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25 décembre 2011 7 25 /12 /décembre /2011 13:17

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Je vous vole, fut-il que cela ne  vous désole
Braves amis demain  je vous rendrai votre trésor
Merci pour vos histoires sublimes, riches lucioles
Transcendant l’amour lumineux  dans tous  ses ors

Je suis pris au piége de l’insolent, ne  jugez pas !
 Je plaide coupable de tous mes honteuses défaites
 Vous rendant la clef magique de l’énigme du potentat
Elle est simple, belle comme un beau vol de poète

Le remède de la vengeance je le connais, il est pur
Quand votre rapace fend l’air d’une strophe géniale
De vers, de vers que  je ferai chaque jour pour sûr
Pou vous rendre bonnes gens,  votre fortune sentimentale

En perles d’or sertis de mots ciselés et précieux
Qui conteront le temps aisé des vies remarquables
De  phrases claires,  corolles de chants harmonieux
Quand l’amour pur  fleurit sur  vos  corps admirables

Ce temps me dites vous, celui inquiet  qui autorise poli
Sans répit, de penser à  l’instant de tous les instants
Il sera fin de votre  peine, au bout du chemin de notre vie
Quand mon esprit  oubliera  à jamais de compter le temps

N’ayez crainte bonnes gens,   je ne ferai pas ripaille
Seul de vos souvenirs radieux je m’en gaverai pauvre
Je vous inviterai chaque  jour à la table du festin  des  entrailles
 Celle de la belle amitié qui nous unis  les uns aux autres.
☼ƑƇ

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8 décembre 2011 4 08 /12 /décembre /2011 14:11

 

 

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Ah vous voilà, O merci d’être là

Regardez-moi ! Oui je suis encor là

Tutoie-moi, ne t’inquiète, je ne partirai

Tant que tes  yeux si doux seront là

 

Allez ne me ment pas,  tu te le dis

Elle est folle,  ce n’est pas  un fait dit

Que raconte-elle, que me veut-elle

Pourtant tous mes amis me l’avaient dit

 

Tu voudrais que je poétise ce qui est mieux

Moi vois-tu, j’écris toujours pour le  mieux

La bêtise humaine quand elle est mortelle

Excuses-moi,  je n’ai rien trouvé de mieux

 

Allons ne détourne pas tes yeux du faux

Lis-le et je pourrai dire c’est un cul faux

Oh non pardon,  on dit faux cul, quel bel idéal

Pour celui qui n’écoute, le regard  en faux

 

Non attend un petit moment,  j’ai à dire

Je ne suis pas mauvaise fille, mais j’aime dire

Toi ce n’est pas pareil,  tes yeux vrais me regardent

Ah demain! J’en aurai des choses à leur dire

 

Tiens par exemple,  je les rendrai tous  fou

Quand mon orgueil persifleur à l’instinct fou

Dira à ses amis, que je t’ai vu beau sans te voir

Oh ce n’est pas grave,  folle ils penseront c’est fou

 

Eh fais attention ! Ta main marche sur ta souris

Elle ne crie pas, elle ne marche pas  j’en souris

C’est pour cela que tu ne me réponds jamais

T’inquiètes pas, moi je jouerai au chat et à la souris

 

Dis! Tu es toujours là, on est bien tous les deux

Que penses- tu de notre causette, on parle d’eux ?

Tu sais ceux qui critiquent, bof ! Laisse-les !

De toute façon une folle n’a pas besoin d’eux

 

Toi que supposes-tu, tu n’a pas de problème au moins

Tu n’es plus attentive, je t’ennuis pas avec…Du moins

Bon je vais bientôt te laisser, je vois tes yeux fatiguent

Mais si tu peux parle de nous, de nos mots c’est le moins…

☼•Ƈƒ

 

 

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2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 15:10

 

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Hier c’était noël dans les chaumières

De tous les partout on a déballé les affections

Pour que ce nouveau jour soit lumière

Dans tous les cœurs ; décor de satisfactions

Ils ont brillé, oui tant ont-ils brillé d’aurifères

 

Que la nouvelle année soit comme ce gai principe

Qu’elle illumine tous les yeux à votre doux délice

Celui de l’amour festif, royal cadeau d’hermine

Couronnant  toutes ces pensées qui polissent

Eloquents ces bonheurs d’explosions qui  raniment

 

