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24 décembre 2014 3 24 /12 /décembre /2014 14:10
Joyeux noel

 

 

Noël, prière vers le ciel

De l’enfant qui rêve de paix

Noël,  prière vers le ciel

De l’enfant  épris de vérité

 

Noël jour de fête éternel

Donne à l’enfant affamé

Un repas gai de joies nouvelles

Pour une vie tout en beauté

 

Noël jour de fête réputé

Tend à l’enfant  apeuré

Ton aide,  présage  exaucé

Pour un sort  béni et lacé

 

Noël jour de fête lumineux

Enflamme ce visage obscur

Apporte à l’enfant miséreux

Les habits d’un éternel pur

 

Noël jour de fête salutaire

Redonne l’affection perdue

Prodigue à l’enfant téméraire

Le calme des  punitions  disparues

 

Noël jour de fête  chantant

Ravive les sons silencieux

Entonne à l’enfant souffrant

Une mélodie de jours heureux

 

Noël jour de fête de la  relâche

Ramène les oubliés perdus

Rend à l’enfant toujours sage

L’image d’un hier inconnu

☼ƑƇ

 

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23 décembre 2014 2 23 /12 /décembre /2014 14:34
Ô ma belle âme

 

Je t’ai poli, poli mon amie

Lisse plus lisse qu’un lys

Je voulais te faire jolie

Comme  fleur d’une police

Qu’on décrit sans soucis

Au beau  matin d’une folie

 

Ô ma belle Âme je te dis  pense

Je ne voudrai que l’on te panse

Quand se déforme ta précieuse peau

Troublée  par tous ces  mots faux

Quand on ose piquer ta sensibilité

Ces  blessures d’amères hostilités

 

Il te faut penser à te reposer

Pour garder sans regret ta fierté

Ton lit doit être doux  câlin

Que  sagesse peut te procurer

Dans le silence de ta bonté

 

Demain alors viendra le temps

Où tu sortiras du bon jugement

Qu’une retraite offre en sentiment

Aimer l’autre sans reniement

Quand blessures furent profondes

Et laissent cicatrises qui vous frondent

 

Ô mon âme soit polie, pense bien

Ne dit que mots qui leur plaisent

Qui au bel éveil vous  met à l’aise

Quand s’oublient les fadaises

Jetées aux bas des hautes falaises

Pour les faire emporter par mer au loin

 

Ne vas vers les tempêtes que démons

Offrent au vent puissant pour te pousser

Vers Les folies à jamais rencontrées

Celles qui vous obligent aux naufrages aisés

Et engloutissent votre bonté avec affront

 

Mon âme je te prie au creux de la vague

Là,  même chahutée du haut de ta vergue

Tiens bon,  de doux  horizons te lèguent

Ce que de beau en puissance met en exergues

Saines terres où le bonheur sur les cœurs divaguent

 

Merci mon âme je veux être l’héritier

De toutes tes attentions, tes sollicitations

Car je sais que tu trouveras solutions

A ce doute permanent qui ronge mon affection

Je ne voudrai que nous ayons à nous séparer

 

 

Quand mort t’offrira luxe de quitter ce  corps

☼₣€

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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22 décembre 2014 1 22 /12 /décembre /2014 12:11
J'ai touché l'orchidée, douce virginité

Un sourire au matin je vous ai offert

Ciselé comme une pierre d’envie

Pour se glisser sur vos yeux au doux vert

Ces émeraudes  brillant de leur lumière

 

Les carats de tes ors enrichissent mon cœur

Et ma peur amère de perdre trésor si cher

Ne résiste pas  pour garantir ma frayeur

Au coffre de vos  lèvres sous leur douceur

 

J’ai touché l’orchidée, blanche virginité

Pelure satinée, je ne l’ai qu’effleuré subtil

Pour qu’au  demain  ne soit fanée

Pétales que je voudrai sage effeuiller

 

Tes courbes tendres sont belles à délier

Je me vais chantant sur tes doux replis

Ô piton de feu, je t’offre ma volonté

T’ériger sur le haut comme volcan sacré

 

J’enjambe la pureté de tes beaux traits

Pour ne pas effrayer mon intuition

Tu es belle, belle comme Venus sacrée

Et je me  plais à  te regarder comme un damné

 

Il ne sera mon  heure qui ne soit ton heure

Tes pas comme ceux du chaperon rouge jovial

Je les marquerai au fond de mon cœur

Pour ne pas un jour te perdre ailleurs

 

Je ne voudrai que ton home soit mon fantôme

Mon corps aime les binômes quand Rome voir

T’offre  puissance d’une armée de désir qui d’arôme

Monte à l’assaut de l’amour comme les cyclones

 

