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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 12:25

 

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J’ai tiré de ma fouille une embrouille

Putain de vie, j’eus grande envie

De tuer le maudit des interdits

Trouille  d’aimer, là  j’en bafouille

 

L’amour vrai, où en trouver le velours

J’ai cherché un nid, loin des soucis

Celui dont on apprécie la vertu aussi

Fleurissant l’esprit d’un bouquet d’amour

 

Au soleil d’un  matin d’été, je l’ai trouvé

Puissant, solide au profond d’un amant

J’ai vécu de beaux instants  me délivrant

De mes craintes, veillant nos temps désirés

J’ai du contrer de mauvaises pensées

M’enfuir des regards, les laisser médire

En sourire quand je pouvais les maudire

Dans le secret,  vivant de sentiments dorés

 

Oh mère je te prie  pourquoi être  amère

Sage est mon âge, mature il t’enrage

L’orage gronde, dans mon cœur en rage

Il ne veut être soumis, il n’est chimère

 

Mon corps s’épanouit, il engrange la vie

Il croque le plaisir de tous ses désirs

Tu ne peux saisir, sa force de me ravir

Seule je me réjouis  de son âme avertie

 

Combien même tu le souhaiterais, mon cœur

Ne sera perversion d’un amour de raison

Sa passion ne voudrait rentrer en  contrition

Quand le bonheur m’assure de vivre sans peur

 

Je m’embrouille, l’amour n’est pas rouille

Qui se fond dans l’oubli quand tombe la pluie

Au soleil traitez là au fond d’un cœur anobli

Mon cœur ne bidouille,  il ne veut être arsouille

☼ƑƇ

m

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 12:15

 

 

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Bouquet reine de beauté, corolle sidérée

Le faste est ton reflet, le fric ta pensée

Tu viens jouer pour ta prospérité

Avec la faiblesse des abris sans papiers

 

Le petit que je suis n’a pas de clef

Toutes les portes dorées il le sait

Lui sont fermées à  tout jamais

Mais un cœur gronde de n’être écouté

 

Il n’a pour défense qu’un petit papier

Qu’il dépose cyclique sans trop  de sûreté

Pour Que quotidien des demain  soit amélioré

Oh exceptions ! Merci  pour les puissants friqués

 

Outrage alors à ma pensée

Que ton fric tu ne puisses le partager

L’offrir sans avoir à te prostituer

Sans vergognes à ta publicité

 

Sais-tu que la télévision étatisé

Ne pourra plus émettre de battage aisé

Alors peut être resteras-tu au secret

Pour ne plus nous montrer tes  mille clefs

 

Goujats de la politique vous vous amusez

Obèse de promesses pour les gens de la pauvreté

En jouant au millionnaire de vos vertueux familiers

Qui se prélassent dans le luxe du chaud  trop douillet

 

Oh facilité : combien de caution en ce soulier

Combien de frais inconsidérés pour un loyer

Combien de vison pour une  couverture d’Amitiés

Cesse de t’irriter, donne ce qui ne t’est utilité

Et ce qu’un reste de vie ne te permettra de bouffer

Fais le  en toute sincérité dans le confidentiel secret

☼ƑƇ

 

 

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 12:01

 

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Oh ma religion, croire en  ma terre

Je  suis né humain  sans le demander

D’une  nature engendreuse du fait

Son évolution m’a offert la pensée

Pour que je vive inventif une étape d’éternité

 

Comme  toutes matières, d’atomes nés d’un enfer

Crée au  hasard de ce  monde d’imparfait

Qui ne se risque  d’offrir le choix du là,  désiré

Laissant vos atomes souffrir de votre personnalité

Celle qui ne sera désir de votre esprit tourmenté

 

Peur infernale de toutes mystérieuses  réalités

Humain tu es venu dans le doute te retrancher

Derrière les volontés inaudibles  de dieux secrets

En disant votre croyance : Ce que Dieu veut la nature fait

Homme de pouvoir, tu t’associes d’intérêt à ce méfait

 

Toi le religieux, l’étatique, le financier

Tu uses et abuses du Dieu imaginaire de bonté

Pour que ta volonté  sur tes mineurs soit  légitimée

Tu ne tueras point, mais  héros est ton guerrier

Tu t’excuses : Mon dieu  t’offre un paradis d’éternité

 

Tu ne voleras point,  vol légalisé tu es parfait

Le centime tu nous donnes pour le milliard nous voler

L’adultère tu ne feras point, prostitution tu admets

Et tu nous dis: Mon dieu sept femmes a autorisé

 

Tu ne mentiras point, discours de promesses non réalisées

Et tu dis : Mon dieu, vous tend ses épreuves de sainteté

Tu coures au temple d’un Dieu  qui va te pardonner

Tu nous dis : Mon dieu achètera le repentir de ma cruauté

 

