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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 12:38

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Du coin de mon âme fidèle,   retranchée aux vastes recoins
Que descende  mon habile pensée,  libérée à ce projet décent
Cœur je t’en prie, rejette insensible  ta crise de rancœur
Permutant sur mon allègre corps à l’instinct  mutant
Le  vol imaginatif de  mon sublime amour qui  te survole

Plage  folle de ma saine  envie  qui sur le large  dérive
Affrète tes baisers suaves qui affriolants  me tempêtent
Embarque ma  folie douce sur cette féerique barque
Enquêtes sur ma conquête quand mes sens la quêtent
Vive ma  fureur d’aimer, délivré je rejoins La belle rive

Viens ma désirée je suis là, attend  le temps revient
Porte sur mon destin ce rêve,  furieux je le transporte
Cède à ma passion terrible avant que ruinée elle ne décède
Que sorte la puissance de tes yeux, ils me  déportent
Vers le bien phénoménal de ton amour,   il  me soutient

Ferventes sont tes douces pulsions, ton plan m’instrumente
Il forme ces flots impétueux, toujours avantageux ils informent
La rage de ton nouveau désir pour mon  moi, il t’enrage
La forme  de tes mots doucereux,  talentueux je les performent
Dans ma liesse de redevenir à l’infini  ton bel Adam

Génère le don de mes mille caresses,  je m’affaire
Petite mort quand tu promène tes lèvres sans aucun  remord
Lève-toi que je m’abrite à ton plaisir et tendre me soulève
Au corps  des fumées d’opium qui désaltèrent mon beau décor
Quand mon entière suavité me susurre mille   prières

Venir toujours plus prés de moi, tu seras l’éternel  souvenir
Tiens ma main dévouée ; source de ma lumière qui  te retient
Pour te dire je te cherche dans l’oubli, je ne veux te maudire
Tiens-moi au fond de ton cœur, ce riche  trésor m’appartient
Comment ternir mon bonheur,  j’ai peur de te perdre mon bel  avenir

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18 décembre 2011 7 18 /12 /décembre /2011 11:52

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Oh folies d’hier
Laisse la place à demain
Sagesse de malin
Qui s’assoie l’oeil certain
A chaque bon matin
Quand la fée de la vie vous  tend sa main
Pour transformer le vilain
Des lourds chagrins
En un amour  du destin
Qui vous donne mille entrains
Lorsque vous glanez  sain
Ce baiser de mille beautés d’airain
Tant il est,  que je souhaiterai
Que toujours vous profitiez
De la folie  de toutes  ces beautés.
☼ƑƇ



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12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 07:42

 


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J’ai entendu au fond de mon âme
Au loin le clairon de leurs  soupirs
Sonner  leur  lucidité pour m’estourbir
Que nous veut telle! Celle qui dans sa pitié
Nous demande  de venir la consoler
Qu’attend -telle ! Certes pas, venir nous tirailler

Je pleure, je pleure l’intolérance
Elle rampe en tout lieux, serpent  du noir
Qui sillonne mon corps, d’un  fluide illusoire
Il monte, descend, caresses d’animal au dégueuloir
Mon ivresse se défoule, elle rejette au défouloir
Le vomi de ma peine  sur  leurs indifférences

Mais j’oubliais que c’était jour de fête
Mille et mille faons sont venus dans ma forêt
Pour me chanter un cantique de tolérance
Le beau de leur sincérité m’a alors bercé
Mes yeux se sont ouverts sur les beautés
Et la nature m’a dit : Ta crainte on la clavette

Un rayon de soleil s’est immiscé par la fenêtre
De mon esprit, il l’a fait  briller  dans sa  gaieté
Celui ci a dansé, a chanté plus fort qu’en envolée
De notes qu’une chorale a déposées aux cieux 
Offrant les clefs d’un paradis où l’amour joue avec l’amitié
Et mon cœur revit, dit merci  au  jour pour  renaître

J’ai vu le vent diligenter tous ces mots de déraison
Il les conduisait au delà des mystères de la folie
Ma pensée voulut se libérer de tous ses soucis
Elle avait recueilli  les outrages au fond d’un lit
Où se donne d’éternité à la sagesse, tous les délits
La douceur de ma liberté m’a fabriqué une rédemption

Mon bonheur n’est plus ce handicapé, soigné  il joue
A la merveille des  jeux qui ensorcelle mon  corps
Oh ma vie ne te rebiffe pas, j’ai tant et tant de remords
O ma vie tu es cette merveille  sur laquelle mon cœur dort
Dans les bras de ta vertu qui  saura à tout jamais faire l’effort
De me garder sur le toit de la fête, paré du devoir du redoux
☼ƑƇ
 

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 13:16

 

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Chante ta joie sur le lai des indices