Que fureur soit notre  signe d’attachement

Quand nos deux corps d’un soin amical

Réaliseront les promesses de déments

Que je te fis au matin de tes désirs mendiants

☼₣€

 

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20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 13:59
Monde englouti

 

Je suis venu danser sur le monde

Mais où était la piste des sons

De jolis sons qui vous font sourire

J’entendais de partout il fait bon

Surprise je ne vis que visages perdus

Dans le malheur des déraisons

Alors je me suis fait une raison

J’apprendrais à danser sur mes pleurs

 

On m’a offert un bouquet de fleurs

Belle arrivée quand vous n’avez peur

De tendre la main au gens gentils

Je me suis dit le monde est un rire

Mais ils échangèrent des soupirs

J’ai entendu craquer leur terre

Venez, venez nos rires on les enterre

 

Leur bienvenue avait l’or des voyages

Là sur une ile sauvage des oiseaux sages

Ils chantaient avec le vent sifflant

J’ai avec eux voulu siffler le bonheur

Ils se sont enfuient ils eurent peur

Ma sagesse leur a fait grande frayeur

J’entendis : c’est un ange fou, o malheur

 

Sur les campagnes  j’ai cheminé

Les fleurs, les odeurs, les senteurs

Tout était un charme à ne me vouloir repartir

Mais un bel écureuil m’interpelle,  o rêveur !

- Viens dans notre forêt je te montrerai

- Ce qu’ils font de nos beautés hors tes jolis prés

Il me montra l’immonde des immondices

Puanteur, aigreur, sueurs, ô rancœurs

 

Je suis reparti pourrais-je un jour comprendre

Ce que ce monde vous laisse à prendre

Chercher lui facile  le visage le plus pur

Alors soyez sur de ne pas lui tourner le dos

Car vous seriez pris c’est sûr à défaut

Et croire que vous touchez le beau

Quand le plus faux vous prend pour un sot

 

 

Au village joli je me suis allé, je surpris

Un humain qui me dit : - Que fais-tu ici

Ce n’est pas ton pays mais reste pardi

On peut avoir besoin pour les moissons, ô souci

Mais tu repartiras  quand enfin tout sera fini

N’use pas notre lit, ici ce n’est pas le paradis

Je lui dis merci, mais je suis reparti loin d’ici

On est souvent à la merci de ceux-ci

Qui n’aide qu’à la condition de ne dire merci

 

Dans la grande métropole  guitare à l’épaule

Je voulais donner ma voix aux artistes des mots

J’ai écouté mille promesses comme un dévot

Elles étaient belles, je danserai enfin à la fête

J’ai passé mille années dans leur spiritualité

J’ai veillé chaque matin les messages

Mais jamais mon visage ne pu accompagner ma guitare

On chantait : demain sera beau, sera bon,

Mais je vous le dit ma guitare les mites sont venues

Elle se délabre, ne peut plus jouer, elle dort

 

J’étais venu sur ce monde pour danser, chanter

En tous ces ans passées là à rêver,  je n’ai rien vu

Promesses perdues, discours disparus et tout fut

Je vous le dis je fus, mais je me suis vu perdu

Ma vieillesse m’a perdu, de ce que je n’ai vécu

Et ce monde n’a pas changé, sauf les cités englouties

Et je me sens engloutis, alors demain je serai reparti

Pour ne pas déranger ce monde, non le voir englouti, non !

 

Je vous entends bonne gens de ce monde ci, il est fou

Si le monde est englouti, à quoi, oui à quoi peut servir

Tout ce dit, car il ne restera plus que le néant

Et alors dit-nous,  toi qui écris pourquoi cette poésie

Encore une folie d’un fou qui se cherche un alibi

L’écrivain vous dit, regardez votre monde est-il gentil

Quand une crise enterre vos rêves  avec mépris

Que la fête est finie, quand bonheur prend linceul la nuit

Et offre à vos yeux vertueux le noir d’une vie de maudit

☼₣€

 

 

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19 décembre 2014 5 19 /12 /décembre /2014 11:05
Orgasle

 

Lit refait

Que la fée

Sans méfait

C’est un fait

Pas contrefait

A défait

Sentimentale

Elle s’affutait

Se briffait

Se coiffait

Se décoiffait

Se dégrafait

Tout défait

Amicale

Là s’échauffait

Rien d’imparfait

On ne se refait

Elle piaffait

Stupéfait !

On ne la bluffait

La sonnette tôt fait

Là surfait

Normal

 

Vis, vis

Prés de lui

Revis

Routine

A minuit

Dans son lit

Sois Gentil

Il te prit

D’inédit

Un bruit

Deux bruits

Et Puis

Tu jouis

Jouis !

