Bonnes gens je rêve sur le monde de rêveries enfantines
Je défais le monde adulte radical pour faire la mondée
Et je me balance sur les mots des tout nouveaux notés
Qui se glissent calmes sur le pédoncule de mes étamines
Je vole vers les cieux il se transforment en belle cieuse
Plus précieuses que précieux, jardin de la mère de l’air
Je te fends heureuse, belle airaé, enfant de bonne guerre
Je t’aspire nourriture de ma vie, délicate douceur gageuse
Et ma rêverie se faufile dans les forêts à la joie altruiste
Où les arbres sonnent les révoltes pour devenir une arbrée
Celle qui donne la sève de la vie aux saines feuilles marbrées
Et mon cri amplifie au loin ma criée d’être le bon équilibriste
Je ne puis gênée me séparer du vouloir de ma volonté
De casser ma turpitude et l’enlacer d’un vil démoraleur
Ce froid moral n’incite à l’apparat d’une dentelle de pudeur
Prude il ne peut être ! Je le voue à a peur de sa triste réalité
Et je m’accroche à la tentation de la violer d’un tentavoir
Sulfureux débordement pour démanteler les illusoires
Ces attaques de mon esprit qui se charge de ce fonsur noir
Il se fend sur ma pensée, comme un rapace ostentatoire
Je quitte ce genre vers les sommets qui se révèlent haucréte
Tu bises l’auréa quand tu perçois au loin l’immaculée mondée
Je n’ai plus le démoraleur et le fonsur de mon tentavoir aisé
Qui se révèle rester au fond de ma rêveries des cieiuses discrétes
Enfin je me réveille ; Je tourne ma page j’étais sur les sommets
Que l’air pur embrassait en regardant humble l’immaculé monde
Je n’avais plus de turpitude et ma grande tentation était de rester
Dans mon rêve batifolant sur ma rêverie des cieux de ma destinée.
☼ƑƇ