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2 novembre 2018 5 02 /11 /novembre /2018 16:41
Sortie d emon corps

Sortie de mon corps

¤

Sortie de mon corps ma pensée noire  dort

Dans la nuit de la lune noire sage je me dore

Enseveli visionnaire   sous de grands  rêves

Cheminant accompagné  d’aise sur la drève

¤

Mon âme évite toutes images prémonitoires

De ces autoritaires cauchemars assommoir

Refoulés en masse indigne  sous ma fenêtre

Dans la peur que mon esprit  ne puisse  être

¤

Dans un riche monde emmuré de joies saines

Quand la force fière et fidèle  du grand  chêne

Occupe mon esprit émerveillé  sur la scène

Des jeux de la vie flash  en prodigue mécène

¤

Je me vais hardi  hors des serviles  frontières

Où les tentations sortent attentionnée  l’hiver

De la cache empoisonnée  de ma sage timidité

Pour m’emporter au  pur d’un nouvel  insensé

¤

Et se batifole persuasive  une étrange pensée

Qui se faufile entre l’espace libre  des murets

De ma raison assoiffée  en sa bonne  demeure

Quand le  temps  se joue à l’échec du malheur

¤

Et le paysage des douces  campagnes florales

Se déverse pour accompagner au soin amical

Les menuets amoureux des belles  hirondelles

Qui s’entrelacent en de gentillets  baisers charnels

¤

Le soleil enflamme d’or  du  luxe de  sa  lumière

Les amours engendrés  sortis des arides déserts

Pour s’abreuver prompts  aux flammes bénéfiques

Rutilantes  flatteuses sur d’ardents  coeurs chics

¤

Ô que nenni ! Ne repartez pas  suaves visions

Ne quittez pas ce paradis vers le silence des ions

Qui se perd dans  de morbides  traces illusoires

Quand au matin se  larmoiera ma réalité du noir

¤

Je parcours sur ce monde une route trop  virtuelle

Qui m’encourage à revivre au soir le faste  naturel

Je voudrai au fond troublant de ma sourde  défaite

Retrouver endimanché mon amour  criant à son faîte.

ÿƒC

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1 novembre 2018 4 01 /11 /novembre /2018 18:17
Abrasive haine

Abrasive haine

 

L’abrasive sotte haine

De ma trop triste peine

Tourmentée là s’entraîne

¤

Dans un répugnant  local

A l’apparence  bancale

Où j’attends le chacal

¤

Il est là au bord du rivage

De ma miséreuse  rage

Qui intolérante s’engage

¤

Sur les infâmes chemins

De mon instinct bien  malin

De crier contrefait  sa faim

¤

D’un brin impur d’iniquité

Pour la bonne chose jugée

Dans la baveuse  morosité

¤

Revenu au trait  du  portrait

De mon esprit sur le retrait

Loin de ses mauvais attraits

¤

Quand hâtive  la nature frivole

Sur  ma douce  âme s’envole

Avant qu’à l’orage  on me vole

¤

Tous les vifs  paradis arc e ciel

Captés quiet  hors de l’artificiel

Par mes sages yeux  démentiels

¤

Ils retrouvent la pure réalité

De ces bonnes originalités

Soumises à ma générosité

¤

Les belles couleurs se noient

Dans mon sage cœur sournois

S’émerveillant de son minois

¤

Et je rêve dans ma voyance

Des voyages de mon enfance

Courant leste dans la Provence

¤

Dans les champs de mimosas

Parés des joies de la fiesta

Quand mon corps se repose là

¤

Et la fleur éclose soudain me rie

Me tend l’azur dont elle se nourrit

Quand  la pleine nature  me chérit

¤

Ma bonté alors avantagée se renaît

De ces mirifiques vrais instantanés

De ma pensée jouxtant l’imaginé.

ÿƒC

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31 octobre 2018 3 31 /10 /octobre /2018 17:19
Ne juge pas celui

 

 

Ne juge pas celui

 

Si tu vois quelques gens dans la difficulté

Ne crois pas pouvoir  saun te sauver de misère

Car sauras-tu sauter   en profonde rivière

Si t-y attends danger : Un  crocodile rusé

 

Ne penseras-tu pas qu’il vaut  mieux l’après

Quand de cet  animal  là tu penserais leurre

Mais non à son luisant  dos rentrant en  demeure

Pour te laisser endroit le traverser sans décès

 

Alors fait toi raison  ne  juge pas celui

Qui se trouve  gêné devant une imposture

Laisse ta gaie pensée trouver son point d’appui

 

En  sachant  vérité tu auras la  mesure

De ce que tu pourras  échanger  du délit

Ta   perspicacité annihilant  morsures

ƒC

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30 octobre 2018 2 30 /10 /octobre /2018 16:25
Un mors me dévore

Un mors me dévore

 

Un mors me dévore

Crache son venin

Sur mon corps qui s’endort

L’absorbant en vils câlins

¤

La fièvre dépourvue de rêves

Brûle toutes mes saines pensées

Suintant de malice sans trêve

Au grand noir de ma sincérité

 

Des soleils migrent; O éveil!