L’intime

Quelle vie

Inouï!

J’ai envie

Sons soucis

Refais, revis

L’interdit

O génie

 

Ne t’enfuis

Ici git

Le profit

D’une nuit

Infinie

 

Ce n’est heure

Du leurre

Mais l’heure

Est erreur

Quand fureur

Donne sueur

N’aie peur

L’ardeur

Effervescence

Offre faveur

A l’âme sœur

En sa demeure

Odeur

Chaleur

Catalyseur

Liqueur

Magnificence

O mes douceurs

Rêveur

Ta saveur

A l’ampleur

De mes pleurs

De bonheur

Et ma fleur

T’effleure

Sage ferveur

De mon coeur

Dernière lueurs

Orgasmes rieurs

Ils ne sont  amateurs

Professent leur labeur

Toujours en chœur

Confiance

Etre  de bons acteurs

Bons joueurs

C’était encore heure

Quand fut fleur d’heure

Pénétrations

répétitions

Satisfactions

Solutions

 

Oh !

saveur

Suave

Orgasme

 

☼₣€

 

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 12:08
Amour et vie

Sache l'ami

Qu'a cœur  en soucis

La vie dit

Et redit

Il y eu  regard lundi

Envie mardi

Baisers  mercredi

Corps à corps jeudi

Délit  vendredi

Pleurs et regrets samedi

Pourquoi en fut-il ainsi

L’amour  est duo, indécis

quand l’un du couple ne survit

Pour vivre infini

Alors cherche duo véridique

Dispensé de toutes roueries

Pour que Dimanche soit crédit

Ainsi va la vie

Pour qu’amour soit éden

Alors et alors réagis

A sa porte je te dis

Veille lundi car dès que tombe la nuit

Un regard là vous sourit

Le baiser n'est plus interdit

A celui

Que l'expérience a rendu insensible

Quand solitude a pris habit

Pour lui offrir l'envie

D'aimer à la folie

Fut-elle sincère et polie

Car l’amour toujours vous suit

Vous aime même dans vos nuits

Au fond de rêves inouïs

☼₣€

 

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 11:09
Le missionnaire dupé

 

Tu aimes

Elle aime

Sans peine

Sans haine

Tu flemmes

Elle flemme

Tu  traines

Elle traine

Tu  ne sème

Elle   sème

Tu graines

Pas la peine

Mylène

Petite laine

Ton haleine

Egrène

Ma gêne

 

A l’aise

Sans alaise

Sous un mélèze

Fadaise

O malaise

IL ne baise

Ô niaise

La bourbonnaise

Sa braise

Que ne lui plaise

Dans sa fournaise

Se taise

Enfouie dans sa glaise

Lui, son ascèse

L’amour qui ne pèse

 

Là son sérail

Epouvantail

Non son travail

Il avitaille

Âmes en faille

Son attirail

L’ail

Pourquoi l’ail

C’est un cocktail

Un détail

Et le corail

Farine de corail

Sur leur poitrail

On lui dit : Ö tu dérailles

Non je ne t’assaille

Je baille

Allez ! On ne bataille

Ô vile canaille

Je te cisaille

Tes écrivailles

Démons que j’empaille

 

Sacerdoce de crédo

Tu es barjo

Toi   l’accros

Des à propos

Autour d’un apéro

En jouant au  banjo

Temps chrono

Tu attends les bravos

Et les ados

Tu Leur parles chaos

Ne leur tourne le  dos

Tant que n’est clos

Ton info

Pas de commando

Tu n’es  héros

Mais les gogos

Sous les filaos

Dans l’enclos

Cœur gros

Veille le halo

De tes mots

Ton édito

Signé de ton pseudo

Là incognito

Signe  ton méli-mélo

Un peu d’eau

Pour  Baptême idiot

Mission du faux

Quand de ton  trop

On croit que tout est beau

☼₣€

 

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 15:06
Le mourant

 

Putain de vie

Tu m’ennuies

Tu me dis

C’est mon prix

Jouis, jouis

Quand dans mon lit

Tu me fuis

Encor tu me dis

C’est fini

Non il est midi

Je reste  ici

Jusqu’à ce minuit

Demain ci

N’est loin d’ici

Alors vis

Encor vis

D’envie

aisance

 

 

Entendu

Ce n’est refus

Quand ce fut

Entretenu

Ton vu

Et mon lu

Je n’ai plus

D’influx

Tu le crus

Et mon du

Mis à nu

Crie pansu

O verrue

Je rue

Dans le flux

Du cru

Vie de reclus

Perclus

Insensé

 

