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30 mars 2016 3 30 /03 /mars /2016 21:02
Toi poussière de poussières

 

Oh toi poussière de poussières

Qui engendra à ta source primaire

L’humain vulgaire

Laisse-le regarder le temple de l’univers

Il y découvrira, de  ne pas être  lumière

Et de  prendre au creux de sa main la prudence

 

Humain sur ton petit monticule happe l’humilité

Tu ne diriges pas, cet univers  emphytéotique

Tu ne fais pas orbiter, la céleste  voie lactée

Ne te crois  pas,  expert de la rhétorique

Pour nous administrer tes dires soporifiques

 

Ne joue pas à la super nova explosive

Tu pourrais  t’exterminer,   avant ta finitude

Et retrouver le berceau, de ta  solitude

Ce néant d’où  ta vraie nature, ne fut pas oisive

Quand néant fut transport de fusion instinctive

 

Alors toi, être humain recueilles charitable

Toute cette science, cadeau de la nature

Partage-la avec, toute ta  belle  progéniture

Pour qu’avenir  régénéré,  lui  soit profitable

 

Quand tu ne sauras pas, quand tu ne pourras pas

Ne soit pas intransigeant, avec ta  rigide  pensée

Laisse-la se reposer, car il sera  temps pour  la rassurer

Et ne pas défenestrer, notre bonheur, ô tracas

 

Humain ne rêves pas ,nous ne serons jamais éternel

Notre morceau de cailloux se peuple trop vite

La faim, la soif, le travail  seront un vide

Que ta modernité ne remplacera d'artificiel

 

Nous qui sommes exiguïté  de la petitesse

Nous ne demandons qu’à vivre,  au soin du bonheur

Celui qui exige n’être illusion, au profond de notre peur

Quand   savants recherchent   profits de bassesses

Ils nous  trompent sur l'us de leurs machiavéliques découvertes

Ils  nous  offrent,  à croire que science est sapience

Quand la modernité devient  insidieuse ivresse

Il est alors nature pour exiger de nous, plus de  sagesse

Médite humain avant  que ne soit l'heure de ta tristesse

Tu n’es rien, si ! Une poussière de poussières

☼₣€

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29 mars 2016 2 29 /03 /mars /2016 16:06
Les anges pouilleux

 

Regards sur le vide de leur vie

Les anges  pouilleux  songent

A ces jours  fragiles qui les rongent

De la crasse qu’entretient  leur survie

 

Enfant tu  ne voles, chipes-tu pour survivre

Pourquoi te condamner, toi l’intransigeant

De ce  crime fallacieux  d’être un  indigent

Dans l’exercice de ton  droit universel de vivre

 

Toi l’innocent,  l’humanité te  protège-elle

Quand seul te  voilà jeté, aux caprices des pourris

Serviteur oppressé  de leur grand profit

Ils te détruisent au savoir de leur bagatelles

 

Repus et nantis ils se fabriquent des alibis

Pour l’aide frauduleuse qu’ils te  prodiguent

Pour mieux assouvir leur soif   de mille  intrigues

Qui te mènera  inconnu vers ton  dernier mouroir

 

Humanité protège tes enfants,  d’un don de  bonheur

Ne  les instruit pas,  de la haine de l’incivile  rue

Qui laissera indélébile ce mal, rognant le bien en leur vue

Quand adultes ils auront souvenirs de leurs terribles  peurs

 

Humanité dépose ce grand cadeau,  au cœur de  tes enfants

Ordonne que  paix soit,  pour qu’ils  participent à de sages  jeux

 Enfance à jamais  tranquillisée dans des bras enjoués

Quand la grande  amitié rassemblera tous les  vivants.

