Bouquet reine de beauté, corolle sidérée
Le faste est ton reflet, le fric ta pensée
Tu viens jouer pour ta prospérité
Avec la faiblesse des abris sans papiers
Le petit que je suis n’a pas de clef
Toutes les portes dorées il le sait
Lui sont fermées à tout jamais
Mais un cœur gronde de n’être écouté
Il n’a pour défense qu’un petit papier
Qu’il dépose cyclique sans trop de sûreté
Pour Que quotidien des demain soit amélioré
Oh exceptions ! Merci pour les puissants friqués
Outrage alors à ma pensée
Que ton fric tu ne puisses le partager
L’offrir sans avoir à te prostituer
Sans vergognes à ta publicité
Sais-tu que la télévision étatisé
Ne pourra plus émettre de battage aisé
Alors peut être resteras-tu au secret
Pour ne plus nous montrer tes mille clefs
Goujats de la politique vous vous amusez
Obèse de promesses pour les gens de la pauvreté
En jouant au millionnaire de vos vertueux familiers
Qui se prélassent dans le luxe du chaud trop douillet
Oh facilité : combien de caution en ce soulier
Combien de frais inconsidérés pour un loyer
Combien de vison pour une couverture d’Amitiés
Cesse de t’irriter, donne ce qui ne t’est utilité
Et ce qu’un reste de vie ne te permettra de bouffer
Fais le en toute sincérité dans le confidentiel secret
☼ƑƇ