Dans le bosquet il était nuit
Dans le bosquet, il était nuit
Enlève nos dentelles au ciel
Emoustille notre cou au miel
Partons à la ballade sans ennui
Il a parsemé mes lèvres de baisers
Pour abreuver nos sens d’assiduité
Il a promené sa langue aux pics acérés
Antennes de mon corps réceptif et rusé
J’ai traverse les fougères de son torse
Pour susurrer à ses envies mes désirs
Mes lèvres d’entretenir mille soupirs
De son bonheur à comprendre l’amorce
Ses lèvres ont mordillé mes vallées
À l’orée de la belle foret s’est précipité
Au lac des eaux parfumées s’est plongé
Langue fouineuse sur les bords des ourlets
Je me suis déposé sur l’objet de mes envies
Friandises de miel à l’instantané j’ai sucé
Gourmande de ces belles sensations aimées
Comme sur la pomme d’amour je me suis attendrie
Il se baigne fou et saute sur le roc simulie
M’entraînant au risque de la rupture de mes sens
D’exploser vorace à sa maestria turbulente
Il contourne le roc pour introduire son appendice
Je ne finirai pas ma ballade sans passer mon doit
Aux précipices des extases de son membre alourdi
Je l’aide à se mouvoir dans mon délice qui jouit
Me donne ces plaisirs pour mon souvenir que je reçois
Il lâche son dernier soubresaut au fond du bosquet
Sa plainte est nostalgique de son bonheur à jouir
Dernier spasme, harassé au calme il se retire
Il reviendra à l’heure d’une levrette sans être inquiet
Passionnée je lui ai prodigué de nouveaux baisers
Retraversé aimante le chemin des bourses à lapine
Caressé en douceur son membre de ma petite mimine
Pour l’étourdir d’une nouvelle action à bien me ranimer
☼₣€