 

Du nord au sud, de l'est à l'ouest

Que tous ces innocents,  anges heureux

Puissent jouer dans  un monde merveilleux

☼₣€

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29 mars 2016 2 29 /03 /mars /2016 01:19
Ma volonté je hais ta vérité

 

Ma volonté,  je hais ta vérité

En ce vouloir pour pouvoir

Ouvrir spontané, la porte  du noir

Où se morfond servitude imposée

 

Je voudrai,  mais je ne peux

Engendrer  ce bel  acte voulu

Source de ma bonne vertu

Iniquité contraire à mes vœux

 

Je ne demande pas une  grâce

Pour différencier le bien du  mal

Mon humanité est mon fanal

Qui éclaire ma raison, vers cette trace

 

Le libre arbitre de ma volonté

Me donne toute les justes  attitudes

Pour me sauver de ces servitudes

Qui froissent, mon besoin du je peux

 

Quand mon pouvoir s’acquittera  du  bien

Il ne déversera que ce fond d’humanité

Indispensable pour retrouver la paix

Celle intérieure de mon esprit cartésien

 

Si mon vouloir instantané,  peut le mensonge

Il ne sera pas le mal, mais guidera  le bien

Pour  ne pas châtier, aveuglément par ce lien

Celui de mon mal,  ami voisin de mes songes

 

Ma liberté m’apporte ces certitudes

Ma pensée se doit , de  pouvoir des vouloir

Qu’aucune autre volonté  ne mettra au mouroir

Elle donnera acte,  sans jamais d’inquiétudes

 

Et si je peux arrimer,  une sagesse à ma volonté

Quelle reste dans le juste et accepte le devoir

Elle saura avec équité,  échapper au défouloir

De ces fausses vérités qui ruinent sa sage  bonté.

☼₣€

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27 mars 2016 7 27 /03 /mars /2016 13:18
Maman

 

Maman, le soleil  de ses beaux rayons

Signe sur tes lèvres un beau message

Que tu déposes  aimante sur mon front

Et ta  bise me tire de tous les  naufrages

 

Maman prends  en  cadeau  ma jeunesse

Soyons les bonnes amies, ces  complices

Qui se disent  les secrets  de leurs ivresses

Notre amour que nous partageons en solstice

 

Maman je suis fière du  grondement de tes yeux saphir

Ils me disent ton admiration à bien  me  comprendre

Quand dans le temps de la nuit  il me faut apprendre

Les premières déceptions  de mon cœur grand  fakir

 

Maman j’admire ton versatile sens de l’illusion

Quand d’un mot du détend mon  vil atmosphère

Et que tu me donnes la force de fondre dans l’action

Et ton sourire se porte garant de toute ma sphère

 

Maman je remercie ton sens de l’altruisme fataliste

Et ta main  se défait oh miracle de cette manne

Dont je suis frugale, ce n’est pas pour toi infâme

Ton intérêt  est versé du fond de mes yeux idéalistes.

☼₣€

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25 mars 2016 5 25 /03 /mars /2016 18:03
Ta puissance à aimer

 

Dans le soleil éclipsé de ma longue  nuit

J’ai vu lumineux,  tes yeux d’azur  réjouis

Ils me disaient silencieux  ces étranges mots

Imperceptibles pour  tous ces incognitos

 

Traductrice  spontanée je me suis hissée

Sur les ondes de tes bons désirs   rassurés

Pour  capter avec intelligence sur  mon retour

Cet  attrait,   séduit par tes hiéroglyphes sourds

 

J’ai déchiffré ta puissance véritable  à aimer

Elle  m’offrait des gerbes  florales  insensées

Où voulaient se mêler tes mille baisers enfiévrés

Et j’ai perçu la réalité de ton bonheur à donner

 

Les éclats de leur lumière ont irradiés  salvateurs

Ma pensée folle de courir vers les grands bonheurs

À la recherche  de vrais raisons,  pour cette union

Qui me conduira à la sagesse d’une grande satisfaction

 

Nos yeux se sont  alors clos,  pour le rêve des demains

Qui engendrent les nouveaux amours sibyllins

Et nos corps tiraillés se sont éteints pour admettre

Que nos atomes d’amour fusionnaient dans nos êtres.