O mon âme, écoute sonne ton heure

Quand  le désaveu, assassine la peur

Etrangle les pics de terreur des maléfices

 

La fête ouvre l’immensité de ses fenêtres

Sur le sable du partage des bonheurs

Qui s’immisce en tout lieu dans la chaleur

De mes pores qui dansent la samba de l’être

 

Les arcs en ciel se projettent sur les hauts

De ma passerelle, elle enjambe le mal

Et je me vais soldat de l’amour, o vassal

Au large des frayeurs déposer  le terreau

 

Les traces des sillons de la paix  s’enrichissent

Bonté du toucher des  lèvres de cet argile

Et la moisson promet une récolte d’évangiles

Quand mon cœur la soignera de mes sacrifices

 

Et les seigneurs de s’agenouiller devant leur folie

Ils Jettent leurs blessures pour se panser d’équité

Les yeux de leur atrocité reviennent d’une nuitée

Où leur raison se cachait des massacres  de l’impie

 

Une satisfaction se lit sur  le sourire de leur visage

En tout pont de leur monde s’illuminent les étoiles

Leurs mains de lumière flirtent avec l’infini qui se voile

A la pudeur d’un baiser des cimes qui s’offre en héritage

 

Les silences ondoient sur la parade des esprits

Là bas  ils veulent tous fouler les terres du bonheur

De la  majesté des beautés retentit la clameur

 Elan du monde  des cœurs contant la joie sans souci

 

On entend se lever, des abysses, des gouffres, des cavernes

Le grand murmure qui s’envole vers le demain du destin

Qui emmure les maux de la destinée, produit d’aigrefins

La terre, notre terre reprend le bleu du ciel dans son haleine

☼ƑƇ

 

 

 

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 12:20

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Assis sur mon désespoir

Je regardais le déluge

Je n’avais plus de refuge

Et criais : où es tu mon espoir

 

Le torrent tumultueux emportait

Dans sa boue ma bonté d’avenir

Que puis-je en ce sens réfléchir

Pour le malheur au plus tôt retarder

 

Mes yeux ont ouvert le ciel

Pour rafraîchir dans sa pluie

L’antre de mon âme flétrie

Par le monde, faiseur de fiel

 

O douce pluie, à l’aube ta saveur

M’inspire des instants de gaieté

Mon esprit reprend  sa vitalité

Il s’abreuve de l’ivresse du bonheur

 

Féconde le ruisseau de la joie

Mène le sur toutes mes pensées

Qu’elles célèbrent en mutualité

Les récoltes  pour fortifier ma foi

 

Bénie l’humanité dans la justesse

De vouloir vivre  dans cette paix

Que l’on nous vole  sans pitié

Dans la sûreté de notre  sagesse

 

 Que tombe, tombe ces pluies

Celles qui purifient de ses aigreurs

Les esprits dont  malédiction est ardeur

Au-delà de ces vils galets des soucis

 

Je les entends clapoter loin de ma réalité

Quand bonheur chante un hymne à la joie

Alors est,  le là où mon esprit sort ses habits de roi

Il danse  dans les bras de ma neuve  sérénité.

☼ƑƇ

 

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 13:25

 

 

 

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 Viens à la fête, monte sur mon manège

A la grande foire du destin de la vie des petits

Sur la nacelle de ce  nouveau jour des assis

Là quand la grande roue récite son solfège

 

Elle tourne sur ses gammes et toi tu t’assoies

Je t’en prie prend prudence,  cales-toi sur son siège

Ne tente pas de te mettre debout  sur sa voie

Tu risques avant l’heure  de courir au désarroi

 

Et tourne la roue en bas tu regardes  la réalité

Là haut la petitesse sera ce  monde fait d’irréels

Là haut tu pourras atteindre ton exceptionnel

La beauté d’une vision, chimère de ta supériorité

 

Profite bien, du bonheur fugace de ce là  haut

Tu auras mis grand  temps pour pouvoir  le gravir

De ce haut sommet ne cherche surtout pas d’en sortir

Laisses-toi rêver pour profiter de l’éclat d’instants beaux

 

Le soleil touche le,  prend le, sa chaleur tu ne l’auras

Chaque jour pour réchauffer ton sage  moral

Quand celui-ci  doit reprendre  sa place bancale

Loin, trop loin du bonheur de cette grande fiesta

 

Chante là haut, oui chante gai tout ton bonheur

Laisses-toi délirer, cette chance ne sera toujours

Ne grappille pas insolent tous ces  riches bonjours

Que te tend  bon serviteur,  le plaisir  à  ta ferveur

 

Quand tu redescendras les yeux éblouis, reste discret

Ne tente pas de leur voler le prochain tour, laisse-les

Profiter eux aussi du beau, ce n’est pas un pis-aller

Car au jour de la fête se partage le gâteau des secrets

 

