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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 18:32
Confiance je ne suis tragédien

 

 

J’ai trouvé sur ma route la lépreuse

Me donnant les frissons  de la pagaille

Qu’elle entretenait  cette ville canaille

Sans vergogne pour mon esprit, la briseuse

 

Confiance c’est toi l’éhontée  qui  resquille

Dans le nid de ma pensée tous ces ramassis

Quand de temps à autre j’entends le clapotis

De bonnes paroles voilà que tu me houspilles

 

Non,  confiance  je ne suis pas un tragédien

Mon souhait est d’en terminer avec  les querelles

Qu’enfin ma volonté puisse  ouvrir la propre vannelle

Pour m’éviter les inquisitions gênées du quotidien

 

Mon amour ne doit pas subir toutes tes fadaises

Je ne veux pas qu’il meure de cette vraie méprise

Alors confiance sois sage je veux que tu pactises

Avec ma volonté quelle ne craigne d’autres malaises

 

Si au détour d’une pulsion j’entrevois ta silhouette

Je fermerai ma pensée car je ne crois au masochisme

Et je ne ferai plus un compte de ton  virulent mysticisme

De mon esprit vif je t’enfermerai dans ma  mésangette

 

Confiance  je ne serai l’esclave de ta triste trituration

Pour cet amour  ma pensée s’oblige d’être conquérante

De ce bel abri s’assagit ma jeune folie  concourante

Elle se prépare à cet avenir, fait de saines  prosternations

    ŦC

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 13:50
Les épis de vos vies

 

Au coin serré du petit champ de blé

Nous avons cueilli les épis de nos vies

Baisers entrelacés de nos fidèles envies

Dorées  au grand soleil de passions  sublimées

 

La sève de nos cœurs saigne sur nos pulsions

Dans le silence  de notre intime recueillement

Se mêlent  les cantiques  de l’étourdissement

Ils nous entraînent légers à de  pures tentations

 

Nos yeux se dévorent, appétit  des affamés

Courent sur nos corps  comme des morfales

Émiettent nos beautés  aux plaisirs fatals

Des bonheurs pour ce  vif  amour dual esseulé

 

Mots tendres au langage court, il s’excuse

De ne pas être prolifique en  incantations

Seul perce la bulle messagère,  de ces « je t’aime »

Témoin de l’accident ravageur de notre  passion

 

Satellites des bonnes pensées, unique trajectoire

Elle rayonne sur notre  orbite des  douces  sensations

Dégage  ces énergies de l’amour  igné des  pulsions

Qui irradient  nos corps révélés à l’effet ostentatoire

 

Au  mélange de nos corps joueurs s’élève

Un merci enjoué aux  effluves de bonnes senteurs

Elles se mirent dans le bleu  de ce fondé bonheur

Que nous offrent les cieux  accroché à notre rêve

 

Le gentil étourneau à tire d’ailes  nous a prévenu

Il est temps de dénouer votre union de l’altitude

Les choses ordinaires vous attendent  dans la plénitude

Profitez-en pour percer les  secrets de tous vos imprévus

ŦC

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29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 13:09
Au paradis de la paix

 

Je suis allé m’asseoir au haut des colonnes

D’où jaillit à l’ultime horizon des  confins

La lumière originelle de la vie descendue du destin

Que croyez*vous  que j’y aille faire  de bon matin

Voir ces âmes qui dit t’on habiterons les hommes

 

Voilà un grand plaisir, donnez le moi gracieux

Chasser l’âme des  loups qui hurlent dans le noir

De cette peur qu’ils soient  déposer  au grand devoir

D’être les agneaux embrasant  le monde des vertueux

 

Je  pourchasserai impétueux  leur faconde de résistant

Toi mon plaisir guide moi sur leurs sinueuses traces

Qu’ils ne puissent croire gravir ce  col  vers le paradis

Laisse les hurler ils me préviendront de leur strasse

Que j’annihilerai au précipice du grand vide attenant

 

Plaisir, plaisir  montre moi  la magnificence  d’humanité

Emporte moi vers ces lumières gigantesques et salutaires

Que mon esprit phare veut  transmettre humble à la réalité claire

CommetTout ce bien moral,  efficace  pour survivre à l’iniquité

 