Tel  est mon cher souhait, altruiste  il n’a de prix

Pour  votre bonheur ; je l’emprisonne sans dédit

Comme votre bonne  santé que je veux  resservie

Chaque jour pour que vos demains soient sertis

De ce plus du meilleur ; Il vous étreint de  mon soit dit

ðC

 *

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 14:39

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Le jour est sombre, si sombre

Je me vais dans les larges allés

De ces églises  aux nefs oubliées

La petite lumière brille étonnée

De voir éphémère mon ombre

 

Le cimetière avoisinant gronde

Les pas  se font cavaliers des artères

Et les pierres  élèvent leur crinière

Fières d’emporter leurs hôtes  des hier

Vers la tranquillité d’un autre monde

 

Les yeux clos, ils touchent vos prières

Pour vous avoir prés de leur amour

Qu’ils vous ont laissé sans retour

Dans l’héritage de leur dernier jour

Couchés au fond de votre âme altière

 

L’enfant qui n’a jamais connu

Le résidant de cette pierre solitaire

Dépose son présent  à ce mystère

Et la fleur de son âme parfume l’air

Pour débusquer l’inconnu de l’aïeul perdu

 

Ses lèvres posent intimidés sur le ciel

De petits baisers de reconnaissance

A celui qu’il aurait aimé en confiance

Interpeller et venir  porter assistance

Pour le libérer de sa prison éternelle 

 

A mon autour, mille et mille flammes saines

S’envolent vers les  Dieux  qui se hissent

Sur leurs esprits pour écouter les hantises

De tout ces chacun  désirant qu’ils bénissent

L’avenir de nos chers disparus dans leur éden

 

Un petit mot par ci, un petit mot par là

Qu’il fût gentil, qu’il fût bon,  je ne l’oublie

Il restera jusqu’au dernier jour de ma vie

Une présence qui chemine  sur mon esprit

Quand loin de son cimetière sage il se vient là

 

A mon retour un rayon de  soleil m’a sourit

Son visage à éclairé ma vigilante pensée

Il voulait me dire un dernier mot  pour me rassurer

Ne t’inquiète pas toujours  je te guiderai

Vers les chemins de la beauté que j’ai investis

☼₣€

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 22:54

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Il est, sonne  six heures

J’ouvre ma fidèle fenêtre

La fraîcheur défenestre

Ma pensée vers l’ailleurs

 

La poisseuse brume blafarde

Enveloppe les immeubles

D’où surgissent  des combles

Des pensées babillardes

 

Dans le grand silence

Une petite lumière

S’envole légère sur l’air

De  l’amitié en abstinence

 

Elle vole sur mes yeux

D’un toupet matinal

Au bonjour sentimental

Pour la suivre de son  jeu

 

Je voudrai l’attraper

Pour la consoler

Et lui prodiguer

Mon altruiste amitié

 

O lumière! Ne garde pas

Dans ton esprit

Tes pleurs des la nuit

Rêve encor de fiestas

 

Laisse les doux nuages

T’emporter sur les étoiles

Là où le beau se dévoile

Dans le bonheur qui nage

 

Il n’est pas encore l’heure

De lever le rideau de la nuit

Pour réveiller  les tout petits

Ils jouent aux rieurs  dormeurs

 

Guide toutes les bonnes âmes

Hors des chemins noircis

Par les cauchemars de la vie

Quand la frayeur les entame

 

Donne leur ta puissan

Quand tu charmes d’humilité

Ma volonté de vouloir trouver

Leur bonheur sur marche d’aisance

 

Tout heureux au matin du bon levé

Les yeux amoureux tournés vers la vie

Les amants dans leurs petits baisers

Déposent le doux  parfum du petit café

 

Les petits retrouvent nounours

Qu’ils ont laisse  seul au soir

En se collant contre l’espoir

De le rêver tranquillisante source

 

Leurs bisous se dessinent au cou

De maman folle dans son  bonheur

Qui leurs préparent sans labeur

Le chocolat avalé au son du bagadou

 

Le volet nourricier du jour se lève

Je cherche des yeux ma lumière

O mystère! Elle est partie sans prière

Feu follet éphémère d’un matin de rêves

 

Je serai là demain pour la veiller

Pour qu’encor elle me raconte sereine

La vie des petites beautés reines

De ces âmes qui s’éveillent à la réalité.