☼₣€

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24 mars 2016 4 24 /03 /mars /2016 14:32
Cet amour

Je voulais prendre l’azur

De tous ces bonheurs sûrs

Je me suis assise sur mon nuage

Pour happer les horizons  sages

 

Depuis les ans  j’étais transite

De devoir cueillir au jour qui s’ébruite

Cet amour  que l’on me déposerait

A l’autel  de mes désirs lapés

 

Ma patience m’a servi ce trésor

Pépite de délicatesse en ton port

Diamant  de ton caractère ambitieux

Saphir de pureté de ton audacieux

 

Je redescendrai  paisible demain

Quand tes yeux m’ouvriront certain

La caverne enchantée de ton cœur

Dans cette nuit où ne sera plus ma peur

 

J’entrevois la tourterelle messagère

Qu’accompagne  ma transe étrangère

Là voilà prête à te dire  des mots lumineux

Pour embraser les feux  de ton amour pieux

 

Lévitation de mon esprit devant ta beauté

Il te crie le silence de ces mots d’amour osés

Que je retiens comme des secrets reconnus

Qui se dissipent au vécu de ces  jours  attendus

 

Non je ne pourrai plus vivre sans ta présence

Je ne peux  croire vivre dans ma démence

T’attendre chaque jour  comme l’oiseau migrant

Ce n’est là ton retour, mais ton amour  que j’entends.

☼ƑƇ

 

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23 mars 2016 3 23 /03 /mars /2016 23:56
Uckange fleurie

Uckange  tu te changes

Au bel  été des mésanges

Quand  pleurent tes fleurs

Sur tes parterres du bonheur

 

Nos yeux se sont surpris

Aux belles couleurs fleuries

Du parvis de ton hôtel de ville

Où se viennent tes amis dociles

 

Ta grande cité sans fleur

A oubliée la triste  peur

Et seule les bons parfums

Affolent au loin la  rumeur des uns

 

Là bas au-delà de ton pont

Se fond au bel horizon

L’usine fière  de tes ancêtres

Elle rythme la vie  à leur fenêtre

 

Je vais par tes grandes rues

Couché sur les espaces ventrus

De cette verdure qui joue captive

Avec le rire de l’enfance expansive

 

Et leurs parents sous les étoiles

Au coin d’un parlé  dévoile

La vie de leurs familles là-bas

Contant Uckange quand elle s’aoûtera

 

A la froidure du nouvel hiver

Tes enfants au pull-over recouvert

Disparaîtrons de ton gentillet monde

Et  le silence se confiera aux facondes

 

Tu auras rangé toutes tes fleurs

Pour sortir cet artificiel  des lueurs

Qui brillera pour nos yeux bandits

De toutes tes sages faveurs inouies

 

Tes images,  toutes je les range

Dans la nostalgie  d’un voyage d’ange

Au Village fleuri où les joies s’ensilent

Quand je rêve à la nuit d’Uckange la fragile

☼₣€

.

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22 mars 2016 2 22 /03 /mars /2016 14:06
Croire à ton amour

Ô toi l’avantageux,   nageur impénitent

Pourquoi te baigner, dans l’azur de mes yeux

Je t’ai accueilli comme un don des cieux

Et tu as lavé mon esprit, par trop  intransigeant

 

J’ai  essuyé mes larmes  de bonheur

Pour garder souvenir, de ton avenir

Celui que je voudrai , partager à mon devenir

Dans le soyeux, de tes  revigorantes  ardeurs

 

Je prépare,  ton chemin de   migration

Vers la nidation, d’un chimérique nouvel amour

Prend ce brin de passion,   nouvelle vie, nouveau jour

C’est un joyau, que t’offre ma bonifiée  tentation

 

Au devin instantané, de ma pensée, je te vois preste

Conscient de ta bonté, invétérée d’accepter la réalité

Quand tu plonges, dans la chaleur de ma pure fidélité

Pour raviver mes pulsions ardentes, de pensées célestes

 