Enflamment mon être flamme

Quand ma  torpeur s’éveille

Et me jette aux fièvres partisanes

¤

La grimace revêche se pâme

Sur mon regard de bagnard

Forçât d’une souffrance d’âme

Elle pleure sur l’acte ringard

¤

Un volcan brutal se déchaîne

Laves de sueurs; perles dévalant

Sur la suite de mes jours de peine

Quand mon corps se tord tremblant

¤

Au loin des luxuriantes lumières

Aboie la grande peur du néant

Et des yeux s’ouvrent à une prière

Pour fermer ce noir malfaisant

¤

Une piqûre susurre une luxure

Au chaud dément qui se défend

Il plie son drain à la dure brûlure

Et s’étourdit las au vil tourment

¤

Transpire mon corps pour survivre

Respire mon âme sur tes  pensées

Les jours nouveaux du temps ivre

De ta vie ils  surgiront comme au passé.

ƒC

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29 octobre 2018 1 29 /10 /octobre /2018 16:31
Blouses blanches

 

 

Blouses Blanches

 

 

Blouses blanches, aux pas pressés

Leur piqûre souriait à ma pensée

Et d’un geste précis ; très aimable

Il chatouillait ma main serviable

O virus ! Attention à l’archet!

 

Leurs yeux scintillaient de bonheur

Pour donner dans la bonne humeur

Ce  bien irradiant la peur muselée

Que le malade au vil dessein rejetait

O virus ! Attention respect !

¤

Leur âme caressait mon fragile esprit

Pour le soutenir dans mes rêves précis

Décor du passé où se baladait ma santé

J’en buvais le remède de mots déposés

O virus ! Attention sûreté !

¤

Belle infirmière tu cognais sur ma porte

Petite ou grande; sirène fluette ou forte

Tes mots réconfortaient mon impatience

Et ton protocole exprimait ta sage science

O virus ! Attention danger !

¤

Il est vrai, protégé je me sentais si bien

Tu gardais mes douleurs comme ce chien

D’aveugle fidèle, veillant  son bon ami

Ta patience rongeait à jamais mon ennemi

O virus ! J’ai conté ton décès.

ƒC

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28 octobre 2018 7 28 /10 /octobre /2018 17:07
Placide canal

 

 

Placide  canal

 

Le large canal placide  batifolait dans la campagne

Reliait la Marne au Rhin comme deux sages amants

Sur les chemins de halage les chevaux de trait luisants

Tiraient dur la péniche de bois  vernis: ‘’Charlemagne’’

¤

L’équipage s’arrêtait au vieux relais et se reposait

L’animal et son valet à la pauvre allure dépenaillée

Se tombait  dans la paille tiède d’une écurie tannée

Elle souffrait de  recevoir  ses hôtes trop  fatigués

¤

Sitôt retapé, l’homme servile changerait de bête

Il parcourrait le prochain bief jusqu’à l’écluse

Celle de Varangéville où les manœuvres qui usent

L’attendaient; le laissant grogner seul dans sa tempête

¤

Mais la modernité à chasser les chevaux de trait

Pour faire grande  place au vert tracteur de fer carré

L’électricité a remplacé l’énergie des chevaux frais

Que l’unijambiste relie de sa canne flexible déroulée

¤

Accroché la haut sur la ligne le cordon ombilical

Nourrira dans son voyage d’une force phénoménale

La machine qui ne reliera plus la vieille écurie ancestrale

C’est  là que je suis né d’un lendemain  sentimental

¤

L’écurie cette ogresse a bercé les premiers ans de ma vie

Le drapée de l’usine nauséabonde nous enveloppait servi

Et assis sur le plancher  de terre je n’apercevais enfoui

Le plafond de mon fortin se cachant à mon regard soumis

¤

Cathédrale de prières dressées à l’austère thème astral

Que ma mère acquit un grand jour  d’oracles  de bohème

La brave femme vivait les sereines vérités du bon thème

Votre enfant gravira les temples de la richesse morale

¤

Le poêle de bois consentant, chante ses flammes scintillantes

Lumineuses dentelles  chargées d’oriflammes vacillantes

Qui transportent sa chaleur sur un corps collé à l’entreprenante

Pour s’accoquiner au doux plaisirs d’une vie  intransigeante

 

Quand le soir sur le rideau séparant l’unique pièce délabrée

Les parents en gestes mystérieux jouent aux ombres chinoises

Les râles ; les cris  courent sur mon cœur qui soudain croise

Ma terrible peur et je m’emprisonne maudit fœtus  recroquevillé

¤

Un jour de mai j’ai laissé seul  le canal à sa  grande destinée

Mes souffrances il les a gardées aux abords d’une patte d’oie

Il coule, il file je ne l’ai plus revu dans la tradition de ses joies

Quand se naviguaient les péniches aux marquises enjouées.

