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30 janvier 2019 3 30 /01 /janvier /2019 16:48
Ô rrusseau de ma vie

O ruisseau de ma vie !

 

O ruisseau de ma vie! Ruban satiné, coule, coule

Pour rejoindre de ton originelle source,   là haut

Par les pics, les monts, les collines, les coteaux

Les vallées, les cascades, les gouffres, les rivières

Cette immense  mère éternelle, immense mer

Que tu embrasses à la joue sauvage de sa houle

 

Grandit, grandit sur ton lit feutré mon ruisseau

Sillonne secret les  belles campagnes d’amour

Quand au discret  ricochet par petit baisers lourds

Tu embrasses la vieille  roche enlacée à ton flot

A ta fraîcheur suave elle se joue aisée du piccolo

Pour te charmer décontractée; o mignon  gigolo !

 

Goulu de vie tu ingères serein  les meubles terres

Tu te creuses, tu t’élargis  calme le râblé poitrail

Puberté affriolante aux bords du mirifique vitrail

De ces paysages  de rêves déposés au bon  coucher

De nos nuits prodigues d’images semées de tes beautés

Au terme d’adolescence reine,  tu te mues belle rivière

 

A la traversée de mille pays on te conte souvenir

Quand ruisselet tu gambadais  sur les pensées

De ces enfants qui t’accompagnaient  en gaîté

Aux grandes vacances de ces beaux mois d’été

Le clapotis des ricochets d’un vol de petits galets

Racontent en mots soyeux l’histoire de nos avenirs

 

Et là bas t’attend ce marin quand jeune expérimenté

Rivière tu te jettes précieux dans les bras d’une mer

Le long voyage a instruit ton eau pure à la vie amère

Et tu conduiras dans la galère ce marin vers l’outre mer

Qui maudira son enfance de t’avoir connu prospère

Dans la douceur de tes  flots qu’il arpente malmené

 

Bon marin je reviendrai  au pays me restaurer l’esprit

A ta source je m’abreuverai de tes mille et mille paix

Je te prendrai au fond de mes mains, remède à pensées

Pour me  prodiguer  la fraîcheur d’un nouveau bonheur

Que j’enfouirai au grand fond de la bonté de mon cœur

Je repartirai tête repue de l’image pure de  tes diamants sertis.

ÿƒC

 

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8 juin 2018 5 08 /06 /juin /2018 13:14
O mla belle mùer

 

 

O ma belle mer !

*

O ma belle mer ! Tu enfantes tes fils

Matelots de tes jeux, hisse et haut

Quand le vent ton amant se hausse

A caresser ton échine qui se bruisse

 

Education furibonde  de bâbord à tribord

Et le mousse se perd aux vomis du roulis

Il apprend ta leçon du jour de ta folie

Quand tu veux furie ;  Te croire vent du bord

 

Viendra le jour où ton écume grondera

Sur l’étrave d’une fière coque docile

Tu la repousseras à l’extrême d’inutile

A la laisser vociférer quand tu l’écaleras

 

Tes enfants manégeront sur ton  grand huit

Au tangage démoniaque du crissement aigu

Mousse tient toi ! Au bastingage,  évite les reflux

Ecoute ta mer, sa colère te houspille, elle te fuit

 

Son paquet se jette au voyage de vulgaires baisers

On s’étourdit  de cette pression trop volubile

On lui tourne le dos, pour ne pas s’évader du facile

O perdition!  Tu te laisses filer sur ses mots aisés

 

On s’épuise de se violenter à la vilipender

Sa nature ne connaît pas de Dieu, ne charme  pas

Soit sévère! Yeux dans les yeux  elle  comprendra

Que tu es mature désormais  pou r l’affronter

 

O Mer ! O  ma  mer ! Laisse nous aller vers cette traque

D’un  océan sage  qui nous laissera paisible   parader

Aux quatre coins de ce  monde sur ta tranquillité

Nous chanterons  alors gais,  les mythes  des caraques.

ƒC

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9 mai 2018 3 09 /05 /mai /2018 15:14
Le monde peut-il être sain

Le monde peut-il être sain¨

 

Ô  ma précieuse  charité

Serais- tu frustrée!

Je sais !

