Seul sur les mirifiques chemins
Je ne rencontre dans mon horizon ni l’un ni l’autre
Recherche louvoyant à la croisée, l’apôtre
Pour m’aider à vivre plus rassuré mes demain
Je mande désespéré le renfort d’un trésor d’ aide
Pour me sauver de ce rituel d’épais brouillard
Que je traverse noctambule oppressé en retard
Quand effrayé je ne trouve la voie royale de la fête
Seul sur les routes me console tendrement l’arbre
Pour moi il s’est en teinte endimanché de beauté
Il tente de me dire vivifié, de ne cesse d’aimer
Parlons au vent, mais surtout pas de grands palabres
J’ai écouté bien sage l’arbre et le vent m’a entraîné
Il a soufflé enjoué tous les doutes de ma pensée
Rafraîchi mes tracasseries démentes de désespéré
Pour déposer l’image d’un bel arbre de tranquillité
Et le vent me dit : ‘ Je te rends ton bon ami
Il était fâché que tu ne l’entretiennes à ta peine
Que tu ne le mène dans tes voyages de bohèmes
Ose ! Prend le, grisant au creux de ta pensée épanouie
J’ai remercié le bon vent, il me rendait mon compagnon
Sur les grands chemins de ma pensées, toi mon inspiration
Mon fol amour, je t’ai embrasse avec ma friande passion
Celle qui vous conduit à envoûter les plus belles saisons
☼₣€