Plaisir, plaisir  combleras tu le sillon des pauvres de tes semences

Délivreras tu les richesses cachées, plus de rois, plus de riches

Le visage de mon existence s’éclaircira des beautés du cosmos

Plus de gènes guerriers, d’atrocités, de colère tous remis en friche

A repousser sur les mers des vents où prend prise  l’esprit édifiant

 

Je ne sommeillerai plus dans l’anxiété des grandes nuits des temps

Mon âme ne pleurera plus  ces pluies de tristes lamentations

Qui traversent les voies lactées à la recherche  des consolations

De  cette humanité qui demande de vivre au paradis de la paix

¤☼ŦC

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28 novembre 2016 1 28 /11 /novembre /2016 14:13
Toi l'amante

Toi l’Amante

 

Amante de ton  soleil  de l’instant présent

Je t’entends geindre, sur ton lit de l’éther

Tu accouches des malheurs  de te taire

Aux  velléités de ces humains  insolents

 

De ton existence tu veux le bon profit

Promener sage dans ton univers soyeux

Ceux même qui s’ingèrent  fallacieux

A vouloir t’avilir d’une éphémère prophétie

¤

Tu acceptes la monotonie de tourner en rond

Pour leur bonheur mais  de leur insolence

Un jour voudras- tu changer ton  cap d’aisance

Convaincue de leur folies d’être des poux  poltrons

¤

Ton destin  comme le leur et  de disparaître

Comme eux tu voudrais vivre  toute  l’éternité

Sauront t’ils  ces malotrus pernicieux préserver

Ta réalité jusqu’à leur infini et te laisser paraître

 

Toi l’Altesse de l’amour des mirifiques  temps

Quand t’embrasse ton soleil à ton levé  mirifique

Raconte à ces humains  ta sérénité  emblématique

Transfert des tendres amours de tes bons adorants

 

Supporteras- tu encore longtemps leurs folies

Les prémisses de ta mort annoncée s’exhibent

Ton urticaire bombarde ta peau, dévore tes rides

Bon  air qui se dégradent  sur  ton bleu trop  sali

 

On pourrait se donner rendez-vous  à bientôt

Pour le grand et dernier   des gracieux orbites

Tu ne leur lâcheras pas la main  dans ton  rite

Tant pis, mais les bons seront soulagés plus  tôt

☼ŦC

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25 novembre 2016 5 25 /11 /novembre /2016 13:21
Le temps des vils

 

Le temps pourlèche habile son temps

Vol d’oiseau au retour, vers le primat

Se débarrassant aux confins, des auras

De ces  traces, d’existence du  firmament

 

Astres féconds brûlent, des pures passions

Attisent  l’instantané, de la  purification

Engendre des halos,  de grandes  réflexions

Sur cet univers  brûlis, des muettes connexions

 

Intersection des êtres, passage des beautés

Planète des corps, orbite naïf  de l’incertain

S’affaisse dans le noir,  ton noble parrain

Il n’a que faire, de tes phantasmes d’irradiée

 

Tourne les esprits, sur ce temps qui s’en va

Inquiétant présage, ne garder  aucun  profit

De l’initial, atome des bontés  de l’infini

Surgit d’inexistants, repaire  d’un sebkha

 

La pensée humaine viole,  la raison des vérités

Des pouvoirs qui transportent, les vies au charnier

Déroutant l’être, du  passage espéré au grenier

D’un temporel sur le paradis,  nature des adoptés

 

Joue le temps, arrête  ces penseurs de l’inqualifiable

Montre leur ces folies qu’ils commettent  frondeurs

Sur ces  espaces, que tu as transmis de tes profondeurs

Otage ne marche plus, qu’ils te fusillent d’une morale aimable

 

Aiguilles ne tournez  plus, sur la sphère des indignations

Humanité  tes privilèges,  d’être intelligente  s’étiolent

Retrouve l’humilité,  à ne perdre  toutes les fioles

Des  bonnes sciences conquises, en  grandes justifications

 

Quand se lèvent les typhons, emportent les plus vils

Sur les monts  de leur infini,  où règnent les poussières

Ils auront la puissante certitude,   dans un  rejet   amère

Que leur tromperie pour un être parfait, n’est acte à domicile

☼ŦC

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24 novembre 2016 4 24 /11 /novembre /2016 13:20
Toi ce JE

 

 

Courroucé par le temps, une  gifle à mon Je

Pourquoi es tu là ? Que fais tu là ? dit moi!

