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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 12:41

 

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Vous avez devant vous une superbe  vie

Insistez bien elle est pleine de ses envies

Vorace comme une magnifique  sangsue

Regorgeant de tous ces   plaisirs inattendus

Enivrant votre corps vers les  extrêmes bonheurs

 

Ouvrez les yeux ne gâchez pas ce noble temps

Ubuesque paradis qui vous laisse courir le bel instant

 

Mais voilà que le mal sournois vous ronge

Ô puissance  de la déraison,  ô mensonge

Urticaire de toutes les   passions  versatiles

Rapace affamé  du prolifique dédain  inutile

Ignorant toutes les parsemées  beautés dociles

Reprendras-tu, aspireras-tu aisé ce du de  ma mort.

☼₣€

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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 12:30

 

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Ô

Toi

Aimée

Sous mon toit

Je t’aime, si tu m’aimes

Traversons la vie limpide

Nous deux seuls que l’on sème

Tous les   bonheurs intrépides

Viens prend ma main demain

Nous serons tous deux sereins

Nous échangerons nos baisers

Et les cacheront au grand secret

Afin que l’on,  ne nous les vole

Nous resterons couchés  au sol

Sur toutes nos passions rageuses

Elles ne seront pas paresseuses

Et dans les étincelles de mon  lit

Tu exploseras  sur mon grand défi

De te donner  toutes mes envies

Qui crachent toutes mes folies

Je te promènerai sur  tes désirs

Pour garantir tes puissants  plaisirs

Tu vivras princesse de mes nuits

Enfermés dans mes bras réjouis

Pour d’assurance  m’absorber

Tout entière  à ton acte  attaché

Je voulais te dire juste tout cela

Pour que ne l’on n’en reste pas là

Je t’aime, aime moi je ne veux que ces cieux là

Passion là, Je te protégerai, tu me protégeras

.

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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 12:17

 

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Oh ma raison je t’en prie, te supplie

Calme mon esprit pressé de son envie

D’être pourfendeur de grands mépris

Apaise ces moments  du doute infini

 

Abreuve les sillons de mon corps stressé

Par les fugues incessantes du jeune révolté

Et que  le jus clair qui ranime les pensées

Purifie les bourrelets de ma terre insensée

 

Je te connais toi, visage de cette face putride

Qui engorge les chagrinés  esprits parricides

Oh toi la haine tu me tus, dans mon corps complice

De mes organes que je blesse à ton supplice

 

Je me rebelle te t’avoir comme compagne

Je pleure, je hurle mais tu m’accompagnes

Jamais, non jamais  je ne te  prêterai mon pagne

Pour embellir ton courroux sur ma montagne

 

Tu es vile, comme une sorcière démoniaque

Sans te lasser tu prisonnes la porte de mon cloaque

Afin de ne pouvoir  jamais   t’accuser d arnaque

Quand mon corps  tu le  prétends insomniaque

 

Non je ne te  suivrai pas, je te quitte oh pénitent

Laisse moi mon calme, fustiges- toi patiemment

Tu éviteras de me conduire vers les  paradis déments

Où le mal s’entraîne à être bon d’émerveillement.

☼₣€

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26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 11:24

 

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Un midi au ‘’Grand Place’’ le populaire  restaurant

Je me suis assis prés de cinq jeunes et beaux  enfants

Heureux ils étaient bien,  beaux  poulbots  marrants

Racontant ces histoires d’un rappel à ma  jeunesses d’antan

 

Ils jouaient avec les mots du présent de leur tendresse

Concouraient pour le palmarès  de leurs gentils sms

J’en ai huit dit l’un  croyant être d’une grande prouesse

Ou ah,  j’en ai dix dit l’autre d’un cri bien trop  strident

 

La jeune fille gracieuse mais  trop  inquiète s’exclama

Ce n’est pas la quantité mais la qualité pour moi  qui sera

Ecoutez « mon amour je veux danser une  frénétique ho la

Avec ton cœur qui  ne seras plus jamais un parias ici bas »

 

Bof dit l’aîné il radote,  le mien est bien plus  glamour

« Mon petit écureuil, garde moi, tes économie du jour

Pour mon cœur qui est si pauvre sans toi, je reste dans ma tour »

Les quatre autres piaffèrent dans un  silence  exotique de balourd

 

J’ai alors senti des pleurs d’émotion dans ces yeux de cristal

Une petite perle se glissa timide sur ses joues de petit animal

Blessé au plus profond de sa belle et tendre  âme festival

Par cet amour éclos avant la prochaine bonne saison estivale

☼₣€

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26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 11:07

 

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Mon destin me souffle, pas à pas  mon chemin