La nature nous a un jour,  la vie donnée

Elle seule peut la reprendre en sa destinée

Au terme d’un cycle qu’’elle va composer

En  propriétés positives et négatives prodiguées

D’un cadeau de vie que vous aurez à  fortifier

 

La nature vous offre les ingrédients pour vous y mener

Tout ce quelle engendre est bon, rien de malaisé

Nécessité pour sa chaine de vie, tout en diversité

L’humain doit se satisfaire des plaisirs ; des beautés

Savoir faire la différence entre le mal et le bien inné

 

 

Vous ne respirez pas Dieu, mais l’air de la nature

Atome de vie se transformant atome d’humanité

Prêts à vous conduire sur le chemin des vérités

Quand  vos atomes auront perdue leur efficacité

Alors ils repartiront vers leur origine, l’immensité

 

Tout humain en solidarité doit vivre de  bienfaits

Croire en la terre, est croire en la morale mondialisée

L’argent, le dollar ne doivent pas être symbole de l’humanité

Il est accessoire de vie pour le meilleur bien être accepté

Pour qu’aucun être, ne puisse pleurer famine et  mendicité

☼ƑƇ

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19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 19:01

 

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Quand deux cœurs se blessent

Au fond de leur folle  ivresse

Poster leurs une bonne adresse

Pour qu’ils retrouvent la tendresse

Au  lit  secret de leur sagesse

 

Amour Dites leurs, dites leurs en refrain

 

Avenue  du régal, tendresse des entrains

Magie  du sourire,      boulevard du malin

Oh  bonheur,    ruelle  des baisers matins

Union des amoureux, chemin des câlins

Rue   des   ébats, émotions des parfums

 

A nouveau voyez les jouer avec les mots

Dilapidant sans défaut tous  leurs maux

Engendrement  des passions du beau

Stocké au fond de leur bel entrepôt

Cet Esprit ardent qui repose sur son chaud

 

Il flirtera raisonné dans le mieux

D’un amour qui ne se veut paresseux

Il attend  avide que s’ouvre joyeux

Le portait unissant les  besoins radieux

Désirant accoupler  des appétits fructueux

 

Sera comblée leur faim d’amour

Les regards se tourneront vers le retour

Et se lèvera d’aise  un nouveau jour

Leurs baisers migreront vers  leur tour

Où les crocs d’effusions rouleront tambour

 

Demain saignera limpide leur bonheur

Sur le duo de leurs pas allant sans peur

Sur des avenirs accueillant les ardeurs

Elles  se  renouvelleront  avec vigueur

Dans leurs deux cœurs, obsédés quêteurs

 

Amour dites leurs, dites leurs en chœur

☼ƑƇ

 

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19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 18:18

 

 

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Au pied d’un chêne, vieux de cent ans

Ma méditation cueille sur le lac calme

Des fleurs d’esprit,   belles me sourient

Sur une pelure soyeuse elles se flamment

Agitation sage sur les ondelettes du temps

 

Une cime veille les tons,   des beaux horizons

En ses aux delà une vieillesse lorgne  ses disparus

Histoires des hier,   en sommes-nous toujours fier?

Les souffrances, les peurs ; les pleurs se lèvent imbues

De leur hauteur jettent aux sagesses leur poison

 

L’innocence voudrait en  ces  naïfs cœurs se cacher

Loin des camps, loin des sacrifices trop  horribles

Quand  le pouvoir atroce,  bête à l’instinct féroce

Charge la perversion d’anoblir ses gestes insensibles

Mais  le grand défi simple et doux fait fi des absurdités

 

Résistance, en son cœur, en sa foi, en sa partie

La bonne morale se bat contre l’arme de l’injustice

La déportation, le viol,  les fusillés n’empêcheront

Sa fronde impétueuse de se lever, endossant  en sacrifice

Le volontariat,  bouclier de solidarité  boutant l’ennemi

 

Ma génération tu ne fus là, mais tu dois comprendre

Ce que fut la perfidie, l’empire,  le totalitarisme

D’un homme et de ses serviteurs, bouffon de la névrose

Je vous prie ne laissez plus le prétentieux, le despotisme

Etre déifier pour  ruiner à tout jamais votre bonheur  tendre

 

Mon chêne s’est penché sur mon lac, ses feuilles il  a perdues

Il m’a conté plus jamais je ne les reverrai, ainsi en est-il

Les feuilles tombent  hier d’un présent, elles ne reviendront

Laissons fleurir  le présent et ce  futur plus beau sera- t’il

Ne laissons pas le vil du passé  refleurir, l’histoire nous a déçus

☼ƑƇ

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19 février 2012 7 19 /02 /février /2012 18:05

 

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J’enchantais le temps, de pensées joyeuses

S’en allant là bas construire mon amour

Sur un long baiser, d’âmes précieuses

Il  s’arrêtait gai au pas d’un rêve au détour

 

