  avec force cette attitude

De dégager votre bonheur pour   bien plaire

 

De cette action rayonnera votre aura

Elle dissipera tous les malentendus

Ceux qui vous détachent

De penser que  le bonheur existe

En cet aspect rigide de vos amertumes

Qui vous soustraient de  ces rires de féria

 

Vous n’aurez plus à chercher le bonheur

Futile  poursuite  contraignant votre pensée

D’être bafouée  par ce que vous possédez

De plus cher, de plus altruiste, de plus merveilleux

Corps meurtri réveilles-toi,  tu possèdes le bonheur

 

Toutes les portes s’ouvriront  à votre  amabilité

Couvert du bonheur  de ces lumières  dorées

D’où se réfléchissent d’aise  vos pulsions de bonheur

Envieux chacun vous  regardera émerveillé

Par  votre  être en cette éternité  de félicité

Quand vous serez drapé du  costume du bonheur

ƒC

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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