Je suis né sans prodige  sur le lit  de sa faim

Pour me diriger calme vers de lucides  demain

Où il me guidera rigoureux,  avec grand  entrain

 

La  théorie limpide  de cette austère  science

D’aller droit  au plus court sans autre  déviance

Sera de  conduire mes pas de vie sans alternance

Jusqu’au bout de ce chemin dégagé des violences

 

Ô destin donne moi à  penser  de brèves libertés

Quand les rudes tempêtes fouleront  mon trajet

Où je ne serai plus maître de ma pure  identité

Egorgée par les révoltes de mon esprit bafoué

 

Je ne pleurerai pas ta légèreté dans l’instabilité

Pour le bon ou le mauvais du présent déployé

J’appliquerai  toujours sage à ma tendre  pensée

Le bénéfice du doute en  ta persistante continuité

 

On me dit de conseil  que tous les chemins parsemés

Mènent toujours sans ambages  à un terme  désiré

Mais je vous le dis,  un seul sillage   me sera destiné

Celui de mon destin, ma vraie, mon innée  fatalité

 

J’aurai fuit sans plus, n’est-ce pas là vocation sévère

Pour faire couler la source, le ruisseau, la rivière

De tous ces jours  narguant ma destinée amère

Dont la saveur n’a que le parfum d’un rien trop fier

☼₣€

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26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 10:58

 

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Je me suis promenée l’âme propre et   nue

Vierge éternelle de toutes mauvaises pensées

Au sacrifice rituel de mon précieux  bien aimé

 

Mes yeux de saphir ont soufflé ce premier regard

Pour Illuminer ses pensées dans la vasque princière

De ses reflets luisants plus purs qu’une douce prière

 

J’ai enduit hâtive de volupté  mes lèvres nacrées

Pour les poser riches  au temple de ses vifs sens

De ses saveurs  qui me sont toujours  présentes

 

J’ai serti mes seins de ces dures  pierres  d’or

Pour les lui présenter offrande de  mon  corps

Aux caresses de ses mains signe de nos accords

 

A toutes mes splendeurs il  a fait  le  grand serment

De garder saines au secret nos  belles soifs d’intimité

Faites de longue litanie de vœux toujours renouvelés

 

J’ai dilué mon antre aux senteurs des parfums efficients

Qui enivrent son malin prolongé  vers notre bel inconscient

Où il se repose au geste attentif sur mes justes patiences

 

Ma rêveuse danse nuptiale  serpente vivace  sur ta peau

Sifflant des mots merveilleux  plus beaux que le  plus beau

Son venin tenace me donne l’ardeur pour une  nouvelle vie

 

Au magique  sacrifice de toutes mes  plus chastes  envies

Je t’élèverai un grand autel  doré de mes humbles  beautés

Pour divaguer et  pouvoir  d’aise  à tout  jamais  me  rêver.

☼ƑƇ

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3 mars 2012 6 03 /03 /mars /2012 15:47

 

 

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Il fut un matin, j’humais un très bon café

Mon passe café tomba sur le canapé

Je ne m’imaginais pas devoir  ramasser

Un bonheur  traînant sur  mon vil  passé

 

J’ai lu dans le marc de café un message

Et mes yeux  curieux  ont  tiré un présage

Un cœur auréole formait une belle image

Pressentiment d’un amour sans naufrage

 

Mon esprit attentif entrepris une saine fouille

Vers de nouveaux  trésors démunis de rouille

Anneau d’or  qui vous soustrait de  la trouille

De périr solitaire à jamais,  extrait de la houille

 

L’anneau et le  cœur m’ont remis dans l’espoir

De découvrir pour l’avenir enfin le bon moratoire

Pour un futur amour qui ne serait pas  dérisoire

Mais comblerait mes vœux pieux d’être exécutoire

 

J’ai prévenu le marc, suffit balivernes  j’en ai  marre

De rester naïf devant la  promesse de ces  ignares

Ils manègent la  douleur de mon cœur qui dare-dare

Fond de larmes trop brûlantes pour un amour phare

 

Ne me ment pas joli marc, dis moi toute  cette vérité

Mon avenir calme est il celui des amours comblés ?

Ceux qui vous donnent la force  des sens endiablés

Où la folie du  raisonnable est de vouloir vous aimer

 

Je suis prêt je donne mon cœur, qu’on me le prenne

Il saigne de bleus effluents pour des pensées de reine

Elles empilent sur mon esprit toutes ces  mirifiques scènes

Celles où les corps se mélangent et sage s’enchaînent.