Abandonné

Je suis floué

Par ce fait

Pitoyable fait

D’être né

Handicapé

Par la beauté

Sincérité

Non mentalité

Alors je vais

Sans aller

Paumé

En forêt

D’humanité

Elle me défait

Me refait

Sans dignité

Toujours  laid

Visage trompé

Par sa fausseté

Des moralités

Alors j’irai

Alors je me vais

Toujours

 

Minuit l’heure

Je n’ai peur

Belle lueur

Néant ciseleur

Ta fraicheur

N’est leurre

Je suis joueur

Colin-malheur

Ô porte bonheur

Tes couleurs

Noir de douleurs

Gris  de fadeurs

Blanc serveur

Prend le meilleur

D’une  vie d’erreur

Rieur

Chanteur

Le sieur

Est douceur

Ô cœur

En chœur

Se fuie ardeur

Souffle prieur

Dernier seigneur

Il meurt

Vie voilà l’heure

Minuit  crieur

Mortel

 

Ton oubli prend vie

☼ƑƇ

 

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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 20:27
ô mon monde
Ô mon monde

Et tourne ta ronde

Dans l’or des ondes

De ta chevelure blonde

Que dessine

Le ciel sordide

D’une humanité féconde

De dangers qui inondent

Ses bras d’infractions furibondes


Le chacal tend son mal

Rien n’est sentimental

Ces crocs d’’animal

Instinct trivial

Arrache votre idéal

Pourquoi vivre au festival

Du sublime psychisme

Quand l’humanité offre schisme

D'un mal-être sérial

Pour vous faire vivre amical

Des folies radicales

Brisant au final

Un moral génial

Paré du bien estival


Le monde s’en va loin

Restera t-il un coin

Pour vivre au bon soin

Du grand besoin

D’une humanité qui a rejoint

En tout azimut

Le coin-coin

Du malsain sortant son groin

Pour sniffer le foin

Du plaisir en contrepoint

Qui défie l’immonde témoin

Le monde se dissimule

Pourquoi mal accule

Dans ce cratère où pullule

L’humanité que tout accule

Ces images d’actes qui émulent

Déshabillent ceux qui divaguent

Ô enfants mal-aimés on ne jugule

Cette responsabilité qui inocule

Tous ces demain incrédules

Ils ruinent couchés votre avenir sur le nul


Le monde soudain se dévoile

Sort la voile

Mystérieuse toile

Qui cache les étoiles

Du bonheur cardinal

L’humanité perd le voile

Pour revenir romanesque

Dans le bain natal

De son vécu viscéral

Génial, abyssal, sidéral

Chaque coins reprend social

Une vie inaugurale

Du bien original


O monde! Ofre nous d’être fort

Quand le mal-moral dehors

Tente de te donner la mort

L’humanité a ce grand tord

Te jeter un mauvais sort

Sur notre monde d’alors

Que soit renouvellement

De la confiance primitivement

Ces bonnes mœurs alors

De malversations jetées hors

Nos espaces qui se couvriront d’or

Pour aborder le futur des encor

Quand cet or ne servira plus de décor

Et que nuit ne sera peur quand on dort

☼₣€
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12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 11:20
Orgueil du fond de ta tanière

 

Orgueil du fond de ta tanière

Canus Auréus  tu  nous prépares

Charognard  des humbles  litières

Tu rognes  l’os qui nous sépare

 

De ta pharaonique pensée  tu  me braves

Tu me pousses loin de toutes proies

Car tu n’esquisses  jamais l’entrave

Que je fus meilleur  à ton endroit

 

Tu élèves la tête au plus haut que le sphinx

Et tu me montres les crocs  féroces

À faire comprendre  raison à mon pharynx

De ne plus  souffler   mes mots de rosses

 

Tu ne laisses rien, tout t’appartiens

Et tu lèches  sans vergogne  ma dernière envie

Les trésors de mon âme ce n’est rien

Pour toi qu’une perfide  acrimonie

 

Rien n’est moins beau qu je n’eusse le beau

Et de tous les  ors que je  sois  cette ordure

À me montrer une Cléopâtre complice  dans l’eau

Pour laver mes souillures que tu me tend impures

 

Je ne veux plus de toi ô  morne corrompu

Je rejette au loin  ton inexpugnable  vitalité

Ne me rabaisserai à sucer  tes blessures reçues

Pour te donner le plaisir  de ma fidélité

 

Un jour tu crèveras la panse trop pleine

De ne vouloir vomir  toutes tes résistances

Au De Profondis ne m’offre pas  injures  vilaines

Pour me faire croire que ta prière  est  rassurante.

☼₣€

 

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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