Tu voudrais que cela cesse

A devoir donner

Et sage encore donner

Pour ces mille faits

Qui ne sont de ton fait

De ces  guerres tu en es lassée

De ces catastrophes,  blasée

De ces attentats , ulcérée

De ces corruptions, indignée

Tu te contenterais d’un peu de réalités

Tu voudrais savoir

Ce que collecte de tes  dons

Est devenue en chemin   

Quel pas  d’humanité a t’elle pris

Dons au profit  des victimes

Des  tsunamis passés

Des  tremblements de terre   

Non réparés

Des attentats inqualifiables

Tes dons  ont-Ils servis

 A assumer loin de tes yeux

Le paiement de  fortuits voyages

A d’irresponsables  voyeurs friqués

Ma Charité tu voudrais être respectée

Pour  ne  devenir une pauvre affamé

Quand ils te promettent dans leur cruauté

Quand ils dépensent un plein d’argent

Dans ces bombes des calamités

Sorti du  soit disant de leur sagesse

  Qu’ils distribuent  en éclat de violence

Sur  notre l’humanité innocente

Ma charité  nous sommes sans vérité

Car Ils nous ont piégés

Dans leurs absurdités, leur médiocrité

 

Je ne veux être tribun

De la bêtise de vils humains

Qui de leurs  gestes hautains

Bouffent le bénéfice du  soutien  

De notre bonté

De notre charité

De notre esprit puritain

Le monde peut t’il être  sain.

Il en va de l’avenir de chacun

ƒC

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19 novembre 2017 7 19 /11 /novembre /2017 18:42
Voleur du temps futur

 

Voleur du temps futur tel se le veux  ma raison

Observer les espaces entre les espaces

Se forger des sondes révélatrices de traces

Qui détermineront  les bonnes relations

 

Courir sur le grand noir des ondes inviolées

Attendre les lumières donatrices d’images

Qui vous révèlent les vérités des  ripages

Illusions du  bien dérivé du mal instantané

 

Douanier pertinent des fuites  persécutrices

Au devoir d’étouffer les passages de l’immonde

Construit ou à construire sur notre sage monde

Pour reconvertir ces maux  en sources novatrices

 

Faire coïncider le bien demain  au bien  présent

Qui engendre le bonheur à l’age du temps d’éternité

Ne pas laisser le furibond s’asseoir sur l’anxiété

Mais  Prédire le flux des ficelles qui ordonnent bel instant

 

Ne plus se laisser conduire aux seuls mots indécents

Donner de la voix, de la rage à la couleur des cris

Pour étourdir les entêtements  sauvages  trop  épris

De leurs déraisons de cracher hargneux l’impudent

 

Constater les lésions   furieuses des passes séculaires

Comprendre les expériences de  toutes les impatiences

De vivre dans  la paix d’une  ritournelle  en jouissance

Toutes  nations indépendantes  affiliées à la  solidarité

 

Tant que nos mains seront fraîches, en notre pensée vivace

On volera ce futur pour dire et redire  l’inconséquent

Tremble!  Toi l’impertinent,  on  dévoile ta chienlit démente

Tu n’auras de cesse de crier : - Je ne veux  plus  être ce fou rapace

 

Ces mains endeuillées  du sang de nos tristes indignations

Déverseront sur vos pensées  vos immondices véreuses

Qui détruiront vos fausses sagesses au fond du poreux

Passoire des jus de la  vérité sur vos corps en sanctions

 

On gardera  pour notre  paix, traces de vos ADN de  putréfaction

Vos bouches, vos lèvres ne persifleront plus le mal

De vos langues perfides  quand les écumes de vos rages s’affalent

Sur notre surdité  qui se repose aux calmes de nos jubilations.

 

Voleur de ce  temps futur, du traumatisme on se préservera

De ces chefs gouailleurs leur discours sarcastique

On l’annihilera avant qu’il ne l’eusse émis  sympathique

Ils ne pourront plus nous gruger en leurs maléfices de scélérat

ƒC

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22 septembre 2015 2 22 /09 /septembre /2015 15:26
Reine du terroir

 

Je lui ai passé mon pouce au cul

Epais comme celui de la fillette

Pour à votre délice en mignonnette

Vous en servir sa robe d’amour ténu

 

Elle était noble d’avoir vécue au château

Reine du terroir,  fruitée fille de Bacchus

Engrossée au lieu de son maître, bon rhésus

Qui  l’a revêtu  des parements de  son sceau

 

Devenue maîtresse de ma chaste cave

Elle y prenait assurée le plaisir doux

Pour  se préparer patiente à  mon goût

Quand au régal  ma lèvre la biserait volage

 

Elle  avait usé tendrement de mes caresses

Elle reconnaissait toute heureuse  ma main

Quand à ma passion je lui offrais  au  matin

La trace quiète de tous mes jours de tendresse

 

Elle saurait au temps des bacchanales verser

Les arômes des parfums de sa vieillesse

Lui prodiguant chaleureux tant d’hardiesse

Pour étonner mon palet   de son millésimé

 

