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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 21:24

 







M’aimes-tu ?

 

 

Que peux-tu ?

Que veux-tu ?

Pour m’aimer toujours plus

Mes yeux ne sont surplus

Mes mains dessous dessus

Craignent ce jour de  ne plus

Envahir ton  chaud pardessus

 

Que pourrai-je ?

Que ferai-je ?

Si tes yeux  à mon cœur

Se close à cacher ta peur

Je ne suis un triste labeur

Ébauche ton unique bonheur

Sur la trame de ma ferveur

 

Que chantes-tu ?

Que clames-tu ?

Si ton cœur cogne de mon trouble

Prend un baiser sur ma lèvre double

Abreuve toi  du nectar  dans la foule

De mes pensées,  mer de ma houle

A ces lestes  mensonges que tu déroules

 

Voudras-tu ?

Pourras-tu ?

M’échanger tous ces bonheurs lucides

Que je te donne en baisers trop licites

Je pleure de ne pouvoir  fratricide

Tuer tous tes tourments, enfants  turpides

De ma déraison, gardienne d’amour  insipide

 

Que te donnerai-je ?

Que t’offrirai-je ?

Ma passion s’élève volcan de  particules d’amour

Elle te couvre de mes pensées à tous ces   jours

Sur ma vie  pour te rallier pressée et sereine je cours

Donne-moi une preuve que je ne suis  pas un balourd

Et je sertirai tes lèvres d’une nuée de baisers toujours.

☼₣€

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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 21:21

 



            
Ma promesse de vous aimer

 

Oh mon aimée!  Que me voilà très heureux

Donnez m’en, de vos baisers je n’en suis

Toujours pas rassasié c’est une soyeuse pluie

Qui lèche velouté mon bonheur somptueux

 

Venez que je tisse dans vos bras le matelas

De toutes les  saveurs, regardez leur douceur

Que ne puis-je vous enlacer, prendre cette  ardeur

De votre félicité, elle se repose en  mon contre bas

 

Que ne sais-je lire dans vos yeux la sublimation

De leur lumière ils adoucissent ma pensée du noir

Leurs éclairs  chérissent mon esprit d’entrevoir

Myriades  bontés qui s’élèvent à ma satisfaction

 

Les senteurs de votre corps enivrent mes pulsions

Que ne pourrai-je vous échanger, saveurs d’or

Je voudrai vous les déposer, bateau au port

À son repos, il veille le plus,  d’ardentes sensations

 

Vos mains  s’enhardissent au sommet de la volupté

Ils étreignent ma pensée de leur toucher malicieux

Que ne puis-je les serrer, papillon du merveilleux

De ses ailes satinées   il enrichit  mon désir  révélé

 

Vous serez reine de ma ruche d’amour, je bourdonne

Que ne saurai-je m’établir dans le cocon  du  bel  infini

Les douceurs de mon miel gavent  précieux vos envies

Ils vous feront connaître hardie  une vie  de gaie luronne

 

 Je tremble de mon supplice, savoir juste vous satisfaire

Toujours vous servir ce  diamant de ma pensée austère

Serti de ces je t’aime, ils brillent au fond  de ce  fier

Mon  cœur  qui transpire aux  battements  du bien faire

 

Ma promesse de vous protéger, trésor de mon éternité

N’a de droit  que ce temps  de ma vie qui s’achèvera

Au chevet de notre amour quand il annihilera dans nos bras

Toutes les incertitudes, les turpitudes prêtes à nous ronger.

☼₣€

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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 21:17

 



Savoir attendre l’amour

 

 

Farfadet qu’attends-tu sur le parapet

Retiens toi si tu veux prendre plaisir

A ta passion d’aimer plus que d’aimer

Tes pulsions se montrent sans secret

 

Tu la rêves, tu la vois, tu l’entends

Mais tu ne peux satisfaire cette passion

Elle te ronge, elle te fuit,  pas de ration

Ton cœur s’affole  comme un dément

 

Tu cours, tu pleures, tu enrages d’attente

Quelle vocation te fait  cracher ce désir

Non tu ne peux plus résister à  trop t’avilir

Aussi  sérieux et sage tu gardes ton sentiment

 

Oui! Il viendra l’heure  de ce  plaisir roi

Tu n’échapperas pas de jouir insolent

Devant  cette beauté  dont la main tu tends

Patience tu as tout le temps de vaincre sa loi

 

Et demain  ne pleures pas la perte  de l’inconnu

Pouvoir aimer sans devoir le donner, oh rêves !