☼ƑƇ

 

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3 mars 2012 6 03 /03 /mars /2012 15:37

 

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Il pleuvait finement,  le visage triste

J’ai foulé  délavé  la nouvelle piste

Pas celle du  noir qui vous attriste

Non!  Celle des couleurs qui attisent

 

J’ai vu flirter haut  le bel arc en ciel

Il disait un  bonjour  à cet universel

Le grand peuple posé du monde réel

Qui joue avec l’électronique de l’irréel

 

Curieux j’ai accosté sur ses doux arcs

J’en ai vu leurs couleurs, en vives marques

Dans leurs apports  elles  se démarquent

De l’insignifiance des mauvaises remarques

 

Il y avait un arc pour le grand amour

Celui ci était certes le plus  glamour

Des bontés à surprendre tous les jours

Pour vous assurer un bon parcours

 

Un autre à l’aspect  d’un si tendre  banal

Qu’Il peut quelquefois vous faire du mal

Mais là n’est pas en sorte le principal

L’essentiel est  d’être  d’intérêt général

 

Moi je me trouve bien sur ses couleurs

Elles lui donnent une bien  riche valeur

Celle de sa jeunesse qui  est d’ailleurs

Gage de sa réussite pour notre gaie ferveur

 

Je voudrai qu’il reste  nuage  éternel

Qu’il cache toujours tous  nos vils  tourments

Ces tristesses  de  notre   imposant  dément

Quand   les amours déchus se battent en duel

☼ƑƇ

 

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 14:28

 

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Viens, viens descend mon étoile

Pose toi leste sur mon joli coeur

Il attend ta lumière sur ma toile

Celle qui embrasse le bonheur

 

Scintille sur mes prunelles  satisfaites

Pour te voir briller au  lumineux

De mon regard, sangsue que tu allaites

Quand  tu l’attires placide à ton jeux

 

Dirige  belle étoile sur  mon port

Ton lai à l’horizon de  mon corps

Enivre mes lèvres  de ton sort

Qu’il m’emporte léger  à  l’effort

 

Consume ta grandiose énergie

Au tabernacle de ma vie infinie

Brûle l’ardeur vive de mes envies

Aux chaleurs de ton âme  rajeunie

 

Oh Mon étoile, oui éclaire moi toujours

De ces baisers fous qui sont l’immensité

De ces parfums renouvelles au grand tour

Qui pétrissent  les amours pour  l’éternité

 

Je t’en prie ne réveille pas le levé du  jour

Je l’aime tant   mais il m’empêche  d’être

De me coucher au fond du lit de ton amour

Et de  fermer tes yeux gracieux à ma fenêtre

 

Porte-moi envoûté à ton paradis magnifique

Où les silences sont des actions merveilleuses

Mélanges corporels d’esprits soporifiques

Qui vous entraînent sur des voies fructueuses

 

Tu disparais mon étoile au loin, vas, vas

Je sais que je te retrouverai à mon  demain

Demain et encore demain dans mon  palais

Celui du grand univers où brille ta belle aura.

☼₣€

 

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 14:21

 

 

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Je marchais preste sur ton corps de marbre

Cette  grande banquise de ton  doux silence

Elle était aussi  pure qu’un  coup de sabre

Qui vous tranche la gorge de la repentance

 

Mon cauchemar perdurait, noirci d’un  ton vif

Sur mon sommeil  rétif,  rêveries envahissante

Qui me gardait  aux fonds  des enfers  actifs

Pour me jeter aux hautes  flammes criantes

 

Tu étais toujours là reflet  des beaux  jours

Lumineuses vertu, encens de mes caprices

Je me taisais  pour ce mal inconnu de l’amour

De ce tout  dernier  mot qui sentait les sévices

 

Nous étions tous les deux sur la plaine du duel

Le dos tourné  pour ne plus voir nos douleurs

Nos pas se dérobaient  sous un grand tunnel

Où le noir cernait les  pensées  de nos cœurs

 

L’aimant de notre amour débusqué se chargeait

De la folle attirance de nos corps qui se défilaient

De ce plus, de ce moins nous attendions le neutre

Celui qui rejette les viles raisons,  nues en leur feutre

 

Oh miracle le film décroche, voilà l’heure  d’entracte

Soudain je me réveille, dans mon rêve il se fait  jour

Mon aimée près de moi,  je veux que sage elle contracte

Un pacte de bonne harmonie,  affilié à mon  séjour

 

Mon amour que m’a tu dis  de si banal hier en riant

Tes mots  n’avaient pas les saveurs d’un  bonheur

Ils avaient le goût imposant des rêches  épices de l’orient

J’en ai gardé à ma nuit étoilée la teneur, celle de la peur

 

Elle s’est retournée contre moi, lisse peau de  caméléon

Qui s’accroche à la branche ténue et change de couleur

Mais mon amour laisse là  ces fuyants  mots de fréon

Ceux  qui te glacent, allez   rendors toi sur nos  bonheurs.

☼₣€

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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