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29 avril 2012 7 29 /04 /avril /2012 13:16

 

 

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Je me promène guilleret sur le net

Les sabots avides de mon esprit

Y cherchent un sens à mon  salut

En des mots transpirant l’inédit

Mais ils cheminent en transport inepte

 

On pose ses valises, ses bagages

On les croit toujours être  trésors

D’une mémoire distribuant l’ordinaire

Dans des formes venus de tout bord

Dans des fonds que l’on pense être ravage

 

Au fil d’une route,  des paysages monotones

Là vous endorment,  il vous faut réveiller

Cette  pensée qui voudrait l’inattendu

Vous faire profiter de toutes les beautés

Qui pourraient fleurir sans devoir faire aumône

 

En chemin on s’arrête chez l’autochtone

Dans la grand’ rue des poètes du forum

On parle, on se raconte, on boit le ver

Pauvre boisson, riche boisson le summum

Quand vous repartez ivre de la mal donne

 

Celle qu’ils appellent  vos commentaires

Vous êtes tributaire  souvent de mauvaise foi

A chaque adresse de vous brosser le pied

Pour ne pas salir un tapis  plein de poix

Qui vous encolle vous la verrue sanguinaire

 

Oui car comment agir  pour toujours plaire

Vous ne devez déranger  le gentil monstre

Qui se cache derrière les volets de l’orgueil

Qui voudrait que cadeau doré on lui montre

Pouvant le persuader que meilleur n’est plus à faire

 

Quand votre désir et de lui dire sans médire

Que le fond de son vers est identique au votre

Il n’aime pas que vous eûtes à penser comme lui

L’intéresse la beauté des courbes du  vers autre

Pack de quatre, cinq, six strophes serties de ses saphirs

 

Soyez en certain il le croit, alors je vous prie

Soyez sérieux dites le lui, regardez il sourit

Comprendra-t-il un jour que nous sommes soumis

Et  qu’il n’aura pour crédit  que la somme de l’ironie

Quand la juste valeur de son écrit sera ignominie

 

Quand la police au carrefour des mots me questionne

Je ne suis voleur d’œuvres  bien  trop mal agencée

Mais j’ai le soin de les regarder au fond de mon humilité

Pour les commentés  avec subtilité pour ne pas fâcher

Et qu’au  au coin de la rue toujours mon plaisir je  chantonne

 

J’ai en tout temps avec moi mon gilet  fluorescent d’affection

Quand une panne survient je prête mon triangle  de sincérité

Je le déploie toujours  sans penser à a panne qui m’ennuie

Cela  n’est grave mon esprit trouve toujours a se dépanner

Une tournure, une phrase, un mot juste sera  sa sublimation

☼ƑƇ

 

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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