 

C’était au temps d’hier

Que  présent a perdu

Quand   futur l’oublie

ƒC

 

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27 octobre 2018 6 27 /10 /octobre /2018 16:15
Une meite de chiens et le Spitz royal

Une meute de chiens

 

Une meute de chiens, l’échine couleur de tout poil

Déambulait  placide et attentive dans la grande cité

Chaque jour, dans les étages au bas des escaliers

Trouvaient  pitance dans  le  restes des poubelles

¤

Un jour de promenade, par un beau temps s’en allèrent

Hors de la cité dortoir et à l’horizon du loin aperçurent

Au détour d’un fleuri,  une grande maison de maître sûre

Qu’occupait un royal  Spitz respirant sage  de bon flair

¤

Le Spitz batifolait dans les allées, bien joufflu et  repu

Il les aboya  pour les éloigner de sa niche de bon  riche

De l’amour inéluctable  de ses bons  maîtres fétiches

Qui Lui  prodiguaient  assidûment mille soins  assidus

¤

Il toisa le chef de la meute, tête bien haute et lui dit :

  • De votre élégance vous n’avez point place par ici

Votre mauvaise  éducation est bien trop irréfléchie

Sauriez-vous  un jour de  grâce dire  un bon  merci ?’

¤

Fâché et coléreux le chef de meute inquiet  interpella

L’ensemble de ses congénères peureux: - Retournons !

Dans notre quartier, en groupe  nous en discuterons

Laissons ce nigaud  en sa  faconde on l’entretiendra

¤

De retour sous les escaliers, envieux  du Spitz on décida :

    Le bâtard pouilleux, battant la queue dit : - Etablissons !

Produisons un projet que nous conduirons tous  à l’unisson

Qui nous guidera joyeux vers des jours mirifiques de fiesta

¤

Son projet fut accepté unanimement sur un ton  précis

L’on détrônerait du plus gai savant  à  l’impact  malin

Le Spitz,  du gîte et de ses bonheurs  serti de  bel airain

Et la convoitise futile n’eut  d’yeux que leurs viles envies

¤

Ils vinrent en meute conspirer dans la demeure isolée

Se répandirent dans la l’immense cour surprotégée

Et firent mille manières aux maîtres qui  trop excédés

Les repoussèrent  indifférent à  leurs fausses  bontés

¤

Le lendemain n’ayant encor conclu le trop bon projet

Revinrent comme si de rien n’était,  à  la bonne  portée

Des maîtres qui avaient décidé de s’en débarrasser

Ils posèrent des pièges à loup dans toutes les allées

¤

Plusieurs d’entre eux furent piégés ; Ils s’enfuirent aboyant

Dans  cet autre monde, loin du Spitz qui serein savourait

Dans le coin de sa riche niche cette  juste et digne réalité

A la pauvreté il n’eut jamais  volé un bonheur rayonnant

¤

Le reste de la meute désabusée s’en revint tout chagrin

D’avoir cru qu’un projet insensé pourrait se réaliser

Il n’avait pas imaginé que certain d’entre  eux seraient

Occis de leur bêtise sans autre avantages que le dédain

¤

Avant de suivre les faiseurs de bon projet, méditez

Oui! Méditez sur sa  faisabilité et jamais ne suivez

Ceux ou celles qui ont pour objectif   leur pervers intérêt :

Celui de la convoitise d’un  bonheur  ambitionné

 Dont le risque caché est trop dépravé

ƒC

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25 octobre 2018 4 25 /10 /octobre /2018 18:18
les yeux clos

 

 

 

Les yeux clos

 

Les yeux clos sur le vaste spectacle

Grand écran de la vie, voilà l’oracle

Ma pensée s’assied dans la générosité

Pour saisir les images de la  réalité

Que le spectacle commence ;  rideau !