ðC

 

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 12:37

 

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Amant de nos yeux
Le beau ciel des aïeux
Nous offre comme un Dieu
Cet amour du paradis  des exaucés
Couché là haut,   portrait de ceux
Qui ont laissé aux fond des cavités

De nos cœurs le silence d’un jeu
Cet héritage  qui stupéfait nos voeux
Au sertissage  de l’amour  des audacieux
Pour combler  nos esprits, ces  carencés

J’ai inventorié la grandeur de l’héritage

L’affabulation de mon contage fut sage
Sans cesse j’ai retourné,  les pages une à une
Pour enrichir mon âme à son usage

Ô mes aïeux votre don est mon courage 

☼₣€

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 12:27

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J’ai aperçu heureux une belle envolée

De mésanges piaillant votre vive  joie

Elles dispersent des mots de bon aloi

D’amour qui naissent  comme baisers

 

Curieux j’étais attentionné, bon drille

Je virevoltais, dansais sur une toile animée

Quand  mes  mots sur le net s’alignaient

A votre riche fenêtre pour qu’ils babillent

 

J’écoutais  affectueux tous  vos  pleurs

De ces peines venues  de méfiances

Qui tourmentaient cette   grande errance

 De votre amour teinté par ses  malheurs

 

J’engrangeais de ces amours les défaites

Celles des ruptures qui meurtrissent vos esprits

Comme un  coriace rocher à l’âme appauvrie

Qui ne connaît plus la joie de l’instant de la fête

 

Il me fut accouru   ces  moments sublimes

Ils m’ont conduit radieux vers l’univers d’azur

Où le ciel vous tend téméraire d’un geste pur

Ses mille et mille disponibilités de  bontés  câlines

 

Et les amours disponibles  à l’entrain fantastique

Se couchaient au silence de  sources d’émerveillement

Sur mes yeux racoleurs d’enchantements des sentiments

Prêts sont-ils d’applaudir au spectacle des accords magiques

 

Les mères, les filles et les fils tous par trop amoureux

Me tendaient affamés sur la vague polie de leur calme

La soif des  beautés ardentes de leurs géantes flammes

Qui embrasaient  mon esprit gai  d’un brûlant heureux

 

Les jours passés perdirent  leurs étoiles à la nuit

Et les lumières d’or s’étreignirent dans le  grand loin

Alors ma solitude s’ancra sur ma fenêtre au petit coin

De ma pensée qui attend ensorcelée le sage retour fortuit

 

C’était hier, je reverrai dans  ces demain au matin

Ce radieux, ce merveilleux, ce somptueux, ce soyeux

Celui de vos vies prospères qui n’est point l’orgueilleux

Mais ce souffle qui me caresse suave comme doux  parfum

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8 novembre 2011 2 08 /11 /novembre /2011 13:57

 

 

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Ah vous voilà, O merci d’être là

Regardez-moi ! Oui je suis encor là

Tutoie-moi, ne t’inquiète, je ne partirai

Tant que tes  yeux si doux seront là

 

Allez ne me ment pas,  tu te le dis

Elle est folle,  ce n’est pas  un fait dit

Que raconte-elle, que me veut-elle

Pourtant tous mes amis me l’avaient dit

 

Tu voudrais que je poétise ce qui est mieux

Moi vois-tu, j’écris toujours pour le  mieux

La bêtise humaine quand elle est mortelle

Excuses-moi,  je n’ai rien trouvé de mieux

 

Allons ne détourne pas tes yeux du faux

Lis-le et je pourrai dire c’est un cul faux

Oh non pardon,  on dit faux cul, quel bel idéal

Pour celui qui n’écoute, le regard  en faux

 

Non attend un petit moment,  j’ai à dire

Je ne suis pas mauvaise fille, mais j’aime dire

Toi ce n’est pas pareil,  tes yeux vrais me regardent

Ah demain! J’en aurai des choses à leur dire

 

Tiens par exemple,  je les rendrai tous  fou

Quand mon orgueil persifleur à l’instinct fou

Dira à ses amis, que je t’ai vu beau sans te voir

Oh ce n’est pas grave,  folle ils penseront c’est fou

 

Eh fais attention ! Ta main marche sur ta souris

Elle ne crie pas, elle ne marche pas  j’en souris

C’est pour cela que tu ne me réponds jamais

T’inquiètes pas, moi je jouerai au chat et à la souris

 

Dis! Tu es toujours là, on est bien tous les deux

Que penses- tu de notre causette, on parle d’eux ?

Tu sais ceux qui critiquent, bof ! Laisse-les !