Entendre ce cœur battre dans l’émotion de la brève

Quand riche tu le  voulais sans ton  pouvoir  sur sa vertu

 

Que t’arrives t’il l’ami, je te sens par trop désolé

C’était beau, c’était bien, fête toute  merveilleuse

Tes flots de baisers ont laissé place à la larme judicieuse

Qui a effacé ta  passion, et ton cœur soudain  bat ravagé

 

Vois-tu mon  ami le meilleur c’était ce jour d’ hier

Quand cognait à la porte de ton amour la passion

La prendre, l’embrasser dans tes rêves  palpitations

Jouir avant de jouir, luxe pour retrouver la lumière.

☼₣€

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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 21:14

 



              Ma vie sera ta félicité

 

 

Un jour d’été, jouant avec les blés, je me suis jeté

Comme un goujat  hébété  aux délices de ta beauté

Je ne me suis pas trompé, oh reine de la sérénité

Tu m’as pris dans tes bras fille adulée de la sincérité

 

Je sautais, je souriais, fier de ma  nouvelle  conquête

Je n’avais de quête que de te  conquérir  bien  coquette

Sur le fond de mon cœur audacieux  qui sage s’inquiète

De poser sur ton âme le bonheur de ma saine  recette

 

Je ne pensais pas devoir souscrire  à ce pur amour

Mais mon esprit en goguette s’est pris à ces jeux des jours

Où l’illusion se transforme dans la vérité du  tout court

Aimer comme un fou à cet infini  sans regard du retour

 

Ta beauté espiègle m’a joué ce vilain tour de la malice

Croquer ma pensée comme ce fruit bien mûr du délice

Qui fond dans votre cœur,  vous enivre jusqu’au bord du calice

Tétanisant votre esprit mystifié par sa bonté  sans artifice

 

Et tes baisers se sont mêlés  aux rêves  de mon secret

Rituel malicieux il m’a fait abandonner mon plan désuet

De vouloir sans t’aimer  te donner sans plus  un cœur atrophié

La volupté de tes  désirs a transfiguré mes viles pensées

 

Je repasse sur le champ de mes blés, je les revois mûrs

Comme cet amour  que tu as semé sur  mon cœur pur

Maintenant est venu l’heure de te dire je te l’assure

Ma vie sera ta félicité sans nuage  pour un infini très sûr.

☼₣€

 

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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 21:10

 



      
  S’aimer d’éternité

 

Ô beauté de la vie, je les ai surpris

Deux moineaux se disputaient un ver

Pour le donner à leur belle avant l’hiver

Et déposer leur  amour sur un cœur attendri

 

Sous cet arbre deux étourneaux s’échangeaient

Avant leur dernier hiver des bécots trop  tendres

Main dans la main effeuillaient des mots ambres

Pour dynamiser  leurs pulsions d’amant à aimer

 

Leurs yeux crevassés brillaient de cette lumière

Que seul les amours éclairent dans votre nuit

Rayonnent de ces bonheurs dans vos réduits

Qu’accueillent  vos désirs aux sources aurifères

 

Leurs noces de printemps rajeunissaient leurs visages

Ils avaient perdu le refuge de leurs expériences vécues

Leur timidité se jouait fraîche de leur anxiété ténue

Leurs lèvres se donnaient  des rendez vous trop sages

 

Ils s’aimaient de ce dernier amour que vous procure la vie

Enlacés, ils semblaient ne plus pouvoir se quitter d’aise

Leurs mots des silences les transportaient hors de ces  foutaises

Qui voudraient les déposséder du plus précieux bien ; leur envie

 

Je vous accompagne sur le  lit de votre passion  rééditée

Vous protéger, vous les amours de la limpide  simplicité

Aimez vous de la plus belle tendresse de vos jours comptés

Conjuguons, je t’aime, tu m’aimes, nous nous aimons d’éternité.

☼₣€

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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 21:06



Savoir vous aimer, d’aimer

 

 

Soleil tu brilles d’amour sur le  petit nuage

Il se dessine sur mon ciel de tranquillité

Apporte la pure beauté  de mon immensité

Aimer la vie, enchaîner à tes fastueux paysages

 

Au parcours aimant  des campagnes affriolantes

J’ai enlacé ce chemin où votre cœur flambe

Fleurs printanières s’allaitant  à la rosée des crambes

S’élevant à la puissance des bonheurs réconfortants

 

Amour de toutes les passions elles se déversent

Dans votre puit infini des sages satisfactions

Où le cœur s’associe aux tendres projections

De cet univers tentations qui vous submerge

 

Tout est richesse de l’amour, les cueillir de sourires

Les  engranger aux plaisirs, les déposer sur vos pensées

Sources de la plénitude,  savoir vous aimer,  d’aimer

Tour de piste sur votre monde des désirs, plus de soupirs

 

Marier  tous ces amours, de la nature, du cœur

Ils vous seront fidèles, fiers comme ces prunelles

Qui ne vous quittent jamais et  vous offrent la nouvelle

Notre monde regorge d’amours  pour votre ferveur

 

Descendez au fond de votre puit ne vous relâchez point

Baignez vous nu de vos amertumes, prenez  garantie

De ce grand gage de vivre le  quotidien de vos  belles envies

Dissimuler les prédateurs hors de  la bulle des amours de demain.