¤

Zeus néant, il fut un jour premier né     

Se naquit la matière: Pierre atomisée

Les astres, les astres qui s’entassent

Forment du faste univers la  masse

Planètes! Dansez à la saga du temps

¤

Les couleurs s’en vinrent du noir étonné

Du vermeil luisant des énergies ignées

Psalmodiant des arcs en ciel en fusion

S’illuminant d’un bleu azur d’élection

Terre multicolore; engrossant les espèces

¤

Images fastueuses ; Parade des diversités

Chaîne de la sage transformation régulée

Famille des microbes; des poissons, reptiles

S’associèrent au bipède animal, trace subtile

De l’évolution engendrant innée l’homo sapiens

¤

Temps heureux où l’intelligence supplanta

Le vieil instinct dépourvu de belles férias

Il fut ainsi que les couleurs du bon savoir

Des choses appartenant au réel, de devoir

En appelé l’un,  celui de notre ignorance

¤

Et l’homo sapiens devant son pur mystère

S’agenouilla pour appeler tout fait austère

Le qualifiant de Dieu, source de ses lacunes

Impénétrable science désacralisée une à une

Laissant sage en jachère  l’originelle énigme

¤

Dans ton ignoble méconnaissance d’humain

Toi l’être intelligent ne te laisse pas croire puritain

Que tu ne vis pas pour cette terre qui te porte

Dans sa nature  colorée et riche qui te supporte

Quand tes bonnes manières sont pour l’au

 

 

Tu te demandes pourquoi l’arc en ciel en ce jour

Pour vrai disparaîtra au  triste dernier grand tour

De l’univers se perdant dans un néant possessif

Mais regarde! La nature te parle : Visage pensif

Il fut l’origine, il sera une fin, telle est l’exclusive loi

 

Alors non !  Ne rêve pas d’immortalité

La science voudrait te le faire imaginer

Mais ne pense qu’à vivre lucidement

 L’heureux de ton  temps présent

ƒC

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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 17:29
Défends-toi

 

 

 

 

Défends-toi

 

On était âme blanche

A ce que l’on sache

Pas un jour au fond d’une cache

Sans un guet dans les recoins

On était témoin

Dans ces moments délicats

On n’était pas chat

Quand retombant sur quatre pattes

On s’évadait en hâte

Pour ne pas compromettre l’au-delà

Dans ces moments de fiestas

On y jouait un concert de bonheur

Pour que chacun en profite des saveurs

¤

On état âme grise

Dans ces moments de tristesse

On n’avait pas la paresse

Pour relever toutes les  sagesses

Jamais découragé comme une hyène

On revenait sur les couennes

On retroussait nos crocs de haine

Pour pourchasser les idées manichéennes

Sur les vastes nuits de nos esprits

Qui crachaient la foudre sur les délits

Et brûlaient des colères inassouvies

Dont les fumées léchaient les âmes

De ces êtres pervers; couchés contrits

Sur leurs pleurs nous laissant croire

Que rien n’était à voir

¤

On devenait âme noire

Quand le serpent vénéneux siffle

L’arbitraire et  vous assène une gifle

Que l’on enfouira  au grand fond

De  ces cœurs absorbant mille jurons

Pour couver des bontés  aux jardins

Quand se fleuriront beaux matins

Et que des yeux rieurs eussent chanté

La tempérance, la tolérance en transe

D’une vie louée en jachère à la déviance

De ce mal  fait organisant mos souffrances

On implorera un sage pardon à l’errance

Mais le vil saura t il! Abandonner  sa gérance

 

Peut-on devenir âme noire!

A ne pouvoir apporter un paysage lucide

Aux mécréants n’acceptant les joies licites

Tenaillés par la culture de tous les maux

Qui s’engendrent sur le grand écheveau

Des images viciées d’un monde impossible

Se gavant de visions de la haine indicible

Animal à l’instinct vorace de proies  faciles

Prêt à les nourrir de tous les vices serviles

Qui vous décharnent de la réalité du bien

Lambeaux de la pauvre morale du vaurien

Qui se faufile comme un virus insatiable

Dans les veines  des faibles démobilisables

Au devenir d’une poussière d’âme noire.

 

Le veux-tu ! Défends –toi

Oui defends-toi

Dans ce monde de rapaces

Pour garantir ton bonheur

Qui ne  se peux vivre

Qu’au sain de ta réalité pure

ƒC

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23 octobre 2018 2 23 /10 /octobre /2018 13:03
Sage saga

Sage saga

 

Sage saga d’un matin aisé

Je pose mes petits baisers

Sur tes yeux d’azur demi  fermés

Ton rêve charme rayonnant

Mon sain  bonheur ruisselant

¤

Il m’entraîne usant d’un violon

Là, où les pailles-en-queue font

Sur les rocs purs leur nid rond

Et serrent leur avenir d’amant

Contre leur amour éperdument

¤

Les saisons égrènent les élans

Quand la cigogne pose au vent

Des nouvelles pour les amants

Les menant au  doux paradis

De la passion des baisers sertis

¤

Rêve!  Ma fée, image magique

Aladin du transport énigmatique

Echange  nos chagrins cycliques

En joies saines de gaies séductions

Ourlées à l’azur de notre satisfaction.

 

Rêve, rêve

Laisse passer le temps

Il te mène vers le  réel passionnément 

CF

 

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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