De toute façon une folle n’a pas besoin d’eux

 

Toi que supposes-tu, tu n’a pas de problème au moins

Tu n’es plus attentive, je t’ennuis pas avec…Du moins

Bon je vais bientôt te laisser, je vois tes yeux fatiguent

Mais si tu peux parle de nous, de nos mots c’est le moins…

☼•Ƈƒ

 

 

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 14:25

 

 

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Il est, sonne  six heures

J’ouvre ma fidèle fenêtre

La fraîcheur défenestre

Ma pensée vers l’ailleurs

 

La poisseuse brume blafarde

Enveloppe les immeubles

D’où surgissent  des combles

Des pensées babillardes

 

Dans le grand silence

Une petite lumière

S’envole légère sur l’air

De  l’amitié en abstinence

 

Elle vole sur mes yeux

D’un toupet matinal

Au bonjour sentimental

Pour la suivre de son  jeu

 

Je voudrai l’attraper

Pour la consoler

Et lui prodiguer

Mon altruiste amitié

 

O lumière! Ne garde pas

Dans ton esprit

Tes pleurs des la nuit

Rêve encor de fiestas

 

Laisse les doux nuages

T’emporter sur les étoiles

Là où le beau se dévoile

Dans le bonheur qui nage

 

Il n’est pas encore l’heure

De lever le rideau de la nuit

Pour réveiller  les tout petits

Ils jouent aux rieurs  dormeurs

 

Guide toutes les bonnes âmes

Hors des chemins noircis

Par les cauchemars de la vie

Quand la frayeur les entame

¤

 

 

 

Donne leur ta puissance

Quand tu charmes d’humilité

Ma volonté de vouloir trouver

Leur bonheur sur marche d’aisance

 

Tout heureux au matin du bon levé

Les yeux amoureux tournés vers la vie

Les amants dans leurs petits baisers

Déposent le doux  parfum du petit café

 

Les petits retrouvent nounours

Qu’ils ont laisse  seul au soir

En se collant contre l’espoir

De le rêver tranquillisante source

 

Leurs bisous se dessinent au cou

De maman folle dans sons  bonheur

Qui leurs préparent sans labeur

Le chocolat avalé au son du bagadou

 

Le volet nourricier du jour se lève

Je cherche des yeux ma lumière

O mystère! Elle est partie sans prière

Feu follet éphémère d’un matin de rêves

 

Je serai là demain pour la veiller

Pour qu’encor elle me raconte sereine

La vie des petites beautés reines

De ces âmes qui s’éveillent à la réalité.

ðC 

 

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20 octobre 2011 4 20 /10 /octobre /2011 18:55

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Ceux qui n’aiment  pas

La Feira nova

Loufoque

Qui s’écrit baroque

Hors d’époque

Pauvre meuf

Elle se prend pour titeuf

Ce Crâne d’œuf

Bouffon du neuf

Qui joue l’intello

Avec son futal de barjot

Et son langage sans mot

La meuf, celle du cinquantième

Immigrée îlienne

Aurait pu

Dans sa rue

Sniffé les falzars

De tous ces ringards

Et leur fumer la  clope

Au risque d’être en cloque

Elle a préféré

De ce tout cela

Le  stopper là

Sans faire la hola

Et prendre son barda

Et son diplôme de papelard

Trop ringard

Ramassé après six ans

de cours à cenq cent

trop indécent

pour un temps décent

D’essuie-fesse

Après la grand’ messe

De tous ces bras cassés

Pour se shooter

A la féra nova

Avec émotivité

Dans la sentimentalité

Dé la langue de Molière

Celle écrite en dentelle légère

Elle est en fière

De toute manière

On peut être sévère

Quand amère

Le goût de l’autre est contraire

A celui qu’on espère

J’ai  connu son  zinc

Celui des barzingues

Quand entre deux flingues

On cuisinait la seringue

Avec de la fine

Ce n’était pas convenu

Mais c’était la revue

Du passeport des cités

Je ne fus maladroit

D’accepter ce droit

Mais ma vengeance

A cette obligeance

Fut d’écrire en alternance

Ma berceuse d’effervescence

Où ces mots d’une autre science

Pour ceux qui ont la patience

De comprendre ma romance

Sera  ma délivrance

Celle qui bouscule tous les bouffons

Qui ont le mauvais ton

Pardon

De vouloir ruiner ma sage raison.

Qui ne peut être ma déraison

A entendre ; à accepter  leur leçon.

Alors je dis sans façon

Non de non

Non !

ðC

 

 

 

 

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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