Au fond de mon cœur, jamais tu n’halèteras

Le flux de mon amour,  te donnera la puissance

De briller  du feu, de ton impériale  insistance

Pour donner  bonheur, à mes doux desideratas

 

Persuade-moi, que ma raison est floraison

De ces bouquets, qui vous apportent les joies

Nos cœurs aimants,  saignés de leur  grande foi

S’obligent audacieux, d’être notre folle  révolution

 

Ô toi l’avantageux,  nageur impénitent

Pourquoi te baigner, dans l’azur de mes yeux

Je t’ai accueilli, comme un don des cieux

Et tu as lavé mon esprit,  par trop  intransigeant

J'ai à   t 'aimer

☼₣€

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21 mars 2016 1 21 /03 /mars /2016 18:20
Je veux dire

Je veux dire ce que je ne peux dire

Les mécréants  voudraient me le faire redire

Et leur dire ce ne serait pas assez médire

Et pourquoi vouloir à vil prix me le prohiber

 

Et ces  gouvernants de la proche apocalypse

Voudraient me jeter lynché aux précipices

Pour que je  ne  passe pas dans l’interstice

De leur pouvoir et croire en  de vils redditions

 

Ils vous ballonnent au bûcher de leur vérité

D’où s’élèvent les mensongères fumées

Et nos esprits craquent  par leur raison minée

Enkystés dans  la raideur de  paroles malsaines

 

Et je me réveille pour dire, toujours dire

Les cantiques  de ces bonheurs volés sans rire

Qui froissent  comme vulgaire  leurs débats du pire

Ils y croient seulement pour encor mieux  m’assommer

 

J’ai trouvé ma volonté, elle sèmera toujours  ses mots

Dans la tendresse des beaux jardins  des rameaux

Où se tendent les mains  habillées d’oripeaux

Pour faire grâce  à l’humilité  du sage sansonnet.

☼₣€

Je ceux dire

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21 mars 2016 1 21 /03 /mars /2016 00:02
Pourquoi te caches-tu

 

En ma mystique  foi, Dieu je ne vois

Mes yeux si fidèles regardent sous son toit

La putridité de cette terre qu’il ignore

Et je prie, et je prie  dans ce triste décor

 

Je le mène en tout lieu de ma réalité

Et les enfants sur le sol alités

Pansent leurs blessures  d’amertumes

De voir là bas l’avenir triste sous les dunes

 

Je le conduis dans ses temples démolis

Au tabernacle ensanglanté d’autres fils

J’ai ramassé un corps  le défunt de la croix

Tombé à la guerre d ’un  chemin de roi

 

Je l’accueille au  grand  hôtel de la misère

Lui enfile les guenilles aux vermines amères

Petit déjeuner royal de racines  pourries

Préparé à l’eau nauséabonde,   reçue des nantis

 

Pourquoi te caches-tu les yeux,  à ta lumière des cieux

Je t’en prie ne vomis pas,  réagis, ne soit plus soucieux

C’est cela ton image, la crois-tu parfaite dans l’oubli

Relèves-toi, tu es Dieu, tu peux tout, Toi le dit accompli

 

Laisses-tu le grand  mal à   croire pour  ces révoltés

quand tu les laisse lever en ton nom un glaive  acéré

Pour occire tous ces innocents qui te prient  à genoux

et écoutent ton précepte: Tu ne tueras point, Sont-ils  fous

 

Il est l’heure pour toi qui n’a  plus d’heure, mon affliction

Je ne pourrai plus, jamais plus croire  à ma résurrection

Si tu ne peux ici  déposer ta lumière, es-tu là pour  illuminer

L’humanité qui attend ton  sursaut  vers les  vivants terrassés.

 

Je ne blasphème pas, je pense, et rêve  en silence

Ils déplorent que ta toute puissance soit absence

Pourquoi laisses-tu le mal nous prendre en orage

Les innocents,  bons sages  subissent les outrages

Ils déplorent que ta toute puissance soit absence

 

☼₣€

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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