Quand  à l’instant je viendrai la chambrer

Avant de la déshabiller de son bouchon

Une dernière fois je la câlinerai polisson

Petit baiser pour lui montrer l’amour vrai

 

Et son corps laissera couler au clapotis

Le filet de son sang d’un   rouge-baiser

Que mes lèvres lui voleront possédées

Par la délicatesse de sa  palpation bénie

 

Et le calice de mon plaisir chantera

Ce glou-glou qui vous dit la sublimation

D’un instant merveilleux de la  satisfaction

Qui là vous entraîne à l’ivresse d’une saga

 

O je savais que de ce vignoble la grappe

Bien pressée, vinifiée  remplirai ton sein

De ce nectar que mon palet attendait serein

Pour ce bonheur éphémère qui me drape

 

Dommage  il y a les demains, pauvre bouteille

Ton cadavre souillera le décor de ma poubelle

Mes yeux n’auront plus la concupiscence naturelle

Pour te reprendre sur mes lèvres d’infidèle.

☼ƑƇ

 

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26 avril 2015 7 26 /04 /avril /2015 16:44
Le chaud de lété

Le chaud de l’été se dessine

Sur l’asphalte de ma  route

Quand mirage  monte sur sa croûte

En ses sueurs qui se lèvent  lourdes

Sur  mes yeux  brûlant qui les  assassinent

 

Dans les villages on entend,  seul le grillon

Tous les corps sont là immobile, petite mort

Pour attendre que le temps revienne alors

Quand il  se fera dompter au présent des Signor

Et il qu'il  s'acoquinera gentil  au frais du nord

 Et  chaud se laissera aller comme vilain poltron

 

La fontaine de midi se laisse intimider

Elle pleure la condensation de son malheur

Vivra-t-elle encor le tout, tout  à l’heure

Quand chacun reprendra sa bonne humeur

Pour venir jouer à pied mouillé avec bonheur

Quand l’enfant au multicolore bonnet,

Feinte intentionné le chaud pour  l’oublier

 

La bière, le soda, la limonade à flot coulent

Les pigeons dans la place  désertent,  roucoulent

Mais dans sagesse du chaud, là  se mettent en boule

Leurs ailes les ventent fugitives comme des poules

Pour faire courir coq loin des rumeurs de la foule

Quand le  chaud veut vous tuer, canicule qui se défoule

 

De partout toile du   ciel bleu domine le chaud

Les esprits s’extirpent pour dire tout ce beau

Mais là le lourd poids du temps les corrompt

Il n’est de seconde où ils ne  s’affaissent avec raison

Là s’endort ce qu’écrit aurait pu être le bon du beau

Se sommeillent les mots ils n’ont plus chemin là haut

Le chaud les a poussé dans le lit du qui a  bon dos

☼₣€

 

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 17:03
Astéroide 1LvaDCD

Quand viendra le temps

De l’astéroïde number 1LvADCD

Au loin de notre terre stressée

Il ne sera plus temps de prier

Terriens, terriens il faut vous préparer

Vous qui ne pensez qu’à engranger l’argent

Et à la conquête de ces astres éloignés

 

Les carillons de partout vont carillonner  

Le partout de la proche collision

Mais nul  n’aura bonne  solution

Tant et tant nous avons fait collusion

Pour rejeter avec détermination

Ce risque de notre proche contrariété

Et vos dollars alors ne vous sauveront

 

 

L’astéroïde approche tel un monstre

Allez sur la lune, mars, votre fou souci

Et cette bombe atomique qui  vous détruit

Sans protéger notre terre, ô que nenni !

Il est  lucre que vous prîtes irréfléchi

Alors ne priez plus terriens maudits

Vous récolterez  la panacée    du fruit

Quand votre terre sera prête à se rompre

De par  votre orgueil   pour ce fric garanti

 

 

Moi pseudo poète  je n’ai rien à perdre

Car je sais que la vie n’est d’éternité

Je n’aurai laissé que trace de vains écrits récriés

Alors comment me consoler de ce mal fait

Vous voir laisser là tout cet argent  entassé

Ne pas avoir  l’éventuelle catastrophe,   la démettre

Elle  s’organise au fond d’un cosmos prêt à vous atomisé

 

Pauvre poète qui ne peut que rêver dans son désert

Qui se  laisse aller à regarder   le beau de sa  terre

Qui n’a pas la clef qui permet à ce beau, d’être protéger

Sa  larme perle, elle voudrait être la rosée pour illuminer

Tous ces jours qui conduisent au chemin de l’éternité

Mais elle s’assèche sous la calamité de leurs vérités amères

Votre argent qui a plus grande  valeur,

 qu’un projet pour  veiller bienfait pour  notre terre

☼₣€

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19 février 2015 4 19 /02 /février /2015 15:03
Il est nuit