Le bonheur au réveil dans ses riches matins

Parsemaient deux  cœurs, de larges tendresses

Elles se brillaient d’or dans leurs yeux éteints

Croquant  le délice d’unir leurs  sagesses

 

Le temps invitait, le chaud des soleils

A fleurir en chœur, les mots amoureux

Délicats  bouquets, sans autre  pareil

On s’unissait fier, engendrant l’heureux

 

Courons  sur le temps qu’il cache nos peines

Il n’a qu’un désir, nous voir en sourires

Nos yeux jamais las, s’embrassent sur la scène

De nos vies accros, couchées dans nos  délires

 

Le temps nous mène, au pas des saisons

Ne regarde le passé, joue sur le présent

Tourne notre amour, folies en floraison

Il nous fidélise dans l’union des  déments

☼ƑƇ

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18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 10:30

 

 

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La menthe au palais, papilles se lamentent

La rime se perd  quand au mot  l’arrime

Anime syllabes je m’en rendrai  à Nîmes

L’agence là-bas veut qu’on l’agence

L’émet riche quand bons sont les mets

L’attente sera courte sous la tente

 

Ses  tendres liants doivent s’étendre

Apprendre à poser la syllabe à prendre

Vers ses cendres couchées sur un verset

Sévérité du lien ne cache pas ses vérités

Sésame laisse un chemin à ces âmes

A femme sont-elles, elles vous affament

 

Laissant place libre à ces les sans

Mes chants cachent les méchants

Ah lisez !  Les pages poussent l’alizé

Faux ces vents vous obligent à fausser

Banc cale le séant de l’expression bancale

Cas laid d’écriture au toujours recalé

 

Eh rein : laisse moi porter ces mots d’airain

En daim peau de main elle laisse là l’andain

Quand dire alors se fera pour se candir

A quérir la sonorité pour en place acquérir

La belle  veuillez sonner juste en votre label

A telle pris à la rime poser son attelle

☼ƑƇ

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18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 10:20

 

 

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Un jour l’oiseau ne crut devoir

Chérir au nid  son bon devoir

Gisant  peiné  en sa couche vide

Prêt à  lever son  futur avide

 

Aller là bas, il y pensa

Il fut un temps quand il migra

L’âge ne put d’ailes battues

Sur le dessus des terres vues

 

Jeunesse perdue, sagesse reçue

Il attendit que fût sa mue

Voler léger vers les contrées

Oh beau rêve du temps pressé

 

Jour de bonheur quand chanta l’heure

Là au meilleur, se vint un cœur

Peur abusée, ardeur trouvée

D’un regard gai  oh nouveauté

 

L’amour vola vers le roi moi

Morsures d’envie  levant sa foi

Aimer toujours,  pensif retour

Age ton discours n’aura plus cours

 

Ce fut matin,  oh bel entrain

Tous les demain ont pris le train

Ils seront prêts  pour qu’à jamais

Ne sois gêné l’amour rêvé

 

Dans sa paille l’oiseau ripaille

Qu’on ne le raille Il est semailles

Du  bel élan, d’un sentiment

D’un âge filant sur son bon plan

 

Son  présent luit, belle elle sourit

Le temps se vit, courre sa folie

Jeune se donne, pour qu’eux s’adonnent

Au bel amour, quand vieillesse clame canzones

☼ƑƇ

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18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 09:59

 

 

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dansons oh  belle demoiselle

N’ayez crante je ne serai rebelle

Du seigneur votre amour sans recours

Je ne crains en mon grand cœur son discours

Acceptez ce  don: Mon âme nouvelle

 

Venez, chantons, dansons, et aimons-nous

 

Trouver en ce haut lieu ma raison

Celle de vous aimer de déraison

Vos yeux joueurs m’offrent votre passion

 

Venez,  chantons, dansons et aimons-nous

 

Dans  l’instant je vous clame  éternel

L’embrasement  de mon cœur ménestrel

Il vous rime, vous chante son amour

Qui vous mande, venez à son secours

Votre baiser le rendra  immortel

 

Venez, chantons, dansons et aimons-nous

☼ƑƇ

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 10:24

 

 

 

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J’étais venu te voir, ce fut la fin d’un soir

J’ai posé mes sabots, sur ta pensée en joie

Ton cœur m’a possédé,  sorcellerie ta voix

Elle me disait amour, vient et sort de ton noir

 

Couché sur ton esprit, j’ai engendré tes mots

Leur beauté j’en rêvais, passion tu me tentais

Leur jeu m’a terrassé, guet-apens d’une fée

Piégeant mon amour,  sur le pur de sa peau

 

Mon désir a clamé, voilà le temps chantant

J’entends mon sentiment, il  va vers  son demain

Ploie mon  éternité, que l’on soit  tes amants

 

Fidélité prend nous, au carquois de ton âme

Que ta flèche renoue nos élans chaque jour

Garde les  pour toujours, amour roi qui se flamme

☼ƑƇ

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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