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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 10:13

 

 

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Je dors troublé sur mes illusions

Paresse de ne plus croire en ce monde

Vicié tout se meurt, plus de solution

 

L’environnement est en déroute

Se pleurent les glaciers, se fond l’espoir

Humain!  Tes yeux bientôt, rougiront de doute

 

Les virus minent votre tranquillité

Alzheimer, parkinson prolifèrent

Ils vous renvoient à vos parentés animales

 

Tous libres, le sexe pour bannière

La syphilis, le sida vous guettent

Le plaisir doit être propre, Oh prière

 

Riche des ors, se haine la convoitise

Elle offre les fusils, mortels combats

Qui détruisent l’humain, les religions avalisent

 

Mal du monde idéal, suicide tu aimantes

L’humain vers l’au delà de sa fin

L’éternité vide te reprend fidèle amante

 

Enfant du monde il est venu le temps

De tuer la grandeur de nos déraisons

Redonnant à notre monde son avant

 

Que la nature seule et libérée se fasse

Délivrez là de toutes  vos ruines pédantes

Elle soufre, souffre et le temps se lasse

☼₣€

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 10:02

 

 

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Je suis enfermé, ma pensée rebondit

Sur les barreaux, de mon néant

Esprit anéanti, je la laisse là virevolter

Peut être un jour saura t’elle s’envoler

Elle ira là bas parler aux savants

Et leur dire regardez moi,  je m’affranchi

 

Hélas en ce jour te voilà confiné

Dans la prison de ta raison

Ton délit, Celui de vouloir dire

Pourtant tu ne voulais médire

Tes idées n’étaient pas exceptions

Peut être parlaient -elle des vérités

 

Ton ciel s est assombri quad fut ta passion

Tes soleils se sont caches sur tes demain

Les orages, les pluies ont parsemés tes yeux

De douleurs morales  assises sur les feux

De tes rancœurs complices de tes peines

Béton de haine, construisant tes méditations

 

Oh pensée ! Attends-tu que les inégalités soufflent

Qu’elles  repoussent ton toi, cet esprit migrateur

Vers d’autres contrées, là où se meurt toute liberté

En ce Là où tu marcheras sur des chemins tracés

Quand pour seule fraternité tu auras la peur

Qui t’offrira en dit et redit  ces mots qui t’essoufflent

 

Ton séjour en ce lieu dénaturé te rend anémique

Ils ne te nourrissent plus de bons raisonnements

Tes justifications ne les ont  pas convaincus

Car seules leurs  paraphrases pouvaient être retenues

Discours qui justifie avec force ton isolement

Pour t’en sortir reste dans ton monde fantastique

 

N’ais crainte jamais ils ne le comprendront

Tout juste ces savants pourront t’ils l’entrevoir

Car leur science trébuche sur  l’infini décimal

Jubile esprit! Comment subviendront t t’il à ton mal

Ton silence à l’apanage de garantir ton devoir

Rester loin de toutes diatribes jouant notes de  compassion

☼ƑƇ

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16 février 2012 4 16 /02 /février /2012 16:49

 

 

 

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Quelle gifle! Je l’ai entendue geindre

Je ne l’ai vue, mais je venais de la  sentir

Une abeille, non un lourdaud  frelon  pour sévir

Une seconde, mes jambes se mirent à déguerpir

Tout cela je vous le dit en une seconde  de délire

Je dus m’enfuir sans avoir à  me plaindre

 

Pourquoi cette piqure  harangua t’elle ma joue

Je n’avais rien fait, pas d’acte anormal

Mais  quel était le malotru,  à la force d’animal

Autour de moi, au voisinage rien de bancal

Même pas une ombre sidérale au festival

Je m’étais peigné ce matin là, à vue pas de poux

 

Mon esprit trop galant  était il amnésique

Il connaissait la musique de tous ces sons

Ceux qui vous claquent comme un poison

Qui chahute votre gentillesse dans sa maison

Quand la douleur devient votre déraison

Que le mal brouille les sons emphatiques

 