Au contraire explique-leur, le moyen de voir plus clair

De ressentir au mieux toutes ces sensations inouïes

Que tu as perçue, toi qui ne connaissais que le maudit

A l’orée de ce nouveau jour ouvert sur un soyeux éther

 

Le tour de ta vie se finit, non tu reviendras demain

Reprendre dans ta bonne habitude,  encor  le bonheur

De ta nacelle tu descends,  ta tête maintenant à sa peur

Se leurre, se tourne et tu retrouves le réel de l’incertain

 

C’est beau la fête, et je te vois heureux de dire merci à ta vie

Tu  voudrais ne  plus quitter ce manège de ton grand éden

Et tu pries, et tu pries, vœu de t’y promener toujours gentlemen

Qui bise chaque seconde, amante de tes  jours insoupçonnés.

 ☼ƑƇ

 

 

 

 

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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 00:43

 

 

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Traumatisé mon corps

Par tous ces efforts

Répétés encor et encor

Quand sage il  s’assoupit

A sa triste finitude  subie

Il va sortir  du port

De son mauvais sort

 

Il a poussé sa vie

Chaque jour surpris

Par le grand mépris

De ces goulus nantis

Qui lui ont pris

Toujours sans inquiétude

Pour leur profit en prélude

Avec une saine ironie

Son tout ! Sa force  inouïe

 

Pourquoi avoir été

Ce passant des étés

Au  soleil toujours  voilé

Négligeant son  bienfait nourricier

Qu’un  printemps visité

Sur mille page écornées

Avait laissé bourgeonner

Beautés d’un rêvassé futur

O triste réalité, toi la pure

Ils te l’ont volé

Les fruits de ta bonté

Fade Ils les ont sacrifiés

A leur réalité

 

Pourquoi ce travail

Il vous raille

Pour que fassent ripaille

Ceux qui sans faille

Vous entaillent

Au soupirail

De vos entrailles

Aie ! Aie ! Aie !

Tu t’encanailles

Pris dans leur maille hurlante

Tu les sustentes

Sans bataille

Comme une canaille

Des ors de la pierraille

Pourquoi est-ce, tu pleures épouvantail! 

Il n’est plus temps que tu criailles

 

Il est trop tard

Pour avoir un nouveau regard

Ton esprit ringard

Tes yeux  hagards

N’ont  que la cithare

Pour être bavard

Avec ton corps ignare

Lui le bâtard

Des instants rares

Du bonheur dans le crachin

Tu te vas sans phare au matin

Comme un saoulard

Dans la grande mare

De ces salopards

Là, ils te bousculent  criards

C’est ton fric, les braillards

Tes obsèques leur dernier dard

Ton assurance obsèques ton dernier fard

Pour te vider dare-dare

D’un profit sans retard

Car leur lignée est  avare

ðC

 

 

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 18:48

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Dites-moi ! Où sont-ils ! Où sont-ils !

Ceux qui cherchent le nouveau  bonheur

Ils se promènent fugitif dans leur  peur

Effrayés par de mortelles morsures de reptiles

 

Ils traversent angoissés de longs champs

Qui ensemencés ne laisse à la moisson pousser

Que la chienlit rutilante de viles pensées

Les abandonnant  affamés dans le sale temps

 

Ils parcourent  les parfums de beaux jardins

Mais les fleurs à l’aube  ne veulent éclore

Quand leurs mains froissent, d’impatience la flore

A peine levée à la  jeune rosée du bon   matin

 

Leurs yeux scrutent de ravissants  paysages

Mais ils noircissent généreux  les purs nuages

S’aveuglent intransigeants aux couleurs  sages

Des arcs en ciel quand ils en font  mauvais usage

 

Leur cœur  se va  caresser les  amours

Mais le sentiment fidèle est obsessionnel

Il divague saugrenue  dans la plaine irréelle

Cherchant d’autres ports à leurs  alentours

 

Alors vous  me répétez,  je veux  ce bonheur

Venez et sortez-vous,  d’envies inadaptées

Suivez le chemin sans détour vers les frivolités

Qui mène à  la sagesse de nouvelles saveurs

 

Surtout ne changez plus votre efficiente route

Elle sera pour sur,  par endroits  cabossée

Par d’autres bien pentues, tentant de vous essouffler

Mais tenez bon et découvrez  au loin la belle voûte

 

Elle est celle qui vous guidera joyeux

Vers votre avenir,  écrit  dans la lumière

Du bonheur qui déjà là bas  vous éclaire

Sur l’horizon de votre temps somptueux

 

Vous voilà parvenu reposé  au paradis connu

De tout ce beau qui vous offre un feutré calme

Dans la simplicité féconde  qui se déclame

Sur votre saine  raison : Ce   bonheur attendu

ðC

 

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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