Tu embarrasses ma conscience, un émoi

Perfide Je,  laisse-moi ce n’est pas un jeux

 

Toi le Je de l’humanité, puis-je te connaître

Prend conscience de l’existence, réveille- toi

Comprend que mon esprit  supporte un poids

Ne pas comprendre,  ce qui t’a fait naître

 

Regarde- toi Je,  qui serais-tu seul dans l’immensité

Un rien ! Si peut être un de ces astres qui orbite mort

Tu ne peux exister sans la présence  dés lors

Des autres Je, ils te donnent ce parfum de la réalité

 

Toi le Je,  as -u conscience de ta conscience

De savoir que tu  es, fakir des connaissances

Tu te crois expert  d’un devenir d’espérance

Ne sourie  pas,  te voilà dans la turbulence

 

Si tu es Je,  ne corrompt pas  ma  science

Tu n’es qu’une poussière parmi les poussières

Surpris de ce corps  matière de ta réalité fière

Qui t’apprend ton passage furtif  sur cet austère

 

Mon Je n’écoute pas, ce Je de fausse finitude

Ton entendement, n’est pas source de privations

Profite dans ton monde, des délices de ta raison

Imagine- toi le grand espace, de tes  certitudes

 

Ne t’inquiète pas mon Je,  le temps est violent

La matière est violente, déchirant les espaces

Nul être parfait n’est capable, d’en prendre la masse

La matière est venue  du néant, repartira au néant

 

Toi le je, objet des grands cycles, du primat des mondes

Tu ne reviendras plus, tu as posé tes bagages ici

Je sais! Tu n’a pas fait le choix, non ne reste pas assis

Dépêche toi, ce temps t’est compté ;  C’est la fin de ta ronde

☼ŦC

¤¤

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23 novembre 2016 3 23 /11 /novembre /2016 14:12
Ô ciel d'azur

 

Le ciel ce matin s’est levé

De  son étoilé lit de nuit

Il s’est peigné  de bleu  lavé

Boucle d’or  dans sa limpidité

 

Enfant prodigue, calme de la vie

Il étend ses ondes de mystères

Sur la vague des esprits de l’air

Chevalier migrant de la boulimie

 

Vole sur sa crête la chevauchée

Des moutonneux princes du vent

De leurs ombres il pleure un serment

Recueillir le grand feu de l’or caché

 

La colère fortuite des importuns  le blesse

Il s’affaire à panser ces longues griffures

Arrache de longs gémissements d’enflures

À cet air  rebelle qui abominable le dépèce

 

Quand l’hydre des tropique vil amant

Lui suggère un baiser en l’attendrissant

Il se soulève d’inquiétudes rugissantes

Inconcevable  devenir d’être pur accident

 

Il conte anxieux  sur son arche multicolore

Les histoires des constellations balayées

Se prie des cantiques pour sa dense destinée

Garder sur ses joues la trace  de l’indolore

 

La brise légère  le serre dans sa belle altitude

Lui redonne sa pureté de prince de la simplicité

Nourrit de l’effusion de l’idyllique dragon  doré

Il se montre idole adulée de la belle servitude

Quand les humains lui « lèvent  prières de bonheur

☼ŦC

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22 novembre 2016 2 22 /11 /novembre /2016 16:21
Mon esprit maudit

 

 

Sur la montagne délurée, de la vie

J’ai gravi absorbé, les pentues falaises

Quand soudain, le vertige se dresse

Raquetteur, surgit d’un précipice d’envies

 

 

Et le noir, vous informe  impertinent

Reprend ton souffle, ce juste dérisoire

Ne le laisse pas,  glisser au laminoir

Ton destin, n’est pas enclin au tentant

 

Conscience  de vouloir, de pouvoir

Ciel  d’azur, de vous interdire ce rite

Beauté  désolée, de vider ce sang du mythe

Esprit entends-tu, ma bonne raison au soir

 

Ame tu es là,  changer de carcasse

Ne rêves pas, l’heure t’est infidèle

Pressée de connaître, elle s’enfuit rebelle

Sur mon destin calmé,  du grand cocasse

 