☼₣€

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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 21:00



 


Il est doux d'aimmer

 

J’ai consulté mon trop bon clinomètre

Voulant voir en puissance apparaître

Cet amour que je te voue  à fond d’être

Prêt à libérer  ce pulsar constant à émettre

 

Ma monolithique galaxie gravite à ta merci

Rebondit sur les plaisirs de tes envies

Et mon astre  te suggère  ces folies

S’aimer  accrochés à notre  beau paradis

 

Je t’emporterai sur la voie lactée illuminée

Comptant  les étoiles et t’en rendre les baisers

En  inventoriant  les jours de l’infini et t’assurer

Les bienfaits de cette vision pour ne plus rêver

 

Nous volerons sur les éthers qui règnent en silence

Sur les contrées solitaires de nos amoureuses errances

Où nous reprendrons le souffle de notre puissance

Pour vivre en apesanteur tous les moments d’absences

 

Je te donnerai de vivre ces explosions  jouissives

Qui libèrent  les engendrements d’astres suggestifs

Dans les espaces libérés  d’une vie toute inventive

Où les amours se fidélisent  aux pensées projectives

 

Notre monde est protégé de ces maladies démoniaques

Nous n’aurons à souffrir de ces maux de l’arnaque

Et nos cœurs ne connaîtront  qu’un voyage paradisiaque

Pour garder ce bien être à l’infini et mourir  insomniaque

☼₣€

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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 20:52



                                J’ai compris ce que l’amour

 

Au soir

Dans le noir

La nuit me fit voir

Tant d’espoirs

Et je pus croire

Entendre t’asseoir

Prés de mon miroir

Et te coucher sur mon reposoir

Alors J’ai sorti de mon armoire

Mes baisers du devoir

Pour  t’aimer sans au revoir

Et l’ombre du désespoir

A quitté mon foutoir

Respectant mon dortoir

D’où chantait mon vouloir

Pour  lui dire bonsoir

 

J’ai compris ce que l’amour

Quand La nuit se met au jour

Dans ses draps de velours

Il adore vos autours

Des plaisirs en bravoure

Défilant tour à tour

Sur vos corps;  ces vautours

Rapace chaque jour

Du bonheur planant sur l’amour.

☼₣€

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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 20:48

 




Viens, viens, mon adoré

 

Pourquoi tombez-vous sur ma pensée 

Mes yeux  se brouillent sur votre reflet

Votre coiffure à la   crinière de jais

Vos lèvres pures  comme le cristal soufflé

M’envoûtent et me guident vers vous à jamais

 

Je fonds sur vous comme un carnassier

Vous, ma  proie que je retiens à l’acier

De mes lèvres fragiles qui déversent à l’entier

 Pour votre  beauté mon sacrifice  à satiété

Ô mirifique corps  dont je me repais  de bontés

 

Viens, viens mon adoré je te guide pressée

Vers ces grands bonheurs  de l’inespéré

Qui t’emporteront   plus haut que l’imaginé

Dans ces vapeurs  où ailleurs vous rêviez

De mon corps passionné jamais approché

☼₣€

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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 20:45



Ô femme Je  sais t’aimer

 

Le soleil chatoyant je voulais découvrir

Pour sortir gai  de mon long  sommeil

A  l’accueil de tous  ces beaux  sourires

De ces visages au matin qui s’éveillent

 

J’ai marché rassuré sur des yeux effarés

Emerveillés soudain de se voir entretenus

Par la vue d’un  tendre regard  émoussé

Amical  eut égard leurs grands bleus tendus

 

J’ai traversée tolérant  les vastes  mers

Amères  jamais elles ne le désiraient

A la jetée silencieuse  il fallait souvent  faire

Et défaire les écumes des envies déversées

 

Des escalades j’ai entrepris  sur ces corps

Aventurier des ors  mes mains en escapade

Disaient en  roucoulades répétées des encore

Pour le  bon sort des bonheurs  en débandade

 

J’arpentais alors  le trophée de ma volonté

Je m’élevais léger sur son  envie de m’aimer

Pour me laisser dériver  vers  son  soleil  inné

Et clamer enfin assuré, Ô femme je sais t’aimer.

☼₣€

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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