Par un matin d’hiver j’ai regardé l’azur
De tes doux yeux où rayonnait un grand calme
Je m’y suis transposé pour trouver la flamme
Brûlant les pensées de ton amour le plus pur
J’y ai rencontré ces bonheurs inviolables
M’y baignant au parfum de ta sérénité
Il était frais l’Instant du plaisir désiré
Je ne pus déserter ce destin trop enviable
Je ne savais qu’à l’azur doux la mer se lève
Aux souffles des vents houleux qui lancent la lame
Venue du profond d’un ardent qui vous enlève
On ne doit périr dans cet océan frustré
Oh Marin du grand foc! Prend cap vers l’infini
Funestes vagues calmez vous l’amour est vérité
☼ƑƇ