Ton ciel essentiel s’est ouvert
Pour ouvrir mon cœur affolé
Quand pluie là se tombait
Pleurs venant mourir sur ma terre
Ô belles larmes je n’ai pu
Vous ai de sagesse glané
Perles d’amour abandonnées
Pour ne vous laisser là perdues
Votre tristesse je me voudrai
Tôt au matin vous là dissimuler
Elle n’est à rester d’intérêt
Que si mon amour n’est
Je vous rassure mon aimée
Je ne faillirai à vos doux yeux
Là mon cœur est toujours joyeux
A vous montrer que vous êtes beauté
Alors aimée, Ne pleurez ainsi
Il est instant qui console
Quand cœur à cœur on s’envole
Pour ouïr mots sortis d’une poésie
Ecoutez ces mots, écoutez-les
Plus jolis qu’un chant d’oiseau
Cris d’amour qui caressent votre peau
Comme chagrin effaçant une plaie
Je ne peux qu’effacer votre plaie
Car mon cœur ne sera jamais prêt
A blesser imprudent ce que beauté
Offre altruiste de fidélité à son aimé
Allons aimée, petits baisers sont là
Cœurs mignons, il attende la ronde
Quand à toi, à moi, ici et là ils se fondent
A l’amour manégeant dans notre féria
Je déchire la page, froide page
Qui avait pris mon amour en gage
Je ménage la suivante pour que sage
Je n’eus plus à effrayer ma rage
Oui aimée, rage de t’aimer
Qu’elle soit plus forte que passion
Ce n’est que bonne solution
Pour que je n’eus à polir larmes fanées
☼₣€