J’aurai bien voulu jouer dans ce répertoire

Mais je me suis retrouvé  face à face

Avec une grosse caisse retournée, j’en fis l’impasse

J’en eu le bourdon et celui-ci peu sagace

Voulu m’interpréter une nouvelle  trace

Ma joue préféra s’en retourner dans son isoloir

 

Quelle histoire ! Je n’avais pas compris mon exploit

Un sportif grand pied, incapable de vivre sage au sol

Pour éviter gentiment  que je ne  le racole

Le pauvre! Je lui avais usé sa  délicate peau, pas de bol

Je me suis prise à comprendre : Il sentait l’alcool

Je m’enivrais à son approche, le cœur en émoi

 

J’avoue dans ma fuite je ne l’avais pas reconnu

Quelle ne fus pas ma surprise en me retournant

Il  n’’avait pour sur,  pas l’air  du tout dément

De beaux yeux bleus azur, tout à fait charmant

Doux comme un agneau, c’était mon bel amant

Ma rage lui a retourné sa gifle, je ne lai plus jamais connu

☼ƑƇ

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16 février 2012 4 16 /02 /février /2012 13:33

 

 

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J’entends le cliquetis de la folie

Le balbuzard, voleur de milliards

Charognard, prisonnier dans la mare

Du délit des vilains compromis

 

Le fric, le fric toujours le fric

Il désabuse l’homme sans ruse

Fuse son dégout qui l’use

Indic d’un esprit  anémique

 

Quand se dissous ses petits sous

Dans la male d’un profit infernal

De l’animal griffant la morale

Les bouche-trous deviennent fous

 

Pourquoi l’incertain au matin

Vivre la pauvreté qui vous enivre

Pour survivre sous le givre

Des aigrefins, ces financiers malsains

 

Financiers spéculateurs  vous spoliez

L’intégrité de ma pauvreté

Vous bouffez le trésor de ma lucidité

Je voudrais vous crier toute mon hostilité

 

Politique de l’argent, cherchez l’agent

D’une réglementation ayant pour solution

La  répartition ajustée par ablation

Des intrigues de ressources endémiques

 

Pourquoi vouloir être ce riche  faire valoir

Toujours plus, mais pourquoi ce surplus

Sans plus,  sachez nous l’offrir en plus

Bel espoir d’humanité pour sortir du noir

 

Patron tricheur, ne sois conspirateur

Rapace de monnaie dorée tu agaces

L’espace de ma vie   en sa surface

Sa torpeur abreuve ton esprit flambeur

 

Je n’y peux rien, je ne suis vaurien

Numéros complice de la masse des zéros

Héros je ne puis,  trop caché dans l’enclos

Des moins que rien, bâillonnés par les siens

 

 La démocratie me dit on,  voilà votre vie

Elle me bouffe comme le souffre

Ouf je vote blanc,  car je m’étouffe

Mon envie: Participer loin des nanti

☼ƑƇ

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16 février 2012 4 16 /02 /février /2012 13:22

 

 

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Bonnes gens je rêve sur le monde  de rêveries enfantines

Je défais le monde  adulte  radical pour faire la mondée

Et je me balance sur les mots des tout nouveaux notés

Qui se glissent calmes sur le pédoncule de mes étamines

 

Je vole vers les cieux  il se transforment en belle cieuse

Plus précieuses que précieux, jardin de la  mère de l’air

Je te fends  heureuse, belle airaé, enfant de bonne guerre

Je t’aspire nourriture  de ma vie, délicate douceur gageuse

 

Et ma rêverie se faufile dans les forêts à la joie  altruiste

Où les arbres sonnent les révoltes pour  devenir une arbrée

Celle qui donne la sève de la vie aux saines feuilles marbrées

Et mon cri amplifie au loin ma criée d’être le bon  équilibriste

 

Je ne puis gênée me séparer  du vouloir de ma volonté

De casser ma turpitude et l’enlacer d’un vil démoraleur

Ce froid  moral n’incite à l’apparat d’une  dentelle de pudeur

Prude il ne peut être ! Je le voue à a peur de sa triste réalité

 