Il m’assène, au fond de mon être incontrôlé

Ce maudit esprit, des démences inqualifiables

Déjouant  mon corps, de ses rejets irréfutables

Que le vent extasié, me transmet en légèreté

 

Les soleils me rappellent, les chaleurs  de la vie

Sèment leur vitalité, sur la beauté des floraisons

Qui ravivent  ma santé, de glaner sur ma raison

Le profit  de jaillir,  propre de ce ravissement servi

 

Je ferme les yeux des guerres, des tristes misères

Regarde le monde  dans la passion des beautés

De l’arc en ciel des  bontés j’extirpe les joies retrouvées

Mon esprit enfin se délie  de ses soupirs amers

 

Je ne veux plus gravir ces montagnes illusoires

Parcourir les plaines  de mes belles satisfactions

J’en trouverai pour sûr toujours de bonnes émotions

Cela est et sera à mon destin un vœu incantatoire

Pour bien courir sur les chemins du bonheur jubilatoire

☼ŦC

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21 novembre 2016 1 21 /11 /novembre /2016 15:26
La route vers l'amour

 

Sur la route prioritaire de ta timidité

Je me suis leste et amoureuse  engagée

Pour entrevoir radieuse, tes bas coté

Où se reposent  tes vivaces  rêveris

 

J’ai levé toutes les villes barrières

Pour rencontrer, les tristes  cimetières

De ton vif repli aux frigides carrières

Où tu te mines sans autre, insipides moyen

 

Excuse-moi, si je passe à ces lascives vitesses

De tes saines  sensations, de tendres hardiesses

Elles se posent  acharnées, en bonne diablesse

Sur ton corps, qui chante ta riche  passion

 

N’ai crainte, je te conduirai au calme

De tous ces baisers, silence de la palme

Des records enregistrés, dans  la flamme

De mon amour  paré, de l’or des emblèmes

 

L’accident des rencontres, n’est pas fatidique

On l’attend comme,  monstre  diabolique

Pour mieux  constater, à l’amiable l’empirique

Ce besoin de se toucher, du geste scintillant

 

Amour mon appel soucieux, tu l’as bien entendu

J’ai vu dans tes yeux ce danger, cette verrue

Ta timidité maladive,  je t’en prie ne la sort ténue

Laisse la là bas,  au fond de ta froide  masure

 

Ne t’enfuis pas au barrage, du bon test de l’amour

Embrasse mes lèvres, leur chaleur domptera ce jour

Nous éviterons les tracas, de la vie pour le grand tour

De nos corps qui geignent, de se sentir  si béotien

 

Il est le temps maintenant, de profiter du voyage

Cet amour que nous donne  la vie, on s’engage

Dis moi que tu n’as plus peur, de ce suave virage

Conduisons nos pas  au bonheur, du bon adage

L’amour est plus fort  quand on sort de la désolation

☼₣€

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16 novembre 2016 3 16 /11 /novembre /2016 14:36
Dans les étoiles

 

La tête confinée dans les étoiles

Mes pensées jouissives  scintillaient

De la rêverie batelée des beautés

De ces paysages transposés  sur ma toile

 

De la palette naturelle des tendres  pastels

On entrevoyait lascif les doux tracés

De ces châteaux entrelacés  rois du passé

Protecteurs de mon esprit à la ritournelle

 

De la magie initiante des couleurs vivifiantes

Virevoltaient séduisantes mille notes luisantes

De ces pinceaux arpentant d’un  silence galant

Les espaces  souriants de  mon geste innovant

 

Yeux de l’éveil émerveillés dans les rais des soleils

Du Paysage illuminé au jour de ma démente raison

Senteur immuable  du magnifique, éclos  des moissons

De la lumière éternelle des tons passionnés sans pareil

 

Les trésors engloutis s’entassaient  à la nuit

Dans  les généreux porte-dessins  trop ventrus

De devoir se  serrer malaisés comme  des malotrus

Couchant leurs toiles entassées aux profonds ennuis

 

A l’heure du repentir  des nostalgies brilleront

Sur le front rancunier   de ma pensée  furibonde

Mes  rêves sereins des passés et d’avenir abondent

Recroquevillés pour visiter ma passion  des frissons

☼ŦC

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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