 

II est nuit,  je promène mon esprit

Les longues  rues sont désertes

Les soignées maisons se déplacent

Sur le riche ruban de mon temps

Que je laisse m'oublier dans le  loin

 

Au garde à vous les candélabres

Veillent mes pas de si peu  rassurés

Sur l'horizon une cible se dessine

Mon œil inquiet vise la lune brillante

pour  l'empêcher de tomber au fond

De l'horizon où le noir se morfond

 

Les soldats de la nuit me prennent

D'assaut en leur crocs féroces

Je  sors  la puissance de mon arme

Et ma voix criarde tue leur envie folle

Je les enterre  dans  le  coquet

D'une maison qui a laisse s'ouvrir

La négligence de leurs maîtres

 

Les arbres chuchotent

Avec le vent qui passe par là

Il  leurs répond d'un petit air fripon

Pour  oser quelques  confidences

Que dans ma  sage solitude

Je ne peux comprendre

Alors je le  laisse me conduire

 

Je me permet de  glisser à droite

Le cristal   noir du canal clapote

flirte avec la lune petits baisers

Qui  scintillent  en ondes luisantes

Serai-je indésirable en ce lieu

La lune se cache , voile de nuit

Le canal s'endort au fond de son lit

Me  voilà prisonnier de leur passion

 

Je me retourne  vers ma conscience

Pour retrouver mon  bon chemin

Quelques pas la lune sage revient

Laisse tomber son voile  céleste

Je reprends  vie  pour m'évader

Dans d'autres douces rêveries

Où le monde  éternel m'est servi

Fééries protégeant mon  âme

Cette curieuse qui enchante ma vie

☼ŦC

 

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18 août 2014 1 18 /08 /août /2014 09:58
Mon jardin sommeille

 

Le cliquetis de la pluie  sur les vitres

De ma fenêtre pénètre mon esprit

Il rêve a son  jardin qui ne lui sourit

Tant la rêche monotonie est  sinistre

 

La rose d'amour  attristée pleure

Pliée sous le poids de tant d'effort

Elle courbe la tête, agonie de son port

Quand ses pétales ruissèlent , pluie de fleurs

 

Le chrysanthème vivace est vaillant

Il  se consacre au temps de cette misère

Les larmes sont pluie pour cacher l'amère

De ces souvenirs de l'amour mendiant

 

Les oiseaux jolis ne roucoulent plus romance

Ils cachent leurs ailles sous la pudeur

De la fragilité de leur envol  déserteur

D'une  faim qui confisque amour  d'abondance

 

Et mon  jardin oublie toute ces mains ouvrières

Qui savent chaque jour aux quatre saisons

Venir lui conter douceur de leur  passion

Pour embellir sa toison de plantes vivrières

 

Mais là il sommeille dans le lit humide

A trop boire  l'eau  d'amour de la belle vie

Elle martyrise son souci d'être l'ami réjoui

Pour celui qui le veille comme un danaïde

☼ŦC

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29 juillet 2014 2 29 /07 /juillet /2014 14:14
Quand sombre crépuscule

 

Il est l'heure le voile  tombe

Sur le jour qui va s'endormir

Et laisse les lampadaires se servir

De leur lumière pour éclairer une ombre

 

L'ouvrier  servile,  repu de fatigue

Regagne  la douceur de son lit

L'homme de savoir au cerveau endolori

Couche études dans ses rêves prodigues

 

Le long des rues  aux volets fermés

Le cambrioleur se glisse dans la nuit

Le port noir comme l'invisible assombri

va cueillir fruits de son larcin alambiqué

 

Le crépuscule s'expose   sur la ville

Le silence prend la parole , volubile

Quand rien ne se dit, mais tout s'entend

 

Au fond de l'obscurité  le naïf  malsain

Vient regagner lieu de son  rendez-vous

Quand la lune fait de l'œil aux fous

Et que se réveille leurs démons badins

 

Les voleurs traînent leurs riches guenilles

Leurs complices guettent sans merci

L'instant où leur maraude sera finie

Pour  s'en retourner bons pères de famille

 

Une jeune femme le cœur excité

Par une peur sauvage qui l'étreint

File en chantant  l'amour qui geint

Pour celui qui l'attend par trop inquiet

 

Le crépuscule s'expose   sur la ville

Le silence prend la parole , volubile

Quand rien ne se dit, mais tout s'enten

☼ŦC

 

 

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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