Et je m’accroche à la tentation de la violer d’un tentavoir

Sulfureux  débordement  pour démanteler  les illusoires

Ces attaques de mon esprit qui se charge de ce fonsur noir

Il se fend sur ma pensée, comme un rapace ostentatoire

 

Je quitte ce genre vers les sommets qui se révèlent haucréte

Tu bises l’auréa quand tu perçois au loin  l’immaculée mondée

Je n’ai plus le démoraleur et le fonsur de mon tentavoir  aisé

Qui se révèle rester au fond de ma rêveries des cieiuses discrétes

 

Enfin je me réveille ; Je  tourne ma page j’étais sur les sommets

Que l’air pur embrassait en regardant humble l’immaculé monde

Je n’avais plus de turpitude  et ma grande tentation  était de rester

Dans mon rêve  batifolant sur ma rêverie des cieux de ma destinée.

☼ƑƇ

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 06:26

 

 

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A

 

ma  rage permanente ce coup de pied

Car je crie folle  l’amour à  tue tête

Ma partition loufoque est complète

Je m’y engage fanatique de  plein pied

 

Encouragée par un séjour amoureux

Paysage de mots toujours plus doucereux

De longs  baisers par milliers langoureux

Mon cœur a explosé sur le merveilleux

 

Corps  tu as lui,  endimanché sur mes yeux

Tu  as fait craquer mes sentiments à tes jeux

M’a affolé dans ta fureur de coucher ton mieux

Cet amour qui a  ravivé mes troubles  envieux

 

Je te tiens, je te serre  sur mes pensées

Toi l’otage  de ma folie de vouloir aimer

Tiens! Boit l’élixir de mes lèvres  ensorcelées

Elles t’insuffleront cette  volonté de me déclarer

 

Ton sourire impressionne mon bonheur

Mais mon cœur sévère n’est pas joueur

Il te veut unique rempart de sa vile peur

Approche! Il te garde trésor en sa  demeure

 

Consomme mes joies, mes plaisirs, oh corps !

Adoucie cette folie,  n’ait pas de tristes remords

Avec toi seul,  elle saura se fondre à son sort

S’apaiser et  mieux s’élever  en  ton faste décor

 

Ma folie ne demande  que d’’aimer de vérité

Dans cette sincérité qui unit deux cœurs à l’éternité

Qui embrase les pulsions  au feu  de la complicité

Régénère les cendres de nos bonheurs : oh excentricité

☼ƑƇ

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 06:17

 

 

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Ce dimanche matin  libéré d’obligations j’au tapé le carton

Installe comme de coutume, prince  sur mon grand  balcon

Mes amis étaient passés et nous fûmes  quatre compagnons

A jouer dans un silence d’or et nous  avons frôlé la déraison

 

Nous n’étions pas pressés j’ai entamé un autre carton

Engoncé dans mon fauteuil jusqu’à la dernière munition

Ce fut le péril  subtil et hâbleur de ma première reddition

Mais en ce jour de vendredi treize je n’avais pas d’illusion

 

Puis revenu dans mon beau quartier j’ai tourné en rond

En repassant  allégrement  content sous le joli petit pont

Qui longe silencieux et potelé  les vils derniers bas fond

De notre magique et estimée belle  cité de la côte  d’Oléron

 

Cela m’a permis attendri d’ouvrir le  grand carton

De mes œuvres originales  stockées fières  en long

Sur l’armoire du temps d’avant ; au bord du plafond

Souvent je les montre avec orgueil  à mon bon patron

 

Quelquefois concentré et gai il me passe un carton

Ce n’est pas un expert il ne joue pas mieux, allons!

Il pense, s’assure: Il va me laisser gagner, alors pardon!

Je ne serai jamais dans l’insidieuse débâcle  un capon

 

A mon retour, empressé nous avons fait un carton

La chambre n’était pas apprêtée, pourquoi pas le salon

Je puis vous assurer vraiment ce n’est pas du bidon

Mais le jeu rare d’un dévouement au culte de cupidon

 

De tous ces cartons nous n’en retiendrons : Que c’est bon!

On trouve dans ces  jeux furibonds toujours un vrai rebond

Qui vous incite implacable  et passionné  d’être canon

Pour vous  éviter l’ennui de rester accroché aux tréfonds.

☼ƑƇ

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 05:59

 

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le vin, j’en pris un verre, deux, vingt

Vorace de vie, race de vos vignes, vos races

Vacherie pour ma vie, je vois les vaches rient

Virage de ma volonté et  de sages  vies  ragent

 

Surprise  de mon sort il faut que sur prise

S’inquiète mes  sens de n’être  un Saint quiet

S’approche  de la sortie de voir sa proche

Santé de s’abreuver  aux boissons  sans thé

 

Laineux ce laitage j’en défais les   laids nœuds

Langage  lascif émerveillé pour un lent gage

Lampassé ma langue  revenir à l’an passé

Léopard ne griffe pas  l’ami  quand   Léo part

 

Tumeur  de ma tentation, attention tu meurs

Tapage dans ma tanière, tourne ta Page.

Tacler cette tare  et  prendre vif ta clef

Témoin de ta tentative, sûreté que t’es moins

 

Devoir  de ma dérision de s’offusquer de voir

Déjouer tous les défis comme des jouets

Détruit par la désillusion, repaire des truies

Déambulantes dans la vase des ambulances

 

Aguerri par les atrocités, mon corps a guéri

Attiré par les anomalies de triste vie il a tiré

Alaise sur son appétit  pour se sentir à l’aise

Attaché  à sa volonté que depuis il n’a taché.

☼ƑƇ

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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 10:30

 

 

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Par un matin d’hiver  j’ai regardé l’azur

De tes doux yeux où rayonnait un grand calme

Je m’y suis transposé pour trouver la flamme

Brûlant les pensées de ton amour le plus pur

 

J’y  ai rencontré  ces bonheurs inviolables

M’y baignant au parfum de ta sérénité

Il était frais l’Instant  du plaisir désiré

Je ne pus déserter ce destin trop enviable

                                                                                           

Je ne savais  qu’à l’azur doux la mer se lève

Aux souffles des vents houleux qui lancent la lame

Venue du profond d’un ardent qui vous enlève

 

On ne doit périr  dans cet océan frustré

Oh Marin du grand foc!  Prend cap vers l’infini

Funestes vagues calmez vous  l’amour est vérité

☼ƑƇ

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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 10:21

 

 

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J’entends des profondeurs

Les croyances serviles

Qui se blessent malhabiles

A pleurer leurs peurs

 

Humains au cœur d’humain

Qui n’a besoin d’un Dieu

Pour graver au cieux

Sa grande bonté au matin

 

Celui-ci n’a peur de la fin

Car tout début à sa finitude

Et seul son rêve est  certitude

Que son pas ici bas soit certain

 

L’humain restera un loup

Qui dévorent le plus faible

Croquent tous les emblèmes

De ces sages, O pauvres fous!

 

Le Dieu rédempteur provocateur

Ne peut-il soumettre cet humain

A sa volonté  d’un destin plus sain

D’un monde sans faute d’humeur

 

Notre paradis est cette belle terre

Que notre intelligence a transformé

Par le pouvoir de l’argent pestiféré

Dont le religieux  abuse et affaire

 

Sans être Dieu, sans être devin

La science  m’instruit de ma mort

De celle de toute nature sans remord

Et l’histoire est une mort qui se redore.

☼ƑƇ

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Présentation

  • : Bouquet de poésies
  • : l'histoire d'une vie de poète au jour le jour, tout est instant de poésie, le passé de ma jeunesse en Lorraine , celui vécu pendant 30 ans vécu sur l'ile de la Réunion , mais plus encore la vie amoureuse c'est quoi? tout autant le ce qu'ont été, ce que sont, ce que seront mes pensées, mes joies, mes inquiétudes mes désirs ; le monde d'hier, le monde d'aujourd